Thanks to the members of the French translation group who have just translated that session.
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Merci aux membres de l’équipe française pour cette traduction.
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Date de la séance : 19 décembre 1998
Laura, Frank, Ark
Q : Bonsoir
R : Bonsoir
Q : Et qui est avec nous ce soir ?
R : Timmah
Q : Et d’où transmettez-vous ?
R : Cassiopée
Q : J’ai deux questions que je souhaiterais poser avant qu’Ark ne pose les siennes parce que je pense qu’elles seront courtes. La première est : qu’est-ce qui se passe avec mon fils ? Pourquoi se comporte-t-il autant comme une brute ?
R : Multiples raisons
Q : Pouvons-nous faire quelque chose à ce sujet de manière efficace et pacifique ?
R : Dans une certaine mesure
Q : Quel serait le meilleur plan d’action parmi ceux dont nous parlions précédemment ?
R : Se mettre Ă son niveau.
Q : Lui parler ? Se mettre Ă son niveau ?
R : Pourquoi pas ?
Q : Très rapidement, pouvez-vous me donner un résumé des raisons de ce comportement ? Est-il jaloux d’Ark, est-il un portail d’attaque, reflète-t-il l’influence de son père ou tout cela à la fois ?
R : Plus 2 que 1 ou 3
Q : Vous voulez dire qu’il est utilisé pour nous perturber dans le but de détourner, ralentir ou arrêter la « mission » ?
R : Oui. Il y a aussi des composantes physiologiques.
Q : Quelles sont les composantes physiologiques ?
R : Hormonales.
Q : Peut-on faire quelque chose pour la partie physiologique – existe-t-il un thé, une herbe ou un supplément qui l’aiderait ? Quelque chose qui le soulagerait ?
R : Ce ne serait pas judicieux. Cela pourrait l’amener à expérimenter d’autres substances.
Q : Quelle expérimentation de substances ?
R : Tu les connais sous le nom de drogues.
Q : Pourquoi le fait de donner un thé ou une préparation à base de plantes conduirait-il à l’abus ou à l’expérimentation de substances ?
R : Cela amène quelqu’un à « un stade tendre » à croire que les réponses se trouvent dans des solutions physiques.
Q : Il faut donc que nous nous mettions à son niveaui et qu’il développe, de lui-même, des contrôles spirituels et mentaux.
R : Proche.
Q : Pouvez-vous me rapprocher davantage ?
R : Tu dois savoir qu’il y a des enjeux karmiques ici, c’est pourquoi les rapides doivent être franchis.
Q : Pouvez-vous nous dire quelle est la nature de l’interaction karmique ?
R : Non
Q : Le karma est-il entre moi et mon fils ou entre Ark et mon fils ?
R : Plus pour toi.
Q : Merveilleux ! Juste ce dont j’avais besoin ! J’en ai plus dans mon assiette ! (A) Qu’est-ce que cela signifie, « d’autres expériences sur les substances ». Est-il en train d’expérimenter ?
R : Il l’a fait
Q : (L) Il m’a dit qu’il l’avait fait mais qu’il n’aimait pas ça. Est-ce qu’il m’a dit la vérité ?
R : Pas tout à fait. Tu as déjà fait preuve de naïveté. Mieux vaut ne pas penser que votre progéniture ne cherche pas à vous tromper. C’est presque une question de politique avec eux. Pourquoi soupçonner le contraire ?
Q : Eh bien, j’ai CRU que tout le soin que j’avais mis à leur parler et à leur expliquer les choses, à être ouvert avec eux, à partager avec eux les sacrifices et les souffrances dont ils sont conscients, ferait que ce genre de choses se produirait moins souvent. Je suppose que je vis dans une illusion…
R : C’est beaucoup plus complexe que cela. Même dans les environnements les plus ouverts et les plus aimants, le karma fait son chemin. Il n’est pas possible de contrôler son destin à moins d’être familier avec toutes les énergies impliquées. Au niveau de la 3e densité, vous ne possédez pas tous les outils, qui sont le fruit d’une compréhension plus élevée. C’est un peu comme prendre une douche en enfilant un imperméable !
Q : Eh bien, cela semble dire que nous avons du travail à faire en termes de connaissance supérieure et de ces énergies. Pouvez-vous nous donner des conseils dans cette direction ?
R : Vous connaissez ou avez accès aux conseils. Vous l’oubliez souvent ou les négligez dans l’environnement passionné et émotionnel de la pratique !
Q : Une parole de sagesse particulière pour gérer mon fils, ou tous mes enfants, en ce moment ?
R : Au plus bas de l’échelle de navigation, perdre du poids améliorerait l’estime de soi, ce qui atténuerait quelque peu le coup.
Q : De quel coup parlez-vous ?
R : Qu’en penses-tu ?
Q : J___ a reçu un coup ?
R : Non
Q : Parlez-vous de moi ?
R : Plus ou moins. C’est un coup dur pour les troisièmes densités de voir leurs plans les mieux conçus tomber à l’eau.
Q : Donc, vous êtes en train de dire que tous mes projets pour mes enfants devraient être jetés par la fenêtre et que je devrais les oublier ?
R : Non, bien sûr que non ! Mais « tes projets » sont une négation de l’acceptation du fait que leurs âmes ont des « projets » qui leur sont propres !
Q : Alors, tout ce que je peux faire, c’est traverser cette période du mieux que je peux et, bientôt, ils seront tous autonomes…
R : Très proche.
Q : Je devrais donc prévoir le jour où ils quitteront tous la maison. J’ai presque atteint ce stade. J’ai arrêté de faire des projets pour eux, j’ai arrêté d’essayer de façonner leur vie… (F) Oui mais, tu sais, tous ceux qui ont des enfants passent par-là et, plus on a d’enfants, plus on passe par là . (L) Certains parents essaient de tout contrôler et c’est une lutte sans fin et infructueuse. Ce n’est pas mon intention. Je peux voir quand une retraite stratégique est conseillée. (F) Je n’ai encore jamais vu ou entendu parler d’un parent qui était vraiment capable de veiller à ce que les désirs qu’il avait pour ses enfants se réalisent complètement. (L) Quelque chose d’autre à ce sujet ?
R : Non
Q : Maintenant, je PENSE que ma deuxième question sera beaucoup plus rapide et simple ! Si, en 4e densité, il y a une variabilité de tout ce qui est physique et que les Lizzies, comme vous l’avez dit précédemment, fabriquent de nouveaux corps pour eux-mêmes afin de les occuper dans une sorte de transition de masse au moment du passage de la frontière de ce monde, dans cet état de variabilité de tout ce qui est physique, pourquoi ont-ils besoin de fabriquer de nouveaux corps pour eux-mêmes ? Pourquoi, en fait, les Lizzies sont-ils des Lizzies ?
R : Trop de questions
Q : Pourquoi ressemblent-ils à des lézards ?
R : Ce n’est pas le cas
Q : Eh bien, pourquoi les appelons-nous des êtres lézards ? Je veux dire, c’est VOUS qui les avez appelés ainsi ?
R : Nous apposons des étiquettes en fonction de votre familiarité. Si nous les avions appelés « Drachomonoïdes », quel serait votre point de référence ?
Q : À quoi ressemblent-ils VRAIMENT ?
R : Tu peux imaginer ce que tu veux
Q : Vous avez dit qu’ils ressemblaient à des alligators dressés avec des traits humanoïdes, mesurant de 1,80 m à 2,50 m…
R : Oui
Q : Alors, pourquoi ressemblent-ils Ă cela ?
R : La biologie
Q : La biologie existe-t-elle en 4e densité ?
R : Oui
Q : Pourtant, il s’agit d’une densité physique variable, n’est-ce pas ?
R : Oui mais quelle est ton hypothèse ?
Q : Je ne sais pas quelle est mon hypothèse. Je suppose que si c’est un état variable, ils pourraient avoir une biologie différente très facilement. N’est-ce pas le cas ?
R : Non
Q : Peuvent-ils apparaître sous une autre forme ? Changer de physique ?
R : Temporairement
Q : Quand vous dites « temporaire », qu’entendez-vous exactement ? Le terme « temporaire » se rapporte au temps.
R : Nous avons déjà expliqué que le facteur le plus important concernant les densités est le niveau de conscience.
Q : Le niveau de conscience. D’accord, quel est le rapport avec le fait qu’ils ne peuvent changer d’apparence que temporairement. Est-ce parce qu’ils peuvent contrôler NOTRE conscience ?
R : Proche. N’es-tu pas encore consciente qu’absolument tout, nous répétons : tout est une illusion ?!?
Q : À un certain niveau, oui. Alors, je demande encore pourquoi, dans l’illusion dans laquelle nous existons ou dans laquelle ils existent… (A) Ils disent ici que tout est illusion et, d’autre part, ils disent qu’il y a la conscience et la matière. Tout est illusion ? Même cela ?
R : Oui
Q : (A) Dieu est aussi une illusion ?
R : Oui
Q : (A) Illusion pour qui ?
R : Pour ceux qui ne sont pas au niveau 7. Votre apprentissage dicte naturellement vos expériences. Lorsque vous n’avez plus besoin d’une chose, vous passez naturellement à autre chose. Cependant, vous la conservez en tant que fonction de la compréhension.
Q : (A) Et je suis aussi une illusion ! Et la compréhension est aussi une illusion ! (L) Revenons à ma question : qui a créé les Lizzies EN TANT QUE LIZZIES ? (A) Notre illusion…
R : Tout est réel donc l’illusion est la réalité
Q : (L) Si tout est illusion, d’où vient cette illusion et dans quel espace surgit-elle ?
R : De votre conscience
Q : (L) D’où vient cette conscience ?
R : La conscience est l’absolu, le point central
Q : (L) Où est-elle centrée ?
R : Dans l’accès
Q : (L) Qu’est-ce que l’accès ?
R : L’impulsion qui engendre l’énergie
Q : (L) De quoi est faite cette énergie ?
R : La conscience
Q : (L) Y a-t-il eu un moment où cette conscience n’existait pas ?
R : Non mais il n’y a jamais eu de temps.
Q : (L) Qu’est-ce qui a poussé cette conscience à rêver toutes ces illusions ?
R : Besoin d’équilibre. L’énergie ne peut exister dans le vide, elle doit donc être rythmée. D’où les ondes.
Q : (L) Vous dites que l’impulsion pour rêver toutes les illusions était le besoin d’équilibre ; cela implique un déséquilibre et que le déséquilibre était l’existence dans le vide…
R : Non
Q : (L) Qu’est-ce qui a motivé le besoin d’équilibre ?
R : Ce n’est pas un besoin en soi, c’est juste une fonction naturelle.
Q : (L) Eh bien, quand vous avez un battement, vous avez une onde et si vous avez une onde, cela implique le temps.
R : C’est là que réside le nœud de votre illusion en 3e densité. Pourquoi supposer qu’un aspect donné de l’impulsion ne se produit pas en même temps qu’un autre. Et si l’un d’entre eux le fait, tous le font. Jusqu’à ce que vous vous libériez une fois pour toutes de l’illusion du temps, vous ne progresserez pas.
Q : (L) Eh bien, revenons à ma question…
R : Non, on ne peut répondre à ta question que si tu cesses de présumer de l’éventail des réponses acceptables.
Q : (L) J’ai terminé, alors. (A) C’est une question sur le temps…[rires] Vous dites que le temps est une illusion, mais vous avez dit plusieurs fois des choses sur le temps et je veux poser une question sur ce temps. J’ai demandé si le temps devait être considéré comme la 4e dimension, vous avez dit pourquoi ne pas considérer le temps comme jaillissant de la 5e dimension. S’agissait-il d’une plaisanterie ou d’une chose sérieuse que je devais considérer ?
R : Sérieuse
Q : (A) D’accord. À un autre moment, lorsque nous parlions des gravitons, vous avez d’abord dit qu’il n’y a pas de gravitons en soi mais qu’un « graviton » est un électron dans un vide temporel.
R : Oui
Q : (A) Quand vous avez dit qu’il n’y avait pas de gravitons, vous vouliez dire qu’il n’y en avait pas au sens habituel du terme, comme le suggèrent certains physiciens.
R : Oui à peu près
Q : (A) Eh bien, dans une Théorie du Champ Unifié bien conçue, il y a une place pour quelque chose que nous pourrions appeler « graviton » qui a une source similaire à un électron mais dans un vide temporel. À ce moment-là , j’ai commencé à considérer le temps comme une sorte de champ – comme d’autres champs. Ce champ a quelque chose à voir avec la 5e dimension. J’ai une hypothèse sur la façon dont on peut avoir du temps venant d’une 5e dimension et sur ce que signifie un vide temporel. Cela signifie que là où il y a un vide temporel, il n’y a pas de temps.
R : Oui
Q : (A) D’accord, c’est une chose. À un autre moment, nous parlions de pentagones et d’hexagones. J’ai essayé d’être rusé quand il s’agissait de pentagones, j’ai écrit une formule mathématique, un symbole pour un pentagone et ensuite il y avait la question des signes. Nous avions besoin de cinq signes. Je vous ai demandé s’il fallait quatre plus et un moins ou trois plus et deux moins. La réponse a été qu’il devait y avoir trois plus et deux moins dans un pentagone. Maintenant, qu’en est-il d’un hexagone ? Que faut-il mettre dans un hexagone ? Trois plus et trois moins ou quatre plus et deux moins ?
R : Quatre et deux
Q : (A) C’est ce que j’espérais, cependant, je vois une certaine contradiction entre ce pentagone parce que si je pars de 5 dimensions en essayant de construire quelque chose comme un champ temporel à partir d’un plus et d’un moins, alors j’utilise une dimension qui est comme une dimension de lumière dans cet espace 5D. Donc, je me retrouve avec deux plus et un moins qui n’a rien à voir avec tout ce que nous connaissons en physique. Pour moi, il y a une contradiction entre trois plus et deux moins et le fait que je doive construire le temps comme un champ supplémentaire. Que faire ? Je ne sais pas. Que dois-je faire ?
R : Quand nous avons dit « jaillir » de la 5e dimension, quelles sont les possibilités intéressantes que cela offre ?
Q : (A) Vous obtenez ce que nous pouvons appeler une forme temporelle et cette forme temporelle est parfois comme n’importe quel autre champ physique. Alors, bien sûr, les différentes possibilités que je peux modéliser mathématiquement : forme temporelle, vide temporel, temps différents, boucles temporelles et autres choses. Ce sont des possibilités intéressantes que j’ai, à condition d’utiliser quelque chose de similaire à Kaluza-Klein. Ai-je raté quelque chose ?
R : Ce n’est pas que quelque chose t’échappe, c’est simplement que tu n’as pas encore trouvé ce quelque chose.
Q : (A) Quel est ce quelque chose ?
R : Le tétraèdre
Q : (A) Ok, à un moment donné nous avons parlé d’une matrice 3D, 12x12x12. Je me demandais d’où venait ce 12 et je me disais que 12 c’est 2x6 et que j’étais censé regarder des hexagones et qu’un hexagone représente 6 dimensions, quatre plus et deux moins. Si j’ajoute à cela 6 énergies correspondant à 6 dimensions alors j’ai 12 dimensions et cela expliquerait le nombre 12. Est-ce exact ?
R : Oui.
Q : (A) Maintenant, tout cela a quelque chose à voir avec la gravité et, à un moment donné, vous avez dit que toute cette affaire de gravité/antigravité n’est qu’un moyen et que le but principal est d’atteindre une connaissance plus élevée. Qu’est-ce que cette connaissance supérieure, quel type de connaissance supérieure ?
R : Tu es sur le chemin
Q : (A) Je voudrais poser une question sur Ruggerio Santilli. Il était ici, il vous parlait, il utilisait sa propre terminologie. Vous répondiez en utilisant une partie de sa terminologie. J’ai essayé à plusieurs reprises de comprendre son travail, mais je n’y parviens pas. Y a-t-il quelque chose qui ne va pas chez moi ?
R : Non
Q : (A) Que dois-je faire à ce sujet ? J’ai rassemblé tous les documents qu’il a écrits et je voulais vraiment les étudier et les comprendre mais, chaque fois que je commençais, je devais m’arrêter parce que je ne comprenais pas. Il utilise des termes non définis.
R : Les termes non définis prennent forme lorsqu’ils sont affinés. Ruggerio Santilli est considéré comme un voyou dans le domaine de la physique parce qu’il s’écarte des conventions. Ses rêves orientent ses recherches. Mais ce n’est pas une mauvaise chose. Il libère l’esprit conscient de la prison si vénérée à votre niveau de densité. Le mieux est de peaufiner avec amour le travail du rêveur, ce qui lui donne de la substance dans le domaine des conventions.
Q : (L) Comment peut-on s’y prendre pour peaufiner avec amour le travail d’un rêveur ? (A) Ce n’est pas la question. La question est qu’il écrit des mathématiques – et ce qu’il écrit n’est PAS mathématique. Il n’est pas capable de définir ses termes, ni lui, ni ses amis qui écrivent pour lui. Il ne s’agit donc pas de mathématiques mais de rêves. J’aime lire les rêves mais lorsqu’il s’agit d’un document mathématique avec une formule… (L) La prochaine question évidente est donc de savoir comment convertir cela en mathématiques ?
R : C’est délicat mais il faut de la patience pour supprimer et retravailler les unités mathématiques qui ne conviennent pas.
Q : (A) Il a cette obsession d’utiliser des unités variables… des iso-unités… et il a cette vision de la gravité qui est similaire à celle de certains autres physiciens russes… et, selon lui, l’espace-temps est plat. Il s’agit simplement d’un espace plat avec une iso-unité – une unité déformée. Ceci est contraire à Einstein où l’espace-temps est courbé avec des trous de vers et toutes sortes de caractéristiques topologiques. Mais, pour Santilli, l’espace-temps est un espace plat avec du temps. A-t-il raison ?
R : Et le plat ne peut pas ĂŞtre courbe ?
Q : (A) Si quelque chose est plat, il ne peut pas y avoir de trou ou de trou de ver… si c’est plat, c’est plat. Il ne peut pas y avoir de trou qui soit connecté à un autre trou.
R : Et si le « trou » est parallèle au plan de la courbe plate plutôt que perpendiculaire ?
Q : (A) Dans la théorie gravitationnelle et la cosmologie d’Einstein, on nous dit que l’univers est fermé donc qu’il ressemble à une surface sphérique… ce ne peut pas être une surface sphérique…
R : Cela suppose qu’il n’y ait qu’un seul univers. Pas des univers interconnectés de natures différentes et c’est là que réside la faille de la théorie d’Einstein. Cependant, il y a un manque de substance connue dans la théorie du champ unifié d'Einstein. Pourquoi penses-tu qu’il s’est engagé dans cette voie pour commencer ? Elle devait servir de fusion entre ses hypothèses. Sa réalisation a été rendue secrète.
Q : (A) D’accord, nous avons ce monde matériel et le monde spirituel, et les mathématiques sont censées nous aider à créer un pont entre ces deux mondes. Je sais comment décrire le monde matériel, les champs, les particules, les ondes, les ondes quantiques, à l’aide de mathématiques. Mais, je voudrais savoir quels concepts mathématiques sont nécessaires ou devraient être utilisés pour décrire la partie spirituelle. Maintenant la seule chose que je sais de cette partie spirituelle, c’est qu’on nous a dit que la conscience est la forme la plus pure de l’énergie. Les concepts mathématiques utilisés pour décrire l’énergie doivent-ils également être utilisés pour décrire la conscience ? Ou bien faut-il autre chose ?
R : Eh bien, tu y parviendras certainement en utilisant des concepts mathématiques.
Q : (A) Il est certain que nous devons y arriver en utilisant des concepts mathématiques mais ma question est la suivante : QUELS concepts mathématiques ? À quoi doivent-ils ressembler ? Quelle direction ? Je n’ai AUCUNE IDÉE sur la façon de modéliser mathématiquement la conscience et de la relier au monde physique. Comment faire cela ? Donnez-moi un point de départ, s’il vous plaît.
R : Quel point de départ cherches-tu ?
Q : (A) D’accord. Indiquez-moi un document, un livre, quelqu’un, une idée, qui me mettra sur la voie. Je n’ai aucune idée de comment aller au-delà du monde physique en utilisant les mathématiques. Je peux rêver… (L) Est-ce que les mêmes termes qui décrivent le monde physique décrivent aussi le monde spirituel avec peut-être une sorte de détournement ?
R : Les mathématiques sont le grand unificateur
Q : (L) Voulez-vous dire que les mathématiques ELLES-MÊMES sont l’expression du monde spirituel ?
R : Un pont
Q : (L) Puisque tout est illusion, il me semble que les mathématiques qui décrivent le monde physique décrivent, en même temps, le monde spirituel – seulement, peut-être, une image miroir.
R : Les illusions ne s’adaptent qu’à leur propre domaine selon les besoins. Pourquoi avez-vous l’infini en tant que concept ?
Q : (A) Eh bien, parce que nous avons des nombres naturels et nous pouvons facilement prouver qu’il y a une infinité de nombres naturels.
R : Mais il s’agit là d’une tentative désespérée de superposer une échelle linéaire à ce qui est, par nature, réellement cyclique.
Q : (A) D’accord, dites-vous que nous devons nous débarrasser de l’infini ? Nous devrions compter 1,2,3,4,5,6,7,8,9,0,1,2,3,4,5,6,7,8,9,0 ou quelque chose comme ça ? Nous n’avons pas BESOIN de l’infini ? Non, probablement pas car la question portait sur la conscience… et nous ne sommes pas incités à penser à l’infini – tout est cyclique. D’accord, il y a quelques instants, j’ai posé une question sur ce plan et sur le fait qu’un plan est infini, contrairement à une sphère qui est finie et cyclique. Vous avez dit que le plan est bon et que la sphère est mauvaise. Alors…
R : Non
Q : (A) Mais un plan, en lui-même, est infini – c’est ainsi que nous sommes arrivés à l’infini parce que nous avions un plan infini…
R : Qu’est-ce qu’un plan circulaire ?
Q : (A) Quoi ? Un disque. Parfois, nous leur posons des questions et nous obtenons des réponses à d’autres questions… Dernière question : Je suis dans un état général de désespoir parce qu’il y a tellement de choses à apprendre, tellement de chemins à suivre, tellement de choses à étudier, tellement de théorèmes à prouver, tellement de concepts mathématiques qui peuvent être développés et tellement de choses au-delà des mathématiques et de la physique qui doivent être étudiées, les crop-circles, par exemple, que je ne sais vraiment pas par où commencer. Je ne veux pas m’engager dans un labyrinthe qui ne mène nulle part… Que faire ?
R : Face à un tel dilemme, le mieux est de faire simplement, sans préjugé, ni peur de l’erreur. En d’autres termes, il faut laisser le chemin se créer de lui-même. Sur ce, bonne nuit.
Fin de la séance
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Merci aux membres de l’équipe française pour cette traduction.
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Date de la séance : 19 décembre 1998
Laura, Frank, Ark
Q : Bonsoir
R : Bonsoir
Q : Et qui est avec nous ce soir ?
R : Timmah
Q : Et d’où transmettez-vous ?
R : Cassiopée
Q : J’ai deux questions que je souhaiterais poser avant qu’Ark ne pose les siennes parce que je pense qu’elles seront courtes. La première est : qu’est-ce qui se passe avec mon fils ? Pourquoi se comporte-t-il autant comme une brute ?
R : Multiples raisons
Q : Pouvons-nous faire quelque chose à ce sujet de manière efficace et pacifique ?
R : Dans une certaine mesure
Q : Quel serait le meilleur plan d’action parmi ceux dont nous parlions précédemment ?
R : Se mettre Ă son niveau.
Q : Lui parler ? Se mettre Ă son niveau ?
R : Pourquoi pas ?
Q : Très rapidement, pouvez-vous me donner un résumé des raisons de ce comportement ? Est-il jaloux d’Ark, est-il un portail d’attaque, reflète-t-il l’influence de son père ou tout cela à la fois ?
R : Plus 2 que 1 ou 3
Q : Vous voulez dire qu’il est utilisé pour nous perturber dans le but de détourner, ralentir ou arrêter la « mission » ?
R : Oui. Il y a aussi des composantes physiologiques.
Q : Quelles sont les composantes physiologiques ?
R : Hormonales.
Q : Peut-on faire quelque chose pour la partie physiologique – existe-t-il un thé, une herbe ou un supplément qui l’aiderait ? Quelque chose qui le soulagerait ?
R : Ce ne serait pas judicieux. Cela pourrait l’amener à expérimenter d’autres substances.
Q : Quelle expérimentation de substances ?
R : Tu les connais sous le nom de drogues.
Q : Pourquoi le fait de donner un thé ou une préparation à base de plantes conduirait-il à l’abus ou à l’expérimentation de substances ?
R : Cela amène quelqu’un à « un stade tendre » à croire que les réponses se trouvent dans des solutions physiques.
Q : Il faut donc que nous nous mettions à son niveaui et qu’il développe, de lui-même, des contrôles spirituels et mentaux.
R : Proche.
Q : Pouvez-vous me rapprocher davantage ?
R : Tu dois savoir qu’il y a des enjeux karmiques ici, c’est pourquoi les rapides doivent être franchis.
Q : Pouvez-vous nous dire quelle est la nature de l’interaction karmique ?
R : Non
Q : Le karma est-il entre moi et mon fils ou entre Ark et mon fils ?
R : Plus pour toi.
Q : Merveilleux ! Juste ce dont j’avais besoin ! J’en ai plus dans mon assiette ! (A) Qu’est-ce que cela signifie, « d’autres expériences sur les substances ». Est-il en train d’expérimenter ?
R : Il l’a fait
Q : (L) Il m’a dit qu’il l’avait fait mais qu’il n’aimait pas ça. Est-ce qu’il m’a dit la vérité ?
R : Pas tout à fait. Tu as déjà fait preuve de naïveté. Mieux vaut ne pas penser que votre progéniture ne cherche pas à vous tromper. C’est presque une question de politique avec eux. Pourquoi soupçonner le contraire ?
Q : Eh bien, j’ai CRU que tout le soin que j’avais mis à leur parler et à leur expliquer les choses, à être ouvert avec eux, à partager avec eux les sacrifices et les souffrances dont ils sont conscients, ferait que ce genre de choses se produirait moins souvent. Je suppose que je vis dans une illusion…
R : C’est beaucoup plus complexe que cela. Même dans les environnements les plus ouverts et les plus aimants, le karma fait son chemin. Il n’est pas possible de contrôler son destin à moins d’être familier avec toutes les énergies impliquées. Au niveau de la 3e densité, vous ne possédez pas tous les outils, qui sont le fruit d’une compréhension plus élevée. C’est un peu comme prendre une douche en enfilant un imperméable !
Q : Eh bien, cela semble dire que nous avons du travail à faire en termes de connaissance supérieure et de ces énergies. Pouvez-vous nous donner des conseils dans cette direction ?
R : Vous connaissez ou avez accès aux conseils. Vous l’oubliez souvent ou les négligez dans l’environnement passionné et émotionnel de la pratique !
Q : Une parole de sagesse particulière pour gérer mon fils, ou tous mes enfants, en ce moment ?
R : Au plus bas de l’échelle de navigation, perdre du poids améliorerait l’estime de soi, ce qui atténuerait quelque peu le coup.
Q : De quel coup parlez-vous ?
R : Qu’en penses-tu ?
Q : J___ a reçu un coup ?
R : Non
Q : Parlez-vous de moi ?
R : Plus ou moins. C’est un coup dur pour les troisièmes densités de voir leurs plans les mieux conçus tomber à l’eau.
Q : Donc, vous êtes en train de dire que tous mes projets pour mes enfants devraient être jetés par la fenêtre et que je devrais les oublier ?
R : Non, bien sûr que non ! Mais « tes projets » sont une négation de l’acceptation du fait que leurs âmes ont des « projets » qui leur sont propres !
Q : Alors, tout ce que je peux faire, c’est traverser cette période du mieux que je peux et, bientôt, ils seront tous autonomes…
R : Très proche.
Q : Je devrais donc prévoir le jour où ils quitteront tous la maison. J’ai presque atteint ce stade. J’ai arrêté de faire des projets pour eux, j’ai arrêté d’essayer de façonner leur vie… (F) Oui mais, tu sais, tous ceux qui ont des enfants passent par-là et, plus on a d’enfants, plus on passe par là . (L) Certains parents essaient de tout contrôler et c’est une lutte sans fin et infructueuse. Ce n’est pas mon intention. Je peux voir quand une retraite stratégique est conseillée. (F) Je n’ai encore jamais vu ou entendu parler d’un parent qui était vraiment capable de veiller à ce que les désirs qu’il avait pour ses enfants se réalisent complètement. (L) Quelque chose d’autre à ce sujet ?
R : Non
Q : Maintenant, je PENSE que ma deuxième question sera beaucoup plus rapide et simple ! Si, en 4e densité, il y a une variabilité de tout ce qui est physique et que les Lizzies, comme vous l’avez dit précédemment, fabriquent de nouveaux corps pour eux-mêmes afin de les occuper dans une sorte de transition de masse au moment du passage de la frontière de ce monde, dans cet état de variabilité de tout ce qui est physique, pourquoi ont-ils besoin de fabriquer de nouveaux corps pour eux-mêmes ? Pourquoi, en fait, les Lizzies sont-ils des Lizzies ?
R : Trop de questions
Q : Pourquoi ressemblent-ils à des lézards ?
R : Ce n’est pas le cas
Q : Eh bien, pourquoi les appelons-nous des êtres lézards ? Je veux dire, c’est VOUS qui les avez appelés ainsi ?
R : Nous apposons des étiquettes en fonction de votre familiarité. Si nous les avions appelés « Drachomonoïdes », quel serait votre point de référence ?
Q : À quoi ressemblent-ils VRAIMENT ?
R : Tu peux imaginer ce que tu veux
Q : Vous avez dit qu’ils ressemblaient à des alligators dressés avec des traits humanoïdes, mesurant de 1,80 m à 2,50 m…
R : Oui
Q : Alors, pourquoi ressemblent-ils Ă cela ?
R : La biologie
Q : La biologie existe-t-elle en 4e densité ?
R : Oui
Q : Pourtant, il s’agit d’une densité physique variable, n’est-ce pas ?
R : Oui mais quelle est ton hypothèse ?
Q : Je ne sais pas quelle est mon hypothèse. Je suppose que si c’est un état variable, ils pourraient avoir une biologie différente très facilement. N’est-ce pas le cas ?
R : Non
Q : Peuvent-ils apparaître sous une autre forme ? Changer de physique ?
R : Temporairement
Q : Quand vous dites « temporaire », qu’entendez-vous exactement ? Le terme « temporaire » se rapporte au temps.
R : Nous avons déjà expliqué que le facteur le plus important concernant les densités est le niveau de conscience.
Q : Le niveau de conscience. D’accord, quel est le rapport avec le fait qu’ils ne peuvent changer d’apparence que temporairement. Est-ce parce qu’ils peuvent contrôler NOTRE conscience ?
R : Proche. N’es-tu pas encore consciente qu’absolument tout, nous répétons : tout est une illusion ?!?
Q : À un certain niveau, oui. Alors, je demande encore pourquoi, dans l’illusion dans laquelle nous existons ou dans laquelle ils existent… (A) Ils disent ici que tout est illusion et, d’autre part, ils disent qu’il y a la conscience et la matière. Tout est illusion ? Même cela ?
R : Oui
Q : (A) Dieu est aussi une illusion ?
R : Oui
Q : (A) Illusion pour qui ?
R : Pour ceux qui ne sont pas au niveau 7. Votre apprentissage dicte naturellement vos expériences. Lorsque vous n’avez plus besoin d’une chose, vous passez naturellement à autre chose. Cependant, vous la conservez en tant que fonction de la compréhension.
Q : (A) Et je suis aussi une illusion ! Et la compréhension est aussi une illusion ! (L) Revenons à ma question : qui a créé les Lizzies EN TANT QUE LIZZIES ? (A) Notre illusion…
R : Tout est réel donc l’illusion est la réalité
Q : (L) Si tout est illusion, d’où vient cette illusion et dans quel espace surgit-elle ?
R : De votre conscience
Q : (L) D’où vient cette conscience ?
R : La conscience est l’absolu, le point central
Q : (L) Où est-elle centrée ?
R : Dans l’accès
Q : (L) Qu’est-ce que l’accès ?
R : L’impulsion qui engendre l’énergie
Q : (L) De quoi est faite cette énergie ?
R : La conscience
Q : (L) Y a-t-il eu un moment où cette conscience n’existait pas ?
R : Non mais il n’y a jamais eu de temps.
Q : (L) Qu’est-ce qui a poussé cette conscience à rêver toutes ces illusions ?
R : Besoin d’équilibre. L’énergie ne peut exister dans le vide, elle doit donc être rythmée. D’où les ondes.
Q : (L) Vous dites que l’impulsion pour rêver toutes les illusions était le besoin d’équilibre ; cela implique un déséquilibre et que le déséquilibre était l’existence dans le vide…
R : Non
Q : (L) Qu’est-ce qui a motivé le besoin d’équilibre ?
R : Ce n’est pas un besoin en soi, c’est juste une fonction naturelle.
Q : (L) Eh bien, quand vous avez un battement, vous avez une onde et si vous avez une onde, cela implique le temps.
R : C’est là que réside le nœud de votre illusion en 3e densité. Pourquoi supposer qu’un aspect donné de l’impulsion ne se produit pas en même temps qu’un autre. Et si l’un d’entre eux le fait, tous le font. Jusqu’à ce que vous vous libériez une fois pour toutes de l’illusion du temps, vous ne progresserez pas.
Q : (L) Eh bien, revenons à ma question…
R : Non, on ne peut répondre à ta question que si tu cesses de présumer de l’éventail des réponses acceptables.
Q : (L) J’ai terminé, alors. (A) C’est une question sur le temps…[rires] Vous dites que le temps est une illusion, mais vous avez dit plusieurs fois des choses sur le temps et je veux poser une question sur ce temps. J’ai demandé si le temps devait être considéré comme la 4e dimension, vous avez dit pourquoi ne pas considérer le temps comme jaillissant de la 5e dimension. S’agissait-il d’une plaisanterie ou d’une chose sérieuse que je devais considérer ?
R : Sérieuse
Q : (A) D’accord. À un autre moment, lorsque nous parlions des gravitons, vous avez d’abord dit qu’il n’y a pas de gravitons en soi mais qu’un « graviton » est un électron dans un vide temporel.
R : Oui
Q : (A) Quand vous avez dit qu’il n’y avait pas de gravitons, vous vouliez dire qu’il n’y en avait pas au sens habituel du terme, comme le suggèrent certains physiciens.
R : Oui à peu près
Q : (A) Eh bien, dans une Théorie du Champ Unifié bien conçue, il y a une place pour quelque chose que nous pourrions appeler « graviton » qui a une source similaire à un électron mais dans un vide temporel. À ce moment-là , j’ai commencé à considérer le temps comme une sorte de champ – comme d’autres champs. Ce champ a quelque chose à voir avec la 5e dimension. J’ai une hypothèse sur la façon dont on peut avoir du temps venant d’une 5e dimension et sur ce que signifie un vide temporel. Cela signifie que là où il y a un vide temporel, il n’y a pas de temps.
R : Oui
Q : (A) D’accord, c’est une chose. À un autre moment, nous parlions de pentagones et d’hexagones. J’ai essayé d’être rusé quand il s’agissait de pentagones, j’ai écrit une formule mathématique, un symbole pour un pentagone et ensuite il y avait la question des signes. Nous avions besoin de cinq signes. Je vous ai demandé s’il fallait quatre plus et un moins ou trois plus et deux moins. La réponse a été qu’il devait y avoir trois plus et deux moins dans un pentagone. Maintenant, qu’en est-il d’un hexagone ? Que faut-il mettre dans un hexagone ? Trois plus et trois moins ou quatre plus et deux moins ?
R : Quatre et deux
Q : (A) C’est ce que j’espérais, cependant, je vois une certaine contradiction entre ce pentagone parce que si je pars de 5 dimensions en essayant de construire quelque chose comme un champ temporel à partir d’un plus et d’un moins, alors j’utilise une dimension qui est comme une dimension de lumière dans cet espace 5D. Donc, je me retrouve avec deux plus et un moins qui n’a rien à voir avec tout ce que nous connaissons en physique. Pour moi, il y a une contradiction entre trois plus et deux moins et le fait que je doive construire le temps comme un champ supplémentaire. Que faire ? Je ne sais pas. Que dois-je faire ?
R : Quand nous avons dit « jaillir » de la 5e dimension, quelles sont les possibilités intéressantes que cela offre ?
Q : (A) Vous obtenez ce que nous pouvons appeler une forme temporelle et cette forme temporelle est parfois comme n’importe quel autre champ physique. Alors, bien sûr, les différentes possibilités que je peux modéliser mathématiquement : forme temporelle, vide temporel, temps différents, boucles temporelles et autres choses. Ce sont des possibilités intéressantes que j’ai, à condition d’utiliser quelque chose de similaire à Kaluza-Klein. Ai-je raté quelque chose ?
R : Ce n’est pas que quelque chose t’échappe, c’est simplement que tu n’as pas encore trouvé ce quelque chose.
Q : (A) Quel est ce quelque chose ?
R : Le tétraèdre
Q : (A) Ok, à un moment donné nous avons parlé d’une matrice 3D, 12x12x12. Je me demandais d’où venait ce 12 et je me disais que 12 c’est 2x6 et que j’étais censé regarder des hexagones et qu’un hexagone représente 6 dimensions, quatre plus et deux moins. Si j’ajoute à cela 6 énergies correspondant à 6 dimensions alors j’ai 12 dimensions et cela expliquerait le nombre 12. Est-ce exact ?
R : Oui.
Q : (A) Maintenant, tout cela a quelque chose à voir avec la gravité et, à un moment donné, vous avez dit que toute cette affaire de gravité/antigravité n’est qu’un moyen et que le but principal est d’atteindre une connaissance plus élevée. Qu’est-ce que cette connaissance supérieure, quel type de connaissance supérieure ?
R : Tu es sur le chemin
Q : (A) Je voudrais poser une question sur Ruggerio Santilli. Il était ici, il vous parlait, il utilisait sa propre terminologie. Vous répondiez en utilisant une partie de sa terminologie. J’ai essayé à plusieurs reprises de comprendre son travail, mais je n’y parviens pas. Y a-t-il quelque chose qui ne va pas chez moi ?
R : Non
Q : (A) Que dois-je faire à ce sujet ? J’ai rassemblé tous les documents qu’il a écrits et je voulais vraiment les étudier et les comprendre mais, chaque fois que je commençais, je devais m’arrêter parce que je ne comprenais pas. Il utilise des termes non définis.
R : Les termes non définis prennent forme lorsqu’ils sont affinés. Ruggerio Santilli est considéré comme un voyou dans le domaine de la physique parce qu’il s’écarte des conventions. Ses rêves orientent ses recherches. Mais ce n’est pas une mauvaise chose. Il libère l’esprit conscient de la prison si vénérée à votre niveau de densité. Le mieux est de peaufiner avec amour le travail du rêveur, ce qui lui donne de la substance dans le domaine des conventions.
Q : (L) Comment peut-on s’y prendre pour peaufiner avec amour le travail d’un rêveur ? (A) Ce n’est pas la question. La question est qu’il écrit des mathématiques – et ce qu’il écrit n’est PAS mathématique. Il n’est pas capable de définir ses termes, ni lui, ni ses amis qui écrivent pour lui. Il ne s’agit donc pas de mathématiques mais de rêves. J’aime lire les rêves mais lorsqu’il s’agit d’un document mathématique avec une formule… (L) La prochaine question évidente est donc de savoir comment convertir cela en mathématiques ?
R : C’est délicat mais il faut de la patience pour supprimer et retravailler les unités mathématiques qui ne conviennent pas.
Q : (A) Il a cette obsession d’utiliser des unités variables… des iso-unités… et il a cette vision de la gravité qui est similaire à celle de certains autres physiciens russes… et, selon lui, l’espace-temps est plat. Il s’agit simplement d’un espace plat avec une iso-unité – une unité déformée. Ceci est contraire à Einstein où l’espace-temps est courbé avec des trous de vers et toutes sortes de caractéristiques topologiques. Mais, pour Santilli, l’espace-temps est un espace plat avec du temps. A-t-il raison ?
R : Et le plat ne peut pas ĂŞtre courbe ?
Q : (A) Si quelque chose est plat, il ne peut pas y avoir de trou ou de trou de ver… si c’est plat, c’est plat. Il ne peut pas y avoir de trou qui soit connecté à un autre trou.
R : Et si le « trou » est parallèle au plan de la courbe plate plutôt que perpendiculaire ?
Q : (A) Dans la théorie gravitationnelle et la cosmologie d’Einstein, on nous dit que l’univers est fermé donc qu’il ressemble à une surface sphérique… ce ne peut pas être une surface sphérique…
R : Cela suppose qu’il n’y ait qu’un seul univers. Pas des univers interconnectés de natures différentes et c’est là que réside la faille de la théorie d’Einstein. Cependant, il y a un manque de substance connue dans la théorie du champ unifié d'Einstein. Pourquoi penses-tu qu’il s’est engagé dans cette voie pour commencer ? Elle devait servir de fusion entre ses hypothèses. Sa réalisation a été rendue secrète.
Q : (A) D’accord, nous avons ce monde matériel et le monde spirituel, et les mathématiques sont censées nous aider à créer un pont entre ces deux mondes. Je sais comment décrire le monde matériel, les champs, les particules, les ondes, les ondes quantiques, à l’aide de mathématiques. Mais, je voudrais savoir quels concepts mathématiques sont nécessaires ou devraient être utilisés pour décrire la partie spirituelle. Maintenant la seule chose que je sais de cette partie spirituelle, c’est qu’on nous a dit que la conscience est la forme la plus pure de l’énergie. Les concepts mathématiques utilisés pour décrire l’énergie doivent-ils également être utilisés pour décrire la conscience ? Ou bien faut-il autre chose ?
R : Eh bien, tu y parviendras certainement en utilisant des concepts mathématiques.
Q : (A) Il est certain que nous devons y arriver en utilisant des concepts mathématiques mais ma question est la suivante : QUELS concepts mathématiques ? À quoi doivent-ils ressembler ? Quelle direction ? Je n’ai AUCUNE IDÉE sur la façon de modéliser mathématiquement la conscience et de la relier au monde physique. Comment faire cela ? Donnez-moi un point de départ, s’il vous plaît.
R : Quel point de départ cherches-tu ?
Q : (A) D’accord. Indiquez-moi un document, un livre, quelqu’un, une idée, qui me mettra sur la voie. Je n’ai aucune idée de comment aller au-delà du monde physique en utilisant les mathématiques. Je peux rêver… (L) Est-ce que les mêmes termes qui décrivent le monde physique décrivent aussi le monde spirituel avec peut-être une sorte de détournement ?
R : Les mathématiques sont le grand unificateur
Q : (L) Voulez-vous dire que les mathématiques ELLES-MÊMES sont l’expression du monde spirituel ?
R : Un pont
Q : (L) Puisque tout est illusion, il me semble que les mathématiques qui décrivent le monde physique décrivent, en même temps, le monde spirituel – seulement, peut-être, une image miroir.
R : Les illusions ne s’adaptent qu’à leur propre domaine selon les besoins. Pourquoi avez-vous l’infini en tant que concept ?
Q : (A) Eh bien, parce que nous avons des nombres naturels et nous pouvons facilement prouver qu’il y a une infinité de nombres naturels.
R : Mais il s’agit là d’une tentative désespérée de superposer une échelle linéaire à ce qui est, par nature, réellement cyclique.
Q : (A) D’accord, dites-vous que nous devons nous débarrasser de l’infini ? Nous devrions compter 1,2,3,4,5,6,7,8,9,0,1,2,3,4,5,6,7,8,9,0 ou quelque chose comme ça ? Nous n’avons pas BESOIN de l’infini ? Non, probablement pas car la question portait sur la conscience… et nous ne sommes pas incités à penser à l’infini – tout est cyclique. D’accord, il y a quelques instants, j’ai posé une question sur ce plan et sur le fait qu’un plan est infini, contrairement à une sphère qui est finie et cyclique. Vous avez dit que le plan est bon et que la sphère est mauvaise. Alors…
R : Non
Q : (A) Mais un plan, en lui-même, est infini – c’est ainsi que nous sommes arrivés à l’infini parce que nous avions un plan infini…
R : Qu’est-ce qu’un plan circulaire ?
Q : (A) Quoi ? Un disque. Parfois, nous leur posons des questions et nous obtenons des réponses à d’autres questions… Dernière question : Je suis dans un état général de désespoir parce qu’il y a tellement de choses à apprendre, tellement de chemins à suivre, tellement de choses à étudier, tellement de théorèmes à prouver, tellement de concepts mathématiques qui peuvent être développés et tellement de choses au-delà des mathématiques et de la physique qui doivent être étudiées, les crop-circles, par exemple, que je ne sais vraiment pas par où commencer. Je ne veux pas m’engager dans un labyrinthe qui ne mène nulle part… Que faire ?
R : Face à un tel dilemme, le mieux est de faire simplement, sans préjugé, ni peur de l’erreur. En d’autres termes, il faut laisser le chemin se créer de lui-même. Sur ce, bonne nuit.
Fin de la séance