Interviewer: On souhaiterait vous entendre sur certaines études inquiétantes d'ailleurs, qui sont parues dernièrement, italiennes d'abord, sud-coréennes ensuite, concernant le lien que l'on peut faire entre les injections Covid-19 et les cancers et le risque accru de cancers suite à ces injections, suite au rappel.[/ISPOILER]
D. Raoult: Comment se fait ce vaccin d'ARN ? En réalité, pour pouvoir le produire, au début, ce qui a été testé, d'ailleurs, c'est de l'ARN qui a été fait de manière chimique. Et puis, dans un deuxième temps, ce n'est pas possible de produire, et donc, c'est souvent le problème. D'ailleurs, dans les grandes aventures comme ça de millions ou de milliards de doses, on change d'échelle. Et quand on change d'échelle, on change de méthode. Et quand on a testé une méthode, on n'a pas testé la dernière méthode, celle qui a permis de délivrer des milliards de doses. Et celle qui a permis de délivrer des milliards de doses, c'est quelque chose qui a été fait sur des bactéries recombinantes, c'est-à-dire des bactéries dans lesquelles on a fait rentrer le plasmide. Sur ce plasmide, c'est-à-dire un morceau d'ADN qui va rentrer et qui va être reproduit par la bactérie, dans lequel on met une séquence de la spike que maintenant tout le monde connaît, un peu modifiée, mais qui garde son immunogénicité, avec un facteur d'initiation qui vient du singe. Et on fait cracher ça à la bactérie. Ensuite, on prend le jus de la bactérie. Théoriquement, on détruit tout l'ADN. Théoriquement. Dont d'autres, en réalité, il y a maintenant une dizaine d'études, impubliables. Moi, je vous assure, j'ai mis ça heureusement sur Al, mais c'est impubliable. Il n'y a pas un journal qui veut publier ça. En réalité, il y a de l'ADN qui reste. Donc, vous n'avez pas réussi à tout détruire. Il reste de l'ADN.
Deuxièmement, vous mettez tout ça qui n'est en pratique que de l'ARN, vous le mettez dans une petite bille de lipides pour qu'elle rentre de force dans la cellule. Donc, vous mettez l'ARN dans la cellule. D'accord ? Et vous mettez de l'ADN dedans aussi, dans la cellule. Et quand vous mettez de l'ADN dans la cellule, vous savez, le passage qui fait que de l'ADN, vous passez dans le cytoplasme de la cellule, dans la cellule, au noyau de la cellule, vous savez, c'est juste une question de chance. C'est un phénomène mécanique habituel, banal.
Donc, on savait bien, je l'avais dit d'ailleurs, à partir du moment où vous avez de l'ADN dedans, il faut que vous ayez une certification des vaccins sur le fait que c'est pur en termes d'ADN, parce que nous, ce qu'on a analysé, deux vaccins, deux échantillons, en réalité, ça ne correspond pas aux normes qui étaient censés être les normes efficaces. Depuis, il y a un article qui a été publié qui a montré que dans un cas de cancer avec des métastases, ils ont trouvé la spike à l'intérieur du noyau des cellules cancéreuses. Donc, on sait que c'est rentré dedans. on ne sait pas à quel moment c'est rentré dedans, mais la preuve de concept, c'est que, un, il y a de l'ADN, que l'ADN rentre dans la cellule parce qu'on l'oblige à rentrer dedans, et que dans un certain nombre de cas, il s'intègre au génome.
Et ça, bien entendu, ça fait se poser la question, mais c'est comme ça, c'est ces modifications génétiques, en fonction de l'endroit où ça va se passer, vous allez déréguler la cellule, vous allez empêcher de se freiner, en particulier, c'est comme ça qu'arrivent les cancers, et vous aurez des cancers. Et donc, ce qui s'est passé, c'est qui a été rapporté, alors moi j'ai demandé aux gens de m'envoyer des données, parce qu'il y avait un Italien qui avait dit, écoutez, c'est très particulier, on a très souvent, après ces vaccinations, des ganglions, soit sous le bras, soit dans le cou, puisque c'est là. Et donc, assez tôt, il y a un Italien qui a publié, tiens, moi j'ai un info, mais un cancer des ganglions juste apparu après que les gens aient eu des ganglions, après injection. Très bien. Je lui ai écrit, je lui ai dit « Vous êtes d'accord pour que je l'analyse, que je regarde s'il y a des séquences ? ». Il m'a dit « Oui, mais je dois demander ». « On m'interdit de le faire ». Je ne l'ai pas eu, je le regrette. Donc, il y a un mouvement d'anti-science actuellement, de choses qu'on n'a pas le droit de faire, qu'on n'a pas le droit de publier.
Et vous voyez qu'effectivement, aux États-Unis, ce biais a été maintenant identifié par Kennedy, qui a dit qu'il ne fallait plus publier dans le Lancet, le groupe Nature Springer, parce que le JAMA et le New England, parce qu'ils biaisaient les données, ils trichent. Et donc, je pense que d'ailleurs, tous les journaux qui soit appartiennent aux grands groupes pharmaceutiques, soit qui sont financés majoritairement par les grands groupes pharmaceutiques, c'est-à-dire ceux qui publient des essais thérapeutiques, en réalité sont financés par l'industrie pharmaceutique et donc n'appartiennent qu'à l'industrie pharmaceutique. Donc, ils ne peuvent pas ne pas être biaisés. C'est raisonnable.
Et donc, maintenant, comment ça sortira ? Ça ne s'arrêtera plus. Des études qui disent, écoutez, on ne voit pas. Vous voyez, si vous regardez le nombre de morts, vous devez demander ça à Chat GPT parce que vous aurez des difficultés à trouver ça sur les sites français. Mais si vous demandez, il y a Human Health, c'est un site, vous pouvez le faire analyser, et dedans, vous regardez le nombre de morts, c'est vrai que le nombre de morts augmente tout le temps en France, parce que la population vieillit, puisqu'il y a de plus en plus de monde, donc ce n'est pas non plus une surprise, mais il ne redescend pas. Vous ne pouvez pas dire, vous pouvez dire effectivement, si vous regardez le nombre de morts dans le détail, peut-être un petit peu plus de morts en 2021-2022, mais ça ne redescend pas. Donc il y a quelque chose qui se passe. Alors, c'était quoi un hasard ? Qu'est-ce qui s'est passé ?
Donc, il y a des gens qui regardent, qui s'intéressent à ça en particulier, en sachant que la preuve de concept qu'il est qu'il est bien possible qu'on ait une dérégulation des cellules qui amène éventuellement à des cancers, amène à réfléchir. Donc, il y a une première étude qui a été faite en Italie sur 300 000 personnes qui a montré une augmentation très significative des cancers chez les vaccinés par rapport aux non-vaccinés. Puis, il y a un papier que je vous ai fait passer là, des Coréens, qui montre qu'il y a une augmentation de 37% des cancers chez les vaccinés par rapport aux non-vaccinés. Ce n'est pas une petite étude, c'est toute la population coréenne. C'est 8,5 millions d'habitants. C'est énorme. 8,5 millions d'habitants. Et donc, il y a une augmentation des cancers. Une surprise pour moi. J'avais bien compris, bien analysé, j'avais dit que quand même avec le vaccin ARN dans lequel il reste de l'ADN et qu'on injecte dans les cellules, il était bien possible de faire des cancers, mais il montre qu'avec une injection, c'est l'AstraZeneca qui donne le plus de cancers. Ça, honnêtement, ce n'était pas prédit. Tant mieux, c'est la preuve que c'est vrai. Quand on ne prédit pas les choses et qu'elles se passent, c'est que c'est vrai. Donc, ça, c'est une chose. Et la deuxième chose qu'il voit, c'est la flambée des cancers après booster, c'est-à-dire après revaccination.
Interviewer: Alors voilà, la dose de rappel.
D. Raoult: Après la dose de rappel. Et donc, ce qu'on voit là, alors on voit exploser quelque chose dont on commence à percevoir par différents signaux, c'est-à-dire l'augmentation des cancers du pancréas, et là, après...
Interviewer: Plus de 150%, je crois.
D. Raoult: 150% d'augmentation des cancers du pancréas. Donc ça, quand même, c'est quelque chose. Et donc, moi, je souhaite que notre pays regarde. Au bout d'un moment, on ne peut pas passer son temps à se mettre les mains devant les yeux pour ne pas regarder les choses. Je suis à peu près convaincu qu'après s'être fait un peu tirer l'oreille le Danemark sera bien obligé, parce que le Danemark a toutes les données, dans les pays scandinaves, en particulier le Danemark, ils ont 100% des données médicales, des gens. Donc, ils sont parfaitement capables de faire la proportion des gens qui ont fait des cancers, qui n'ont pas fait des cancers. Alors, il y aura des menteurs, mais peut-être que ce sera plus difficile en France. Il y a peut-être plus de menteurs en France qu'au Danemark, parce qu'il y a beaucoup de gens qui ont dit qu'ils étaient vaccinés, qui n'ont pas été vaccinés, en réalité. Donc, c'est compliqué de dire simplement ce truc, il est vacciné, lui il peut être vacciné, lui, il n'est sûrement pas vacciné. Pour les deux groupes, j'espère qu'il y aura une différence suffisamment significative pour que les menteurs, si vous voulez, ne soient pas... ne faussent pas le résultat.
On avait les données immédiatement dans un bateau de croisière japonais qui a eu la première épidémie dans le bateau, ils ont testé 100% des gens, ils ont gardé 100% des gens, donc on savait qu'elle était la sévérité de la maladie. On savait qu'il n'y avait que les gens de plus de 70 ans qui faisaient des formes graves et éventuellement mortelles. Il y avait deux morts pour 700. Donc, on savait très bien ce qui se passait. Et donc, cette espèce d'affolement général qui est arrivé, qui est en partie dû au fait que, il faut dire la vérité, les politiques qui ont géré ça, d'abord, n'ont pas de nerfs. C'est un premier point. Ils sont trop nerveux.
Peut-être parce qu'ils prennent de la cocaïne, j'en sais rien. Je pense qu'un des plus grands problèmes de la santé, ce n'est pas de trouver de nouveaux médicaments, c'est d'empêcher ces ravages actuels de la cocaïne et puis du fentanyl et de la crise des opiacés. C'est-à-dire que l'Occident est en train de se détruire. Ce que vous voyez dans la rue, la plupart des SDF sont des gens qui ont été détruits par la drogue. Et quand on voit le niveau dont il est dit que cela circule dans le monde des décisionnaires, c'est très inquiétant parce que, vous savez, la cocaïne, ça rend bête au fur et à mesure, ça excite un peu au départ, ça fait perdre de la mémoire, ça entraîne de l'impulsivité et peut-être que ça vous rappelle un certain nombre de choses que l'on est en train de voir sur les écrans quand même. Il faut faire attention, si vous voulez, de ne pas être gouverné par des cocaïnomanes. Ce n'est pas bien. C'est une très mauvaise idée. donc je ne sais pas qui c'est, je n'en sais rien, mais en tout cas je sais qu'il y en a beaucoup. La consommation à Paris de cocaïne, Paris étant différent du reste de la France de ce point de vue-là, est considérable, et donc il faut faire attention, il n'y a pas que dans les quartiers, c'est la pseudo-élite parisienne qui consomme beaucoup de cocaïne, et c'est elle qui tient les ficelles, et c'est très inquiétant.