Thanks to the members of the French translation group who have just translated that session.
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Merci aux membres de l’équipe française pour cette traduction.
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Date de la séance : 28 novembre 1998
Laura, Ark, Frank
Q : Bonsoir.
R : Bonsoirr.
Q : Et qui est avec nous ce soir ?
R : Nuthurra.
Q : Et d’où transmettez-vous ?
R : Cassiopée.
Q : (A) Ma première question concerne le type qui m’a écrit la semaine dernière de Bruxelles et qui, deux jours plus tard, m’a invité là -bas et m’a offert de payer tous les frais pour que je vienne parler. Sur leurs pages web, ils présentent toutes sortes de choses intéressantes telles que l’informatique quantique, la propulsion spatiale, etc. Cela s’appelle "Stargate", et j’aimerais savoir ce qui motive l’intérêt de ces personnes à Bruxelles.
R : Ils te trouvent fascinant !
Q : (A) Qui est derrière eux ? Qui finance toutes ces recherches ?
R : Quelque chose qu’on appelle « Ducherme ».
Q : (A) Dois-je être particulièrement prudent dans mes contacts avec eux ?
R : Ces personnes sont innocentes, bien qu’un peu naïves dans leur enthousiasme pour les projets « Milléniaux ».
Q : (A) Y a-t-il un avenir dans ce contact ?
R : Uniquement pour préserver ta visibilité au sein de la communauté scientifique.
Q : (L) Est-ce que c’est quelque chose qu’il veut faire ?
R : Qu’il le veuille ou non, cela peut être utile.
Q : (L) Ainsi, il serait utile d’établir une liaison avec ces personnes ?
R : Peut-être.
Q : (A) La dernière fois que nous avons discuté, vous avez fait une distinction essentielle entre le monde physique et le monde non physique, le monde éthéré, celui qui ne peut être quantifié. Maintenant, je connais un peu le monde physique, comment il est construit, et les principaux concepts d’atomes, de forces, et ainsi de suite. J’aimerais savoir quels sont les éléments constitutifs qui décrivent ce monde éthéré. Je vous pose la question parce que vous avez dit que ces deux mondes peuvent être reliés, voire unis. Pour les rapprocher, j’ai besoin de savoir quelque chose sur ce monde éthéré. Où puis-je l’apprendre ?
R : La conscience est en réalité la forme la plus pure de l’énergie. Le monde altéré est composé d’énergie de conscience. Pour mieux comprendre le concept, il faut puiser dans sa mémoire de rêves particulièrement vifs, où l’on ressentait la sensation de la physicalité dans un état transitoire.
Q : (A) Comment établir un pont entre le monde physique et le monde éthéré ?
R : La gravité est la clé. Il faut formuler une hypothèse basée sur la portée quantique du transfert de particules d’ondes. En d’autres termes, où va l’onde lorsqu’elle semble disparaître au cœur même d’un objet doté d’un champ gravitationnel puissant. Pentagone, hexagone, tu vois ?!?
Q : (A) Je comprends que cette affaire de gravité est en train de devenir l’étude la plus importante, et qu’en fait, je devrais concentrer mon énergie là et recommencer avec la formulation de la gravité…
R : Pour les scientifiques à l’esprit ouvert, il est préférable de se concentrer sur le magnétisme et la gravité. Utilise ta compréhension innée de la physique des champs dans ta recherche.
Q : (L) D’accord, je suis tombé sur des informations cette semaine, tout à fait par hasard, à propos de cette affaire Horsel. Je lis : « La déesse de la lune, ou Aphrodite, des anciens Allemands, s’appelait Horsel, ou Ursula… c’est la pure Artémis ; mais, conformément à son caractère ancien, elle est aussi l’Aphrodite sensuelle qui hante le Venusberg ; ce qui nous amène à l’histoire de Tannhauser. Le Horselberg, ou montagne de Vénus, se trouve en Thuringe, entre Eisenach et Gotha. En haut sur son versant, une caverne, le Horselloch, ou grotte de Vénus, bâille et l’on entend un grondement sourd, comme celui d’une eau souterraine. Autrefois, les habitants effrayés de la vallée voisine entendaient la nuit des gémissements et des cris sauvages, mêlés à des éclats de rire semblables à ceux d’un démon. » On croyait que Vénus y tenait sa cour, et nombreux étaient ceux qui déclaraient avoir vu des formes de beauté féminine leur faire signe depuis l’entrée du gouffre. Tannhauser était un chevalier franc et un célèbre ménestrel qui, au crépuscule, passant devant le Horselberg, « vit une silhouette blanche et scintillante d’une beauté incomparable se tenir devant lui et lui faire signe de la rejoindre. » Laissant son cheval, il monta à la rencontre de celle qu’il savait n’être autre que Vénus. Il descendit dans son palais, au cœur de la montagne, et y passa sept ans dans l’insouciance. Puis, pris de remords et désireux d’apercevoir à nouveau la pure lumière du jour, il invoqua dans son agonie la Vierge Mère, qui eut pitié de lui et le libéra. Il chercha une église de village et, prêtre après prêtre, confessa son péché, sans obtenir l’absolution, jusqu’à ce qu’il ait finalement recours au pape. Mais le saint père, horrifié par l’énormité de sa faute, déclara qu’une culpabilité telle que la sienne ne pourrait jamais être remise, même si le bâton qu’il tenait dans sa main verdissait et fleurissait. « Alors Tannhauser, désespéré et l’âme assombrie, s’en alla et retourna dans le seul asile qui lui était ouvert, le Venusberg. Mais voici que trois jours après son départ, le pape Urbain s’aperçut que des bourgeons avaient poussé sur son bâton pastoral et qu’ils s’étaient mis à fleurir. Il envoya alors des messagers à la recherche de Tannhauser, et ceux-ci, parvenus dans la vallée du Horsel, apprirent qu’un homme usé, au front hagard et à la tête baissée, venait d’entrer dans le Horselloch. Depuis lors, on n’a plus revu Tannhauser ».
Ce qui est curieux avec ce « Horsel », c’est qu’il m’a rappelé la fois où vous m’avez dit que je devais mieux comprendre le sujet. Vous avez ensuite donné l’indice « chevin », qui est une variante de « cheval », et il y a eu l’indice des armoiries de René d’Anjou dans le livre « Le tombeau de Dieu », où la vigne poussait de l’arbre fendu surmonté du rocher, à travers la « poignée » du Graal, puis il y a eu le livre « Le cheval de Dieu ». L’une des histoires mythiques répétées au sujet de l’abbé Bérenger Saunière est que, sur son lit de mort, il s’est confessé et que le prêtre qui l’a entendu lui a refusé l’absolution et les derniers sacrements, et s’est apparemment enfui de la maison, horrifié. Je ne sais pas si c’est vrai, mais c’est une histoire intéressante par rapport à l’histoire de Tannhauser, d’autant plus que Saunière a peint dans son église la décoration de Marie-Madeleine regardant un bâton d’où sortent des bourgeons, et qu’elle a été représentée dans une grotte, comme la grotte de Horselberg. Ce Horselberg est-il quelque chose que nous recherchons ici ?
R : Avez-vous déjà eu l’impression de danser en rond ?
Q : (L) Oui, mais l’une des particularités de cette affaire de Horselberg est que, selon la légende, trois « objets enflammés » ont atterri au sommet de cette montagne. Et si vous tracez une ligne entre Horselberg, qui est un « gros rocher », et le « gros rocher » du Luxembourg, elle traverse le Rhin exactement sur le gros rocher de la Lorelei…
R : Tritium.
Q : (L) Eh bien, Lorelei, traduit de l’allemand, en remontant aux racines saxonnes, signifie littéralement « le rocher de Laura ». J’ai trouvé cela TRÈS drôle. Vous m’aviez dit de chercher le trois, le « profil de connexion triplicatif », un rocher, et vous aviez mentionné les sirènes. Lorelei s’est ensuite transformée en une histoire de sirènes…
R : Mines de Tritium.
Q : (L) [à Ark] Qu’est-ce que le tritium ? (A) En physique, c’est un isotope de l’hydrogène. Il y a le deutérium et le tritium, et on fabrique des bombes à fusion avec du tritium. (L) Il y a donc des mines de tritium là -bas ? (A) On ne peut pas extraire le tritium, car c’est un gaz…
R : Mais d’où émane-t-il ?
Q : (A) C’est une bonne question. Je n’en sais rien. Nous pouvons le découvrir.
R : Cherchez l’indice !
Q : (L) Vous dites que je tourne en rond…
R : Nous disons, comme toujours, faites attention aux mots.
Q : (L) Eh bien, ce document dit aussi ce qui suit : « La baguette de sourcier n’est qu’un des nombreux objets auxquels la croyance populaire a attribué, avec d’autres propriétés talismaniques, le pouvoir d’ouvrir le sol ou de fendre les rochers, afin de révéler des trésors cachés. Laissons-le donc en paix, avec son morceau de noisetier fourchu, à la recherche de sources rafraîchissantes dans une future saison de soif, et essayons d’élucider l’origine de cette curieuse superstition.
La détection des eaux souterraines n’est pas la seule utilisation de la baguette de sourcier. Chez les anciens Frisons, elle était régulièrement utilisée pour repérer les criminels, et la réputation de Jacques Aymar a été acquise grâce à la découverte de l’auteur d’un horrible meurtre à Lyon. Dans toute l’Europe, elle a été utilisée de tout temps par les mineurs pour déterminer la position des veines de métal ; et à l’époque où les talents étaient enveloppés dans des serviettes et enterrés dans les champs, au lieu d’être exposés aux risques de la spéculation financière, la baguette de sourcier était employée par les personnes qui convoitaient les richesses de leurs voisins. Si Boulatruelle avait vécu au XVIe siècle, il aurait pris un bâton fourchu de noisetier pour partir à la recherche des trésors enfouis de Jean Val-Jean. Le noisetier a également été utilisé pour guérir des maladies et a été conservé dans les foyers, comme un charme de sorcier, pour assurer la bonne fortune générale et l’immunité contre les catastrophes. »
« Si l’on poursuit la conception dans le pays des elfes de la tradition populaire, on tombe sur un bâton qui non seulement indique l’emplacement d’un trésor caché, mais fend même le sol et révèle les richesses minérales qu’il contient. Dans la légende allemande, « un berger, qui conduisait son troupeau sur l’Ilsenstein, s’étant arrêté pour se reposer, appuyé sur son bâton, la montagne s’ouvrit soudain, car il y avait une plante printanière dans son bâton sans qu’il le sache, et la princesse [Ilse] se tenait devant lui. Elle lui dit de la suivre, et quand il fut à l’intérieur de la montagne, elle lui dit de prendre autant d’or qu’il lui plairait. Le berger remplit toutes ses poches et s’en allait, lorsque la princesse l’appela : « N’oublie pas le meilleur ». Pensant qu’elle voulait dire qu’il n’en avait pas pris assez, il remplit aussi son chapeau ; mais ce qu’elle voulait dire, c’était son bâton d’armoise, qu’il avait posé contre le mur dès qu’il était entré. Or, au moment où il sortait par l’ouverture, le rocher s’est soudain refermé et l’a coupé en deux. Ici, le bâton tire ses merveilleuses propriétés de l’alchémille enfermée, mais dans de nombreux cas, une feuille ou une fleur est elle-même capable d’ouvrir le flanc d’une colline. La petite fleur bleue, le myosotis, qui a fait l’objet de tant d’associations sentimentales, doit son nom aux légendes qui lui prêtent des vertus talismaniques. »
Il y a donc aussi des bâtons, des fleurs, des oiseaux et toutes sortes de choses qui peuvent « ouvrir le sol », quelque chose qui se passe sous terre, des plantes qui « cassent la roche », comme la « saxifrage » qui est devenue le sassafras. Il est dit ici : « Plus nous pénétrons dans ce cercle charmant de traditions, plus il apparaît évident que le pouvoir de fendre les rochers ou de briser des substances dures entre comme un élément primitif dans la conception de ces talismans révélateurs de trésors. » Il est ensuite question du schamir, qui aurait aidé Salomon à construire son temple, et du fait qu’il s’agit d’un « ver pas plus gros qu’un épi de maïs » capable de fendre les substances les plus dures. L’essentiel est qu’il existe un certain pouvoir, un pouvoir de briser les rochers, de pénétrer le sol…
R : L’or ne conduit-il pas l’électricité, la chaleur, etc.
Q : (L) Oui, et l’or est aussi appelé métal ferrophile, ou « aimant le fer », parce qu’il se lie facilement au fer.
R : Et le fer…
Q : (L) Le fer dans le sang… le fer dans le sol…
R : Magnétique…
Q : (L) Exactement. Quoi qu’il en soit, d’une manière ou d’une autre, tout ceci est lié à quelque chose que Salomon a utilisé pour construire son temple, et vous nous avez dit précédemment que le secret que les Templiers ont découvert SOUS le temple, était quelque chose qui avait trait à l’anti-gravité et qu’il était « enterré à Galle ». Donc, oui, nous tournons en rond. Pouvez-vous commenter mes propos ?
R : Les cercles, hmmm…
Q : (L) Oui, ce sont des cercles. Ensuite, j’ai découvert que la luzerne, un type très particulier de luzerne, pousse effectivement sur les hauts plateaux allemands. Et, en fait, cette luzerne a été apportée par un itinéraire que vous avez décrit… comme la France, l’Espagne, les îles Canaries, le Maroc. J’ai posé une question sur l’histoire des prétendus voyages de Marie-Madeleine, et vous avez dit que les personnes n’étaient pas importantes, mais que le message l’était. Vous avez ensuite dit que les « artefacts détiennent la clé » et vous avez énuméré cette séquence de lieux. J’ai trouvé un article sur la luzerne qui décrivait exactement cet itinéraire de propagation de la luzerne et sa valeur dans l’agriculture parce qu’elle renouvelle littéralement le sol dans lequel elle est cultivée. Il semble donc que vous décriviez l’itinéraire de la luzerne. Pouvez-vous nous en dire plus à ce sujet ?
R : Maintenant que vous l’avez découvert, peut-être devriez-vous faire des recherches sur les propriétés de cette luzerne riche en minéraux et sur ce qu’elle fait pour le corps de l’homo sapiens ?!?
Q : (L) Voilà qui est intéressant. La luzerne a été désignée comme le « père des aliments » et était cultivée principalement pour les chevaux, ce qui est intéressant ! Et nous avons le chevin et le « Cheval de Dieu ». Quoi qu’il en soit, l’une des principales régions où ce type particulier de luzerne était cultivé se trouve à Baden, juste à côté de ce Horselberg… juste à côté des rives du Rhin. Il y a là une vallée. Le trèfle est, bien sûr, une variante de la luzerne, et le mot « vallée » désigne une dépression dans le sol. Cela pourrait-il être juste à côté de l’emplacement du rocher de la Lorelei sur les rives du Rhin ?
R : Plus près, et qu’en est-il des quatre feuilles ?
Q : Oui, en effet. J’y travaillerai. Maintenant, une autre chose que j’ai trouvée, c’est la légende de cette Lorelei qui a été confondue avec les sirènes. La légende veut que la maison d’Anjou descende de l’épouse féérique d’Ingelgar, Mélusine, qui était une créature de type sirène. D’autre part, la légende veut que les Mérovingiens descendent d’un « Quinotaure », décrit en quelque sorte comme un homme-poisson. Je trouve curieux que ces deux lignées aient des légendes de descendants de ces créatures à moitié poissons, semblables au dieu Oannes des Babyloniens, et que nous ayons maintenant un lien avec la Lorelei qui a été confondue avec une sirène. Et c’est là , à l’endroit précis du Rhin, que l’on peut dire que ces deux familles ont « émergé », si ce n’est qu’elles sont nées. Tannhauser était une forme de l’Odysseus franc, ce qui nous renvoie à l’idée de la sirène, et vous avez mentionné les sirènes comme étant un indice. Pourriez-vous nous en dire plus à ce sujet, s’il vous plaît ?
R : Le chant des sirènes ? Qu’est-ce que cela signifie ? À quoi avons-nous déjà fait allusion à propos du son ?
Q : (L) Je pensais que le « chant des sirènes » était probablement une représentation mythique de l’anti-gravité.
R : Proche.
Q : (L) Pouvez-vous me donner un autre indice ?
R : Non, vous n’en avez pas besoin.
Q : (L) Bon, revenons à Rennes-le-Château, il y a ces trois prêtres et cet évêque qui ont plus d’argent qu’ils ne devraient en avoir. Il est clair qu’il y a quelque chose qui se passe là . Après analyse, je pense que les prétendus « parchemins » trouvés dans la colonne de l’autel de l’église n’ont jamais été vraiment trouvés, que ces parchemins et le prétendu code ont tous deux été inventés pour commettre une astucieuse fraude ; tout a été inventé, et pourtant il y A un mystère. Je pense également que le lien entre le tableau des Bergers d’Arcadie et cette église, cette région de France, est également frauduleux. L’écran de fumée est concentré à cet endroit pour éviter qu’il ne soit dirigé ailleurs. Suis-je sur la bonne voie ?
R : Eh bien, tout simplement, nous dirions, où est l’Arcadie ?
Q : (L) L’Arcadie était une province grecque. Vous avez fait de nombreuses références à Troie, qui se trouvait dans ce qui est aujourd’hui la Turquie. Il y a beaucoup de choses amusantes qui remontent à cette époque. Et Troie signifie « trois ». Intéressant.
R : C’est un indice pour vous, pas une destination !
Q : (L) Pouvez-vous me dire exactement ce que ces hommes, ces prêtres, étaient payés pour faire ou ne pas faire ? À quoi servait l’argent qui changeait de mains ? C’était beaucoup d’argent…
R : Les gardiens de la garde.
Q : (L) Garde de quoi ?
R : De tout ce qui se passait là .
Q : (L) Il me semble assez significatif que, alors que l’un d’entre eux s’apprêtait à prendre sa retraite, il ait été brutalement assassiné, et apparemment torturé avant sa mort, et que l’année suivante, l’abbé Saunière ait acheté une grande parcelle de terrain. Y a-t-il un lien entre Saunière et la mort de l’abbé Gelis ?
R : Ce n’est pas la question. Qu’arrive-t-il à ceux qui « en savent trop » ?
Q : (L) Qui les payait ? Quelle était la source de l’argent ?
R : Pas encore disponible pour vous.
Q : (L) Est-il vrai qu’avant de mourir, Saunière s’est confessé et que l’absolution lui a été refusée ?
R : Pas sur la bonne voie.
Q : (L) A-t-on trouvé des parchemins dans l’église ?
R : Idem.
Q : (L) Cette femme, Martha Neyman, prenant l’histoire au pied de la lettre, s’est rendue sur place et a trouvé toutes sortes de choses bizarres, et elle les a alignées selon sa formule, et elles forment des « motifs étonnants » et ainsi de suite. Chacun a une formule différente, chacun a une théorie et une méthode différentes, et tous semblent trouver des choses… Leurs découvertes semblent « correspondre » de manière tellement synchronisée à leurs théories et à leurs méthodes… c’est tout à fait stupéfiant ! C’est comme le phénomène des OVNIs. Quelles que soient les hypothèses de départ, il est possible de trouver des preuves pour étayer son point de vue ! Les choses sont miraculeusement là pour vous soutenir !
R : C’est pourquoi nous vous encourageons gentiment dans votre quête, tout en vous suggérant de faire preuve de patience et de ne pas anticiper.
Q : (L) D’accord. Mike a quelques questions à poser. (M) Rennes-le-Château se trouve sur l’un des six sommets qui forment un pentagone très régulier avec La Pique au centre. S’agit-il d’une formation naturelle, d’une construction ou d’une modification ?
R : Ce n’est pas important. Ce qui compte, c’est quel est l’effet produit.
Q : (M) Cette formation est-elle importante pour le mystère de la région ?
R : Très probablement, hein ?
Q : (M) Les églises et les châteaux de la région suivent un schéma très régulier. Sont-ils construits sur les fondations de structures antérieures, ou de villes, comme les cités wisigothiques disparues ?
R : Il est préférable de se référer à l’étude sur les OVNIs réalisée en 1954 au-dessus de la campagne française.
Q : (M) Que sont les ruches de la région ?
R : Pas allemainde. (Faute d’orthographe délibérée ?)
Q : (M) Horselberg est-il lié d’une manière ou d’une autre à cette région ?
R : Non.
Q : (L) Vous avez dit à un moment donné que je devrais transférer la recherche aux États-Unis et cesser de chercher en Europe. J’ai étudié des cartes pendant des jours, j’ai examiné l’index de l’Atlas et, à part Hot Springs, Arkansas, et Tempe, Arizona, et les plaines de San Augustin, Socorro, Roswell, Magdalena, etc., aucun de ces lieux n’a de configuration qui ait un sens pour moi. Pouvez-vous m’aider ?
R : Horseheads, N.Y.
Q : (L) Cela signifie-t-il… Horsehead, New York ?
R : Horseheads.
Q : (A) De quelle manière cela doit-il être lié ?
R : C’est une clé. Il faut beaucoup de clés pour déverrouiller la maison aux pignons.
Q : (L) Sept. Sept clés. Aaaaah… il y a Horsecave, dans le Kentucky…
R : Près de Mammoth Cave ?
Q : (L) Oui, je le crois. Aidez-moi ici !
R : C’est ce que nous faisons.
Q : (L) J’ai l’impression d’avoir été emportée par le « grand Roc », d’avoir traversé l’océan et d’être largué, « BAM », au milieu d’un autre continent, sans avoir la moindre idée de l’endroit où chercher !
R : Nous n’avons pas dit « arrêtez de chercher en Europe ». Seulement ne vous limitez pas à cela.
Q : (L) Eh bien, je veux TOUJOURS savoir ce qui est à l’origine du mystère de Rennes-le-Château, et pourquoi toute cette « industrie artisanale » de la chasse au trésor s’y déroule…
R : Les chasseurs de trésors manquent de patience dans leur quête.
Q : (A) Y a-t-il quelque chose à propos de ces lieux, des propriétés de certains minéraux situés sur ces sites à travers le monde, est-ce un facteur important ?
R : En partie.
Q : (A) D’accord, il y a trois possibilités. La première est qu’il y a des endroits importants parce qu’ils sont situés dans une position géo-magnétique particulière ; la deuxième est que ces endroits sont importants parce qu’il y a des ressources naturelles qui rendent possible ce qui est très difficile dans d’autres endroits. La troisième possibilité est que ces endroits ont été utilisés il y a de nombreuses années pour enterrer des dispositifs technologiques… et ces trois choses peuvent être liées…
R : Et les trois peuvent être vraies, en fait.
Q : (L) Hier soir, nous avons discuté de la possibilité que nous ayons eu ensemble une incarnation dans l’Égypte ancienne… Pourriez-vous répondre à cette question ?
R : Quand les pyramides ont-elles été construites ?
Q : (L) Je suppose que c’est une sorte de réponse. Avons-nous participé à la construction des pyramides ?
R : Tout ce qu’il faut faire, c’est regarder.
Q : (L) Nous avons donc assisté à la construction des pyramides. Pouvez-vous nous dire nos noms ?
R : Non.
Q : (L) Pourriez-vous nous dire quelle était notre relation ?
R : Non.
Q : (L) Pouvez-vous nous dire quoi que ce soit à ce sujet ?
R : Pas maintenant.
Q : (A) Peut-être que nous regardions depuis un vaisseau spatial ! (L) Bon, maintenant, puisque j’ai lu tout ce qui concerne la Bavière et que j’ai voyagé dans toute l’Allemagne grâce à ces indices, je voudrais revenir à la vie passée en Bavière dont vous nous avez parlé précédemment, où Frank et moi étions frère et sœur… enfants d’un « propriétaire terrien bavarois ». Ce propriétaire terrien avait-il d’autres enfants ?
R : Non.
Q : (L) Vous avez dit que le château qui avait été notre maison existait toujours ?
R : Oui.
Q : (L) Cela signifie-t-il qu’il existe en tant que ruines ou qu’il est utilisable ?
R : Préservé.
Q : (L) Pouvez-vous nous donner un lien pour que je puisse peut-être localiser le bâtiment et y jeter un coup d’œil ?
R : Stassel, von stassel, ou similaire.
Q : (L) Vous avez également dit que j’ai un enfant de ma dernière vie en Allemagne, pendant la période nazie, qui vit toujours et voyage entre l’Autriche et la Belgique ou quelque chose comme ça. Cette personne vit-elle encore à l’heure actuelle ?
R : Oui.
Q : (L) Existe-t-il un moyen de le retrouver, ou serait-il souhaitable de le faire ?
R : C’est à vous de décider. Il est difficile de trouver des archives sur les atrocités commises par les nazis.
Q : (L) Y a-t-il un indice que je pourrais utiliser dans cette recherche ?
R : Les camps de réorganisation.
Q : (L) Eh bien, en lisant ce Louis II de Bavière… cela m’a fait penser… Frank était-il Louis ?
R : Non.
Q : (L) Eh bien, ça collait tellement bien !!! Sur une note plus légère, Blue a envoyé un message dans lequel il disait qu’il venait de lire le compte-rendu sur les personnalités OVNI. Rétrospectivement, je pense qu’ils étaient assez précis. Quoi qu’il en soit, il a fait remarquer qu’il se demandait si vous riez autant de Richard Boylan que lui. Un commentaire ?
R : Nous ne devons pas « rire » du malheur des autres.
Q : (L) Je sais… c’est juste une tentative d’humour ! Maintenant, y a-t-il un aspect QUELCONQUE de cette affaire de Rennes-le-Château sur lequel je POURRAIS poser une question, alors que je ne sais peut-être pas comment la poser ?
R : Tu progresses très bien.
Q : (L) Donc, si je progresse « très bien », cela doit signifier que mon évaluation des parchemins, et des choses qui y sont liées, est correcte. Toute cette histoire est probablement inventée pour détourner les gens de ce qui se passe VRAIMENT là -bas. Il n’y a probablement pas de « trésor » à cet endroit, en tant que tel… Y a-t-il quelque chose d’important enterré dans cette région ?
R : Peut-être.
Q : (L) Est-ce que cela a quelque chose à voir avec des interférences ou des activités extraterrestres, aliens ou ULTRA-terrestres sur notre planète ?
R : Probablement.
Q : (L) Les trois prêtres savaient-ils que leurs interactions pouvaient être liées à une organisation Ultra-terrestre ?
R : Non.
Q : (L) Ils ont été manipulés ?
R : Bien sûr.
Q : (L) Cette zone est-elle une zone « fenêtre » similaire à la zone de New York ?
R : Ces vérités sont évidentes.
Q : (L) Les minéraux enfouis dans le sol ont-ils quelque chose à voir avec les fenêtres ?
R : Idem.
Q : (L) Existe-t-il de grandes caches d’or enterrées à différents endroits de la planète pour renforcer l’effet « fenêtre » ?
R : C’est une bonne possibilité.
Q : (L) Est-ce l’origine de la légende de l’Or du Rhin et du pont vers le Valhalla censé se trouver à cet endroit ?
R : Pas d’autres indices pour ce soir.
Q : (A) Une dernière chose : si je coupe cette image, les Bergers d’Arcadies, verticalement, et que j’essaie d’aligner les deux moitiés, que dois-je chercher ?
R : Ce qui est vu.
Q : (L) Bien essayé, Chéri ! (F) Est-ce le parti à qui je m’adresse ? (Rires) (L) Essaye encore ! Hmmm… un Quinotaure… un être à cinq pointes… Je dirais que le Quinotaure est un être qui se manifeste en 3e densité à partir de la 4e densité en vertu de la relation entre le mot « quinotaure » et le pentagone. Un commentaire ?
R : Non.
Q : (L) Les propriétés de la luzerne ont-elles tendance à renforcer l’effet non physique, ou vice versa ?
R : Peut-être qu’elles renforcent les « effets psychiques ». Sur ce, bonne nuit.
Fin de la séance
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Date de la séance : 28 novembre 1998
Laura, Ark, Frank
Q : Bonsoir.
R : Bonsoirr.
Q : Et qui est avec nous ce soir ?
R : Nuthurra.
Q : Et d’où transmettez-vous ?
R : Cassiopée.
Q : (A) Ma première question concerne le type qui m’a écrit la semaine dernière de Bruxelles et qui, deux jours plus tard, m’a invité là -bas et m’a offert de payer tous les frais pour que je vienne parler. Sur leurs pages web, ils présentent toutes sortes de choses intéressantes telles que l’informatique quantique, la propulsion spatiale, etc. Cela s’appelle "Stargate", et j’aimerais savoir ce qui motive l’intérêt de ces personnes à Bruxelles.
R : Ils te trouvent fascinant !
Q : (A) Qui est derrière eux ? Qui finance toutes ces recherches ?
R : Quelque chose qu’on appelle « Ducherme ».
Q : (A) Dois-je être particulièrement prudent dans mes contacts avec eux ?
R : Ces personnes sont innocentes, bien qu’un peu naïves dans leur enthousiasme pour les projets « Milléniaux ».
Q : (A) Y a-t-il un avenir dans ce contact ?
R : Uniquement pour préserver ta visibilité au sein de la communauté scientifique.
Q : (L) Est-ce que c’est quelque chose qu’il veut faire ?
R : Qu’il le veuille ou non, cela peut être utile.
Q : (L) Ainsi, il serait utile d’établir une liaison avec ces personnes ?
R : Peut-être.
Q : (A) La dernière fois que nous avons discuté, vous avez fait une distinction essentielle entre le monde physique et le monde non physique, le monde éthéré, celui qui ne peut être quantifié. Maintenant, je connais un peu le monde physique, comment il est construit, et les principaux concepts d’atomes, de forces, et ainsi de suite. J’aimerais savoir quels sont les éléments constitutifs qui décrivent ce monde éthéré. Je vous pose la question parce que vous avez dit que ces deux mondes peuvent être reliés, voire unis. Pour les rapprocher, j’ai besoin de savoir quelque chose sur ce monde éthéré. Où puis-je l’apprendre ?
R : La conscience est en réalité la forme la plus pure de l’énergie. Le monde altéré est composé d’énergie de conscience. Pour mieux comprendre le concept, il faut puiser dans sa mémoire de rêves particulièrement vifs, où l’on ressentait la sensation de la physicalité dans un état transitoire.
Q : (A) Comment établir un pont entre le monde physique et le monde éthéré ?
R : La gravité est la clé. Il faut formuler une hypothèse basée sur la portée quantique du transfert de particules d’ondes. En d’autres termes, où va l’onde lorsqu’elle semble disparaître au cœur même d’un objet doté d’un champ gravitationnel puissant. Pentagone, hexagone, tu vois ?!?
Q : (A) Je comprends que cette affaire de gravité est en train de devenir l’étude la plus importante, et qu’en fait, je devrais concentrer mon énergie là et recommencer avec la formulation de la gravité…
R : Pour les scientifiques à l’esprit ouvert, il est préférable de se concentrer sur le magnétisme et la gravité. Utilise ta compréhension innée de la physique des champs dans ta recherche.
Q : (L) D’accord, je suis tombé sur des informations cette semaine, tout à fait par hasard, à propos de cette affaire Horsel. Je lis : « La déesse de la lune, ou Aphrodite, des anciens Allemands, s’appelait Horsel, ou Ursula… c’est la pure Artémis ; mais, conformément à son caractère ancien, elle est aussi l’Aphrodite sensuelle qui hante le Venusberg ; ce qui nous amène à l’histoire de Tannhauser. Le Horselberg, ou montagne de Vénus, se trouve en Thuringe, entre Eisenach et Gotha. En haut sur son versant, une caverne, le Horselloch, ou grotte de Vénus, bâille et l’on entend un grondement sourd, comme celui d’une eau souterraine. Autrefois, les habitants effrayés de la vallée voisine entendaient la nuit des gémissements et des cris sauvages, mêlés à des éclats de rire semblables à ceux d’un démon. » On croyait que Vénus y tenait sa cour, et nombreux étaient ceux qui déclaraient avoir vu des formes de beauté féminine leur faire signe depuis l’entrée du gouffre. Tannhauser était un chevalier franc et un célèbre ménestrel qui, au crépuscule, passant devant le Horselberg, « vit une silhouette blanche et scintillante d’une beauté incomparable se tenir devant lui et lui faire signe de la rejoindre. » Laissant son cheval, il monta à la rencontre de celle qu’il savait n’être autre que Vénus. Il descendit dans son palais, au cœur de la montagne, et y passa sept ans dans l’insouciance. Puis, pris de remords et désireux d’apercevoir à nouveau la pure lumière du jour, il invoqua dans son agonie la Vierge Mère, qui eut pitié de lui et le libéra. Il chercha une église de village et, prêtre après prêtre, confessa son péché, sans obtenir l’absolution, jusqu’à ce qu’il ait finalement recours au pape. Mais le saint père, horrifié par l’énormité de sa faute, déclara qu’une culpabilité telle que la sienne ne pourrait jamais être remise, même si le bâton qu’il tenait dans sa main verdissait et fleurissait. « Alors Tannhauser, désespéré et l’âme assombrie, s’en alla et retourna dans le seul asile qui lui était ouvert, le Venusberg. Mais voici que trois jours après son départ, le pape Urbain s’aperçut que des bourgeons avaient poussé sur son bâton pastoral et qu’ils s’étaient mis à fleurir. Il envoya alors des messagers à la recherche de Tannhauser, et ceux-ci, parvenus dans la vallée du Horsel, apprirent qu’un homme usé, au front hagard et à la tête baissée, venait d’entrer dans le Horselloch. Depuis lors, on n’a plus revu Tannhauser ».
Ce qui est curieux avec ce « Horsel », c’est qu’il m’a rappelé la fois où vous m’avez dit que je devais mieux comprendre le sujet. Vous avez ensuite donné l’indice « chevin », qui est une variante de « cheval », et il y a eu l’indice des armoiries de René d’Anjou dans le livre « Le tombeau de Dieu », où la vigne poussait de l’arbre fendu surmonté du rocher, à travers la « poignée » du Graal, puis il y a eu le livre « Le cheval de Dieu ». L’une des histoires mythiques répétées au sujet de l’abbé Bérenger Saunière est que, sur son lit de mort, il s’est confessé et que le prêtre qui l’a entendu lui a refusé l’absolution et les derniers sacrements, et s’est apparemment enfui de la maison, horrifié. Je ne sais pas si c’est vrai, mais c’est une histoire intéressante par rapport à l’histoire de Tannhauser, d’autant plus que Saunière a peint dans son église la décoration de Marie-Madeleine regardant un bâton d’où sortent des bourgeons, et qu’elle a été représentée dans une grotte, comme la grotte de Horselberg. Ce Horselberg est-il quelque chose que nous recherchons ici ?
R : Avez-vous déjà eu l’impression de danser en rond ?
Q : (L) Oui, mais l’une des particularités de cette affaire de Horselberg est que, selon la légende, trois « objets enflammés » ont atterri au sommet de cette montagne. Et si vous tracez une ligne entre Horselberg, qui est un « gros rocher », et le « gros rocher » du Luxembourg, elle traverse le Rhin exactement sur le gros rocher de la Lorelei…
R : Tritium.
Q : (L) Eh bien, Lorelei, traduit de l’allemand, en remontant aux racines saxonnes, signifie littéralement « le rocher de Laura ». J’ai trouvé cela TRÈS drôle. Vous m’aviez dit de chercher le trois, le « profil de connexion triplicatif », un rocher, et vous aviez mentionné les sirènes. Lorelei s’est ensuite transformée en une histoire de sirènes…
R : Mines de Tritium.
Q : (L) [à Ark] Qu’est-ce que le tritium ? (A) En physique, c’est un isotope de l’hydrogène. Il y a le deutérium et le tritium, et on fabrique des bombes à fusion avec du tritium. (L) Il y a donc des mines de tritium là -bas ? (A) On ne peut pas extraire le tritium, car c’est un gaz…
R : Mais d’où émane-t-il ?
Q : (A) C’est une bonne question. Je n’en sais rien. Nous pouvons le découvrir.
R : Cherchez l’indice !
Q : (L) Vous dites que je tourne en rond…
R : Nous disons, comme toujours, faites attention aux mots.
Q : (L) Eh bien, ce document dit aussi ce qui suit : « La baguette de sourcier n’est qu’un des nombreux objets auxquels la croyance populaire a attribué, avec d’autres propriétés talismaniques, le pouvoir d’ouvrir le sol ou de fendre les rochers, afin de révéler des trésors cachés. Laissons-le donc en paix, avec son morceau de noisetier fourchu, à la recherche de sources rafraîchissantes dans une future saison de soif, et essayons d’élucider l’origine de cette curieuse superstition.
La détection des eaux souterraines n’est pas la seule utilisation de la baguette de sourcier. Chez les anciens Frisons, elle était régulièrement utilisée pour repérer les criminels, et la réputation de Jacques Aymar a été acquise grâce à la découverte de l’auteur d’un horrible meurtre à Lyon. Dans toute l’Europe, elle a été utilisée de tout temps par les mineurs pour déterminer la position des veines de métal ; et à l’époque où les talents étaient enveloppés dans des serviettes et enterrés dans les champs, au lieu d’être exposés aux risques de la spéculation financière, la baguette de sourcier était employée par les personnes qui convoitaient les richesses de leurs voisins. Si Boulatruelle avait vécu au XVIe siècle, il aurait pris un bâton fourchu de noisetier pour partir à la recherche des trésors enfouis de Jean Val-Jean. Le noisetier a également été utilisé pour guérir des maladies et a été conservé dans les foyers, comme un charme de sorcier, pour assurer la bonne fortune générale et l’immunité contre les catastrophes. »
« Si l’on poursuit la conception dans le pays des elfes de la tradition populaire, on tombe sur un bâton qui non seulement indique l’emplacement d’un trésor caché, mais fend même le sol et révèle les richesses minérales qu’il contient. Dans la légende allemande, « un berger, qui conduisait son troupeau sur l’Ilsenstein, s’étant arrêté pour se reposer, appuyé sur son bâton, la montagne s’ouvrit soudain, car il y avait une plante printanière dans son bâton sans qu’il le sache, et la princesse [Ilse] se tenait devant lui. Elle lui dit de la suivre, et quand il fut à l’intérieur de la montagne, elle lui dit de prendre autant d’or qu’il lui plairait. Le berger remplit toutes ses poches et s’en allait, lorsque la princesse l’appela : « N’oublie pas le meilleur ». Pensant qu’elle voulait dire qu’il n’en avait pas pris assez, il remplit aussi son chapeau ; mais ce qu’elle voulait dire, c’était son bâton d’armoise, qu’il avait posé contre le mur dès qu’il était entré. Or, au moment où il sortait par l’ouverture, le rocher s’est soudain refermé et l’a coupé en deux. Ici, le bâton tire ses merveilleuses propriétés de l’alchémille enfermée, mais dans de nombreux cas, une feuille ou une fleur est elle-même capable d’ouvrir le flanc d’une colline. La petite fleur bleue, le myosotis, qui a fait l’objet de tant d’associations sentimentales, doit son nom aux légendes qui lui prêtent des vertus talismaniques. »
Il y a donc aussi des bâtons, des fleurs, des oiseaux et toutes sortes de choses qui peuvent « ouvrir le sol », quelque chose qui se passe sous terre, des plantes qui « cassent la roche », comme la « saxifrage » qui est devenue le sassafras. Il est dit ici : « Plus nous pénétrons dans ce cercle charmant de traditions, plus il apparaît évident que le pouvoir de fendre les rochers ou de briser des substances dures entre comme un élément primitif dans la conception de ces talismans révélateurs de trésors. » Il est ensuite question du schamir, qui aurait aidé Salomon à construire son temple, et du fait qu’il s’agit d’un « ver pas plus gros qu’un épi de maïs » capable de fendre les substances les plus dures. L’essentiel est qu’il existe un certain pouvoir, un pouvoir de briser les rochers, de pénétrer le sol…
R : L’or ne conduit-il pas l’électricité, la chaleur, etc.
Q : (L) Oui, et l’or est aussi appelé métal ferrophile, ou « aimant le fer », parce qu’il se lie facilement au fer.
R : Et le fer…
Q : (L) Le fer dans le sang… le fer dans le sol…
R : Magnétique…
Q : (L) Exactement. Quoi qu’il en soit, d’une manière ou d’une autre, tout ceci est lié à quelque chose que Salomon a utilisé pour construire son temple, et vous nous avez dit précédemment que le secret que les Templiers ont découvert SOUS le temple, était quelque chose qui avait trait à l’anti-gravité et qu’il était « enterré à Galle ». Donc, oui, nous tournons en rond. Pouvez-vous commenter mes propos ?
R : Les cercles, hmmm…
Q : (L) Oui, ce sont des cercles. Ensuite, j’ai découvert que la luzerne, un type très particulier de luzerne, pousse effectivement sur les hauts plateaux allemands. Et, en fait, cette luzerne a été apportée par un itinéraire que vous avez décrit… comme la France, l’Espagne, les îles Canaries, le Maroc. J’ai posé une question sur l’histoire des prétendus voyages de Marie-Madeleine, et vous avez dit que les personnes n’étaient pas importantes, mais que le message l’était. Vous avez ensuite dit que les « artefacts détiennent la clé » et vous avez énuméré cette séquence de lieux. J’ai trouvé un article sur la luzerne qui décrivait exactement cet itinéraire de propagation de la luzerne et sa valeur dans l’agriculture parce qu’elle renouvelle littéralement le sol dans lequel elle est cultivée. Il semble donc que vous décriviez l’itinéraire de la luzerne. Pouvez-vous nous en dire plus à ce sujet ?
R : Maintenant que vous l’avez découvert, peut-être devriez-vous faire des recherches sur les propriétés de cette luzerne riche en minéraux et sur ce qu’elle fait pour le corps de l’homo sapiens ?!?
Q : (L) Voilà qui est intéressant. La luzerne a été désignée comme le « père des aliments » et était cultivée principalement pour les chevaux, ce qui est intéressant ! Et nous avons le chevin et le « Cheval de Dieu ». Quoi qu’il en soit, l’une des principales régions où ce type particulier de luzerne était cultivé se trouve à Baden, juste à côté de ce Horselberg… juste à côté des rives du Rhin. Il y a là une vallée. Le trèfle est, bien sûr, une variante de la luzerne, et le mot « vallée » désigne une dépression dans le sol. Cela pourrait-il être juste à côté de l’emplacement du rocher de la Lorelei sur les rives du Rhin ?
R : Plus près, et qu’en est-il des quatre feuilles ?
Q : Oui, en effet. J’y travaillerai. Maintenant, une autre chose que j’ai trouvée, c’est la légende de cette Lorelei qui a été confondue avec les sirènes. La légende veut que la maison d’Anjou descende de l’épouse féérique d’Ingelgar, Mélusine, qui était une créature de type sirène. D’autre part, la légende veut que les Mérovingiens descendent d’un « Quinotaure », décrit en quelque sorte comme un homme-poisson. Je trouve curieux que ces deux lignées aient des légendes de descendants de ces créatures à moitié poissons, semblables au dieu Oannes des Babyloniens, et que nous ayons maintenant un lien avec la Lorelei qui a été confondue avec une sirène. Et c’est là , à l’endroit précis du Rhin, que l’on peut dire que ces deux familles ont « émergé », si ce n’est qu’elles sont nées. Tannhauser était une forme de l’Odysseus franc, ce qui nous renvoie à l’idée de la sirène, et vous avez mentionné les sirènes comme étant un indice. Pourriez-vous nous en dire plus à ce sujet, s’il vous plaît ?
R : Le chant des sirènes ? Qu’est-ce que cela signifie ? À quoi avons-nous déjà fait allusion à propos du son ?
Q : (L) Je pensais que le « chant des sirènes » était probablement une représentation mythique de l’anti-gravité.
R : Proche.
Q : (L) Pouvez-vous me donner un autre indice ?
R : Non, vous n’en avez pas besoin.
Q : (L) Bon, revenons à Rennes-le-Château, il y a ces trois prêtres et cet évêque qui ont plus d’argent qu’ils ne devraient en avoir. Il est clair qu’il y a quelque chose qui se passe là . Après analyse, je pense que les prétendus « parchemins » trouvés dans la colonne de l’autel de l’église n’ont jamais été vraiment trouvés, que ces parchemins et le prétendu code ont tous deux été inventés pour commettre une astucieuse fraude ; tout a été inventé, et pourtant il y A un mystère. Je pense également que le lien entre le tableau des Bergers d’Arcadie et cette église, cette région de France, est également frauduleux. L’écran de fumée est concentré à cet endroit pour éviter qu’il ne soit dirigé ailleurs. Suis-je sur la bonne voie ?
R : Eh bien, tout simplement, nous dirions, où est l’Arcadie ?
Q : (L) L’Arcadie était une province grecque. Vous avez fait de nombreuses références à Troie, qui se trouvait dans ce qui est aujourd’hui la Turquie. Il y a beaucoup de choses amusantes qui remontent à cette époque. Et Troie signifie « trois ». Intéressant.
R : C’est un indice pour vous, pas une destination !
Q : (L) Pouvez-vous me dire exactement ce que ces hommes, ces prêtres, étaient payés pour faire ou ne pas faire ? À quoi servait l’argent qui changeait de mains ? C’était beaucoup d’argent…
R : Les gardiens de la garde.
Q : (L) Garde de quoi ?
R : De tout ce qui se passait là .
Q : (L) Il me semble assez significatif que, alors que l’un d’entre eux s’apprêtait à prendre sa retraite, il ait été brutalement assassiné, et apparemment torturé avant sa mort, et que l’année suivante, l’abbé Saunière ait acheté une grande parcelle de terrain. Y a-t-il un lien entre Saunière et la mort de l’abbé Gelis ?
R : Ce n’est pas la question. Qu’arrive-t-il à ceux qui « en savent trop » ?
Q : (L) Qui les payait ? Quelle était la source de l’argent ?
R : Pas encore disponible pour vous.
Q : (L) Est-il vrai qu’avant de mourir, Saunière s’est confessé et que l’absolution lui a été refusée ?
R : Pas sur la bonne voie.
Q : (L) A-t-on trouvé des parchemins dans l’église ?
R : Idem.
Q : (L) Cette femme, Martha Neyman, prenant l’histoire au pied de la lettre, s’est rendue sur place et a trouvé toutes sortes de choses bizarres, et elle les a alignées selon sa formule, et elles forment des « motifs étonnants » et ainsi de suite. Chacun a une formule différente, chacun a une théorie et une méthode différentes, et tous semblent trouver des choses… Leurs découvertes semblent « correspondre » de manière tellement synchronisée à leurs théories et à leurs méthodes… c’est tout à fait stupéfiant ! C’est comme le phénomène des OVNIs. Quelles que soient les hypothèses de départ, il est possible de trouver des preuves pour étayer son point de vue ! Les choses sont miraculeusement là pour vous soutenir !
R : C’est pourquoi nous vous encourageons gentiment dans votre quête, tout en vous suggérant de faire preuve de patience et de ne pas anticiper.
Q : (L) D’accord. Mike a quelques questions à poser. (M) Rennes-le-Château se trouve sur l’un des six sommets qui forment un pentagone très régulier avec La Pique au centre. S’agit-il d’une formation naturelle, d’une construction ou d’une modification ?
R : Ce n’est pas important. Ce qui compte, c’est quel est l’effet produit.
Q : (M) Cette formation est-elle importante pour le mystère de la région ?
R : Très probablement, hein ?
Q : (M) Les églises et les châteaux de la région suivent un schéma très régulier. Sont-ils construits sur les fondations de structures antérieures, ou de villes, comme les cités wisigothiques disparues ?
R : Il est préférable de se référer à l’étude sur les OVNIs réalisée en 1954 au-dessus de la campagne française.
Q : (M) Que sont les ruches de la région ?
R : Pas allemainde. (Faute d’orthographe délibérée ?)
Q : (M) Horselberg est-il lié d’une manière ou d’une autre à cette région ?
R : Non.
Q : (L) Vous avez dit à un moment donné que je devrais transférer la recherche aux États-Unis et cesser de chercher en Europe. J’ai étudié des cartes pendant des jours, j’ai examiné l’index de l’Atlas et, à part Hot Springs, Arkansas, et Tempe, Arizona, et les plaines de San Augustin, Socorro, Roswell, Magdalena, etc., aucun de ces lieux n’a de configuration qui ait un sens pour moi. Pouvez-vous m’aider ?
R : Horseheads, N.Y.
Q : (L) Cela signifie-t-il… Horsehead, New York ?
R : Horseheads.
Q : (A) De quelle manière cela doit-il être lié ?
R : C’est une clé. Il faut beaucoup de clés pour déverrouiller la maison aux pignons.
Q : (L) Sept. Sept clés. Aaaaah… il y a Horsecave, dans le Kentucky…
R : Près de Mammoth Cave ?
Q : (L) Oui, je le crois. Aidez-moi ici !
R : C’est ce que nous faisons.
Q : (L) J’ai l’impression d’avoir été emportée par le « grand Roc », d’avoir traversé l’océan et d’être largué, « BAM », au milieu d’un autre continent, sans avoir la moindre idée de l’endroit où chercher !
R : Nous n’avons pas dit « arrêtez de chercher en Europe ». Seulement ne vous limitez pas à cela.
Q : (L) Eh bien, je veux TOUJOURS savoir ce qui est à l’origine du mystère de Rennes-le-Château, et pourquoi toute cette « industrie artisanale » de la chasse au trésor s’y déroule…
R : Les chasseurs de trésors manquent de patience dans leur quête.
Q : (A) Y a-t-il quelque chose à propos de ces lieux, des propriétés de certains minéraux situés sur ces sites à travers le monde, est-ce un facteur important ?
R : En partie.
Q : (A) D’accord, il y a trois possibilités. La première est qu’il y a des endroits importants parce qu’ils sont situés dans une position géo-magnétique particulière ; la deuxième est que ces endroits sont importants parce qu’il y a des ressources naturelles qui rendent possible ce qui est très difficile dans d’autres endroits. La troisième possibilité est que ces endroits ont été utilisés il y a de nombreuses années pour enterrer des dispositifs technologiques… et ces trois choses peuvent être liées…
R : Et les trois peuvent être vraies, en fait.
Q : (L) Hier soir, nous avons discuté de la possibilité que nous ayons eu ensemble une incarnation dans l’Égypte ancienne… Pourriez-vous répondre à cette question ?
R : Quand les pyramides ont-elles été construites ?
Q : (L) Je suppose que c’est une sorte de réponse. Avons-nous participé à la construction des pyramides ?
R : Tout ce qu’il faut faire, c’est regarder.
Q : (L) Nous avons donc assisté à la construction des pyramides. Pouvez-vous nous dire nos noms ?
R : Non.
Q : (L) Pourriez-vous nous dire quelle était notre relation ?
R : Non.
Q : (L) Pouvez-vous nous dire quoi que ce soit à ce sujet ?
R : Pas maintenant.
Q : (A) Peut-être que nous regardions depuis un vaisseau spatial ! (L) Bon, maintenant, puisque j’ai lu tout ce qui concerne la Bavière et que j’ai voyagé dans toute l’Allemagne grâce à ces indices, je voudrais revenir à la vie passée en Bavière dont vous nous avez parlé précédemment, où Frank et moi étions frère et sœur… enfants d’un « propriétaire terrien bavarois ». Ce propriétaire terrien avait-il d’autres enfants ?
R : Non.
Q : (L) Vous avez dit que le château qui avait été notre maison existait toujours ?
R : Oui.
Q : (L) Cela signifie-t-il qu’il existe en tant que ruines ou qu’il est utilisable ?
R : Préservé.
Q : (L) Pouvez-vous nous donner un lien pour que je puisse peut-être localiser le bâtiment et y jeter un coup d’œil ?
R : Stassel, von stassel, ou similaire.
Q : (L) Vous avez également dit que j’ai un enfant de ma dernière vie en Allemagne, pendant la période nazie, qui vit toujours et voyage entre l’Autriche et la Belgique ou quelque chose comme ça. Cette personne vit-elle encore à l’heure actuelle ?
R : Oui.
Q : (L) Existe-t-il un moyen de le retrouver, ou serait-il souhaitable de le faire ?
R : C’est à vous de décider. Il est difficile de trouver des archives sur les atrocités commises par les nazis.
Q : (L) Y a-t-il un indice que je pourrais utiliser dans cette recherche ?
R : Les camps de réorganisation.
Q : (L) Eh bien, en lisant ce Louis II de Bavière… cela m’a fait penser… Frank était-il Louis ?
R : Non.
Q : (L) Eh bien, ça collait tellement bien !!! Sur une note plus légère, Blue a envoyé un message dans lequel il disait qu’il venait de lire le compte-rendu sur les personnalités OVNI. Rétrospectivement, je pense qu’ils étaient assez précis. Quoi qu’il en soit, il a fait remarquer qu’il se demandait si vous riez autant de Richard Boylan que lui. Un commentaire ?
R : Nous ne devons pas « rire » du malheur des autres.
Q : (L) Je sais… c’est juste une tentative d’humour ! Maintenant, y a-t-il un aspect QUELCONQUE de cette affaire de Rennes-le-Château sur lequel je POURRAIS poser une question, alors que je ne sais peut-être pas comment la poser ?
R : Tu progresses très bien.
Q : (L) Donc, si je progresse « très bien », cela doit signifier que mon évaluation des parchemins, et des choses qui y sont liées, est correcte. Toute cette histoire est probablement inventée pour détourner les gens de ce qui se passe VRAIMENT là -bas. Il n’y a probablement pas de « trésor » à cet endroit, en tant que tel… Y a-t-il quelque chose d’important enterré dans cette région ?
R : Peut-être.
Q : (L) Est-ce que cela a quelque chose à voir avec des interférences ou des activités extraterrestres, aliens ou ULTRA-terrestres sur notre planète ?
R : Probablement.
Q : (L) Les trois prêtres savaient-ils que leurs interactions pouvaient être liées à une organisation Ultra-terrestre ?
R : Non.
Q : (L) Ils ont été manipulés ?
R : Bien sûr.
Q : (L) Cette zone est-elle une zone « fenêtre » similaire à la zone de New York ?
R : Ces vérités sont évidentes.
Q : (L) Les minéraux enfouis dans le sol ont-ils quelque chose à voir avec les fenêtres ?
R : Idem.
Q : (L) Existe-t-il de grandes caches d’or enterrées à différents endroits de la planète pour renforcer l’effet « fenêtre » ?
R : C’est une bonne possibilité.
Q : (L) Est-ce l’origine de la légende de l’Or du Rhin et du pont vers le Valhalla censé se trouver à cet endroit ?
R : Pas d’autres indices pour ce soir.
Q : (A) Une dernière chose : si je coupe cette image, les Bergers d’Arcadies, verticalement, et que j’essaie d’aligner les deux moitiés, que dois-je chercher ?
R : Ce qui est vu.
Q : (L) Bien essayé, Chéri ! (F) Est-ce le parti à qui je m’adresse ? (Rires) (L) Essaye encore ! Hmmm… un Quinotaure… un être à cinq pointes… Je dirais que le Quinotaure est un être qui se manifeste en 3e densité à partir de la 4e densité en vertu de la relation entre le mot « quinotaure » et le pentagone. Un commentaire ?
R : Non.
Q : (L) Les propriétés de la luzerne ont-elles tendance à renforcer l’effet non physique, ou vice versa ?
R : Peut-être qu’elles renforcent les « effets psychiques ». Sur ce, bonne nuit.
Fin de la séance