Musk a tweeté qu'il y avait 20% de comptes fake/spam, et que le vrai chiffre pourrait être "bien plus grand". Il disait que l'ancien CEO refusait de montrer les preuves que c'était seulement à 5%... https://twitter.com/elonmusk/status/1526465624326782976
t.me
Jusque 35% de bots? Ce serait 1 personne sur 3 à qui vous parlez.
Je comprends mieux pourquoi Elon Musk a négocié le prix d'achat de Twitter sur le pourcentage de bots supposé de la plateforme, 5%.
Cet article vous suggère que les bots seraient juste du spam, de l'influence aux élections (ils mentionnent l'histoire de bots russes d'influence mais les TwitterFiles ont montré que c'était faux.)
Le vrai problème sont les bots d'influence qui insinuent & attaquent de l'intérieur pour diviser le mouvement de réinformation (coucou la trollfarm graphene/pasdevirus), et tout ce qui peut agir sur votre comportement.
La directrice du Computational Analysis of Social and Organizational Systems Kathleen Carley (à Carnegie Mellon) cite que des analyses estiment que les bots peuvent monter jusqu'à 35%.
Plus besoin d'interdire Twitter si vous l'infestez de bots d'influence. Est-ce que vos pensées sont encore indépendantes?
Musk a tweeté qu'il y avait 20% de comptes fake/spam, et que le vrai chiffre pourrait être "bien plus grand".
Il disait que l'ancien CEO refusait de montrer les preuves que c'était seulement à 5%...
#Cybertroupes et #cyborgs. "Stratégies, outils et techniques pour la manipulation des réseaux sociaux" Etude d'Oxford 2017 sur 28 pays. https://demtech.oii.ox.ac.uk/wp-content/uploads/sites/12/2017/07/Troops-Trolls-and-Troublemakers.pdf Comment des "#cybertroupes" interagissent avec les...
t.me
#Cybertroupes et #cyborgs.
"Stratégies, outils et techniques pour la manipulation des réseaux sociaux"
Etude d'Oxford 2017 sur 28 pays.
Comment des "#cybertroupes" interagissent avec les utilisateurs sur Twitter, FB et autres réseaux.
Interactions positives mais aussi négatives (insultes, harcèlement, #trolling) avec les dissidents ou journalistes. Financé par des gouvernements, partis politiques ou groupes privés.
Parfois les cybertroupes postent des messages neutres pour distraire du sujet initial. "Empoisonnement de #hashtag" par exemple en Arabie Saoudite où ils postent du spam sur un hashtag en tendance pour le faire baisser. Ou répondre par un article de fact check.
Autre méthode commune: faire un commentaire pour provoquer de la #colère vers le commentateur, pour dévier du sujet initial ou de la critique du gouvernement.
Ciblage individuel en Pologne sur des blogueurs, journalistes connus ou dissidents politiques, sélectionnés avec soin et visés avec des messages pour leur faire croire que leurs #followers ont des croyances spécifiques.
Et bien sûr les bots. La tendance est d'utiliser des #cyborgs, un mélange d'automatisation de bot et une interaction humaine pour éviter la détection et faire croire à une interaction réelle.
Le plus intéressant: la création de faux contenus: posts de blog, vidéos YouTube, histoires fake et photos. Pour aider à promouvoir l'agenda politique du gouvernment. En UK, des cybertroupes créaient des vidéos avec des "messages persuasifs" sous des alias en ligne. En Russie, des personas en ligne parlant de "relations, feng shui et parfois de géopolitique" servaient à tisser de la propagande . (références dans le doc)
Ajoutez la (
https://demtech.oii.ox.ac.uk/wp-content/uploads/sites/12/2017/07/Troops-Trolls-and-Troublemakers.pdf) France depuis cet article de FranceInfo sur les "soldats macronistes"
Hyperactifs, souvent anonymes et virulents : qui sont les soldats macronistes sur Twitter ?