Guerre bactériologique

susy7

Jedi Master
Ce texte que j'ai fais paraître sur https://sitainstitute.com/ ,devait se composer en trois parties, je n'ai fait que deux partie; Géorgie et Ukraine. Je n'ai pas eu le temps de traiter l'Afrique, j'avais trop de donné à traiter. Voici celle consacré à la Géeorgie
Sale temps pour l'homme "Promothéus", lui dire qu'il n'est pas un surhomme et de plus qu'il est devenu un comédien d'éloge à la folie


Si après le seconde guerre mondiale,ont avait prit conscience de la nature meurtrière de la guerre ainsi que des désastre qu'elle engageaient, ce fût aussi l'époque ou l'homme prenait conscience de la dangerosités des avancées scientifiques mises entre les mains de l'armée avec la bombe atomique puis la bombe H. On se souviendra aussi que ce fût après la seconde guerre mondiale la découverte de scientifique travaillant pour le 3ième Reich qui horrifia le monde, dont le nom de Joseph Mengele en fût le symbole. Malheureusement dans ce qui va suivre nous ne pouvons déplorer que l'histoire ne fût pas retenue et que nous sommes loins de tout ces principes, deux scientifiques dont l'un appartenant à l'armée américaine ont recréer la grippes espagnole à partir d'un cadavre de 1918, sous prétexte de "recherche" et au nom de cette "recherche" ont recréée l'un des pire fléau qu'est subie l'humanité, puisque la grippe espagnole tua entres 50 et 100 millions d'homme et femme (*). Les laboratoires militaires bactériologique engageaient souvent des non-spécialistes, ou encore de jeunes étudiants; comment ces laboratoires pouvaient'ils fonctionner ? Ou se situent-ils ? Qui les finances ? et pour quelle but ?
AVERTISSEMENT; Pour ne pas imposer à nos lecteurs une lecture trop ardue d'une longue suite de dénominations et d'abréviations de noms de laboratoires et de spécialiste dans la construction de ce type de laboratoires, nous avons mit en annexe, les liens qui lui permettrons d'en avoir connaissance


Commençons par la Géorgie


Le 11 Septembre (les hazards sont frappant) devant des journalistes ,l'ancien ministre de la Sécurité d'Etat géorgien, Igor Giorgadze a publié des rapport sur le laboratoire Richard Lugan près de la capitale géorgienne Tbilissi dont les initiale sont BTRIC (1), dans ce rapport officiel , l'ancien ministre demande au président Trump d'ouvrir une enquête officiel sur le laboratoire (2) . En effet ce laboratoire a synthétiser une molécule contre l'Hépatite C, le médicament appelé Solvadi lancé par la société pharmaceutique américaine Gilead Sciences a aboutit à la mort de plusieurs civils (3)(4), notamment en Décembre 2015 30 patient sont décédés; dont 24 le jour-même, une trentaine durant le mois d' Avril 2016 ainsi qu'en Août de la même année, aucune autopsie ne fût pratiqué à l'époque , les médias russes ont aboutit à un nombres de 73 personnes décédées par ce médicament (5) (6) . Rappelons la date de création; si ce laboratoire fût inauguré "officiellement en 2011 par l'ancien président Mikheil Saakachvili ainsi que du sénateur américain Richard Lugan et de l'ancien secrétaire de la défense américaine, ce laboratoire fait partie d'une longue liste que nous allons détaillé ( toutes les informations qui s'en sont suivies sont regroupé en index, ou comment les Etats-Unis ont pu s'installer dans les satellites de l'ex-URSS (**). Notez ceci dans le journal télévisé russe Rossia 1, (voir la carte) qu'a publié le journal .Cette carte est très importante pour la suite. Mais commençons par le laboratoire géorgien, il était issu d'un projet appelé : "Projet de santé publique" ou encore "Laboratoire central de la santé animale", ce qui à l'époque pouvait surprendre c'est que ce projet émanait de l'USAMRIID, Fort Detrick (7) ou 100 millions
de dollars seront investit mais ayant des problèmes d'infrastructure , il fût renommé " Laboratoire central de référence" ( terme qui sera reprit pour un laboratoire à Kharkov), puis il est appelé NDCDC qui en 2003 ,sera re baptise programme TADR, il travaille en particulier avec les labos de type 2 prioritairement sur le botulisme, la peste, la variole, la tularémie, l'encéphalite à tiques, la brucellose, les fièvres hémorragiques virales (Crimée-Congo, fièvre hémorragique avec syndrome rénalil et pour finir traitera le H1N1( appelé grippes aviaire) (8). Sous l'impulsion des sénateur Sam Nunn et Richard Lugar deux sénateur américain (*), en collaboration avec la DARTA fondé en 1998(*) le laboratoire sera de niveau 3 en 2013 . A partir de 2004 et aux mêmes moments et ce jusqu'en 2007 se développe la peste porcine africaine, cette peste touche notamment les porcs, les sangliers dont le porteur est le tiques , se sera la première fois que peste touchera ce pays et elle contaminera aussi l'Arménie, l’Azerbaïdjan, l'Iran et la Russie jusqu'en 2012 (9); cette même année la Russie met un terme de contrat avec la CTRU ainsi que La DARTA. Ce laboratoire se situe entre l'aéroport internationale de Tbilissi ainsi que près de la base militaire Vaziani, ce dernier est régulièrement utilisé par les soldats de l'OTAN et pour des entraînements conjoints avec les militaires géorgiens, John Bass ancien ambassadeur des Etats-Unis déclarera que sa position géographique était importante, en effet cette base géorgienne est en lien direct avec l'Iran et la Russie (voir carte). lors d'un entretient le journaliste américain Jeffrey Silverman et ancien conseille de Saakchvilie avouera ceci: " Vous souvenez-vous combien il y a quelques années, les gens étaient en train de mourir de la grippe porcine en Géorgie et dans le sud de la Russie? Ce n'était pas un accident . Et ce n'est peut-être pas seulement une histoire sur l'utilisation d'armes biologiques, mais aussi sur les gaz toxiques. Nous avons mené une enquête et découvert qu'il y avait eu livraison de gaz toxique envoyé en Turquie, le gaz était alors utilisé en Syrie"(10)( 4) . En 2014, ce centre avait reçu des plantes spéciales pour l'élevage d'insecte afin de permettre un projet nommé" mouche de sable", dans cette optique c'est avant-tout un projet phare qui consiste à transporter par drone des insectes infectés de virus mortels et, en passant sur le territoire de l’ennemi, y disperser son contenu. L'entomologiste Joshua Bash ( voir photos) qui conduit le projet, et travail pour pour l'USAMRU-G,dont le travaille consiste a étudier les glandes salivaires des mouches de sable , cette mouche transporte des parasites dangereux dans leur salive qui peuvent se transmettre aux humains par piqûre, l'étude concerne aussi les tiques tropicaux en Géorgie. En 2016 c'est 21590 tiques qui ont été collectées, sous le nom "D'evaluation de la séroprévalence (11)(12) et de la diversité génétique du virus de la fièvre hémorragique de Crimée et du Congo et antivirus de Géorgie", en 2014 l'office des brevets et des marques aux Etats-Unis avait donné son aval pour un système de libération toxique de moustiques aériens . Lorsque le système était au point plusieurs incidents sont apparut en 2016-2017,par l'explosion de cas du virus H1N1, appelé grippes aviaires, notamment en Géorgie, Arménie, Russie (13)(14)(15)(16). Le H1N1 est d'abord apparut au Mexique puis aux Etat-Unis, si au départ les scientifique accusèrent la filières porcine au court du temps les chercheurs divergèrent entres-eux, il n'y a de lien entres l'homme et le porcs,voir les rapport de l'OMS (17)(18)(19) mais la plupart des cas provient d'infection entres hommes; néanmoins il faut savoir que d'un point de vue "génétique" le porc à beaucoup avoir avec l'homme, d'ou son utilisation dans certains secteurs de la médecine.Le virus est plus dure en zone d'hiver austral comme le Chili, Mexique et plus au sud. Néanmoins on peux s'interroger sur l'explosion de ce virus dans les pays de l'Est, rappelons que la Chine suspectait une manœuvre de la part des Etats-Unis dans le déclenchement du H1N1 quand celle-ci avait été visé (20), nous y reviendrons.

Une longue chaînes de laboratoires






En 2004 est signé un accord, ce laboratoire va comptez de nombreuses sociétés; , nous allons voir que ces contractants ont une pare active dans plusieurs pays mais aussi et cela devient plus intéressant, le tout supervisé par la D.T.R.A(21) ,qui est présente dans 25 (voire carte)(22) pays qui sous cette étiquette tente a passez pour une agence qui tente de réduire les risque liés aux maladies et autres virus mortel, les spécialistes en construction de ce type de laboratoire est donné à la firme CH2M Hill , ou celle-ci a reçu 341,5 millions de dollars de contrats DTRA dans le cadre du programme du Pentagone pour les bio-laboratoires en Géorgie ainsi que la Walter Reed Army Institute , la Batelle (23)(24) la société Metabiota, son sous-traitant, a signé un contrat d’une valeur de 18,4 millions de dollars ces agence dépendent toute de l'armée américaine ainsi que des sociétés privées qui ne sont pas responsables devant le congrès et peuvent donc contourner la loi faute de contrôle direct, mais ils travaillent pour le compte du gouvernement américain sous couverture diplomatique sans contrôle direct du pays hôte, tous ces membres ont l'immunités diplomatiques, ainsi ils peuvent faire ce qu'ils veulent en matières de transport, même des contenue autrement dangereux, certains laboratoire envertue d'accord signé avec la Géorgie en 2002 sont réservé uniquement aux membres américains et interdites aux géorgiens, les contrats signé avec la National Center For Disease Control and public Health of the Republic Of Georgian pour une durée de 3 ans a permis à l'armée américaines d'obtenir une collection de bio-agents mortels afin de les étudier, un tel dispositifs permet d'étudier l'Anthrax, la tularémine, la brucella, la peste. Notons aussi que l'Elliava( Georian Ellava Institute of Bacteriophage, Microbioly and virology) qui est la partie scientifique "géorgienne", il est très intéressant que l'ensemble des fonds aloué viennent particulièrement de toutes les agences militaires américaines et occidentals, le NCDC travail avec la CTRU ainsi qu'avec le CDC et le seconde travaille aussi avec la CTRU et est aussi finacé par l'OTAN, ainsi que la DTRA et d'autres organisations occidental.(32()33)(34)


Suite à cette découverte du laboratoire militaire US en Géorgie, nous verrons plus tard que c'est laboratoires ont surgit depuis 2002.


Cette pratique montre un véritable montage bien connue..


L'Ukraine le fer de lance dans des laboratoires bactériologiques


La première question qui reste ouverte: Pourquoi autant de laboratoires sur le sol ukrainien ?


Après la première victoire de la première révolution de couleur qui a amené au pouvoir le candidat des occidentaux; Viktor Iouchtchenko en 2005, dès 2008 un plan d'aide américaine global signé avec le ministère de la Santé ukrainien du nom d'un d’un «programme de réduction de la menace biologique» . A partir de 2008 jusqu'à 2017, Black and Veatch a conclu avec la DTRA des contrats d'une valeur de 215,6 millions de dollars pour la construction et l'exploitation de biolaboratoire en Ukraine, ainsi qu'Cameroun, Azerbaïdjan, en Thaïlande, en Ethiopie, Vietnam et en Arménie, la société Métabiota, son
sous -traitan, a signé un contrat d'une valeur de 18,4 millions de dollars (35), premier cas: 2009, dans la région-ouest de l'Ukraine notamment la ville de Lviv( cette ville est habrite un laboratoire bactériologique), ainsi que Ternopil qui s'est vue aussi frappé par ce virus s'est une pandémie qui frappes l'ensemble de l'Ukraine, officiellement, voilà se que dit la presse, une jeune ukrainienne revenant des Etats-Unis et en passant par la France a été la première qui "aurait" le début de cette vague d'une grippes virales, et ce malgré l'interdiction d'importation de porcs! (36)(37)(38)(39)(40) Nous aurions pu nous posez la question; et les autres passagers qui étaient avec elle dans l'avion?? En 2009 l'épidémie s'était étendue à 208 pays, notons tout de même que cette grippe s'est développé dans plus sieurs pays du monde, pratiquement pays par pays, la note de l'OMS suggère que la transmissions avec des porcs ou autres animaux ne sont que des cas isolé et que pour la plupart des cas ,la grippes se transmet d’humain humain, s'est après ouvert un médicament qui pouvait stoppé la grippe appelé "tamiflu" qui a été créé par ...Gilead Sciences breveté en 1996 au Etats-Unis (mentioné plus haut), pourtant entre 2010 et 2011, une enquête est mené par une commission gouvernementale dirigé par le ministre ukrainien de la défense; Anataly IIyakha sur les laboratoire de Vinnitsa, Lviv, Odessa et a aboutit à des violations des normes de sécuritées de la part de Black and Veatch, outre cela cette enquête à été confirmé par le vice-premier ministre Khoroshkovsky en 2012, qui révèle en plus que Black and Veatch pratique de la fraude financières malgrés ces rapports l'administration américaine à "forcer" le gouvernement à laisser faire, ainsi en 2015 Black and Veatch a pu continuer ces activités, et a obtenue de nouveaux contrats jusqu'en 2017 (41)(42)(43)(44)(45), outre la DTRA , Black and Veatch en Ukraine mentionnons aussi la Defense Advanced Research Projects Agency (DARPA)(46)(47)(48)(49)(50)(51)(52), dont l'initiateur se nome Tony Tether (53)(54)(55), outre le fait que l'Ukraine est un grenier pour scientifiques américain, même le responsable de la lutte contre le sida est un membre de l'USAID et ancien militaire Dr. Med. Eliot J. Pearlman (56). Les scientifiques ukrainiens et leurs dénomination dite "national" est tout aussi fausse, comme la STCU qui provient de fonds européen, financé par la CTRU, la DARTA, la BTRP (57)(58). 2016, de nouveaux fléaux réapparaissent, outre le retour du H1N1, nous allons assisté à un retours enforce (59)(60)(61).En janvier 2016, à Kharkov, où se trouve l’un des bio-laboratoires du Pentagone, 20 soldats ukrainiens sont morts de la grippe porcine en deux jours, dont 200 ont été hospitalisés. Le gouvernement ukrainien n'a pas signalé sa mort. En mars de la même année, 364 personnes sont mortes de la grippe en Ukraine (81,3% des cas ont été causés par la grippe A (H1N1), et des cas de rougeole se répand parmis des grandes villes de l'Ouest de l'Ukraine, autre phénomène plus inquiétant et cela touche Odessa l'apparition du virus de la grippe de type B3, hors ce type de grippe n'est présent qu'en Afrique (62)(63).Sur l'ensemble de la carte de l'Ukraine les incidents sont toujours géographiquement ou se situent ces laboratoires. Le fait qu'autant de laboratoires soient présent en Ukraine ne fait en aucun doute partie d'une guerre bactériologique contre la Russie, ainsi que de menacer la Russie sur le contrôle de la mer Noir, hormis Kharkov les autres laboratoires se situent tous à l'Ouest de l'Ukraine.


Une demande étrange


Des gouvernements occidents via des laboratoires ont demandé des échantillons des populations notamment russe et slave mais qui n’aurait lien apparentée avec l'ukrainien , le problèmes est que toute la fédération de la Russie et ses alentours ne possèdent pas de type génétiquement "slave", ce qui a étonné Moscou, et la Russie a lancé plusieurs fois l’alerte concernant ces laboratoires (64)(65)(66)(67)(68)(69)(70)(71)


Afghanistan, le CDC prit en flagrant délit


En 2008, le CDC annonce l'ouverture de centre de prévention de lutte contre le Sida, hors l'OMS dans le même temps annonce une recrudescence de la Fièvre de Crimée-Congo, qui est l'équivalent de l'Ebola, plus dangereuse dans le sens qu'elle peut frapper l'Asie centrale, les pays baltes ainsi que l'Afrique ( voir les captures d'écran), cette fièvre a perdurer en 2018.


En Afrique ont été construit de puis 1969 et dans d'autres pays africains, certains événement dont la résurgence de l'Ebola en 2014 et 2015, on démontrer par des enquêtes que des agents de Fort Detrix avait été amené dans ces régions, que l'ensemble des laboratoires dite "préventives" étaient sous la coupole de l'armée américaine. La multinationale Metabiota a été très "discutable" dont la manière cette multinationale ayant travaillé sur l'Ebola, l'OMS avait protesté contre ces agissement vis-à-vis de cette fièvre.






Cette tentative de levée la brume de guerre des armes bactériologiques, ne doit pas être minimisé, au contraire elle fait partie de la guerre, si des nations alliés des Etats-Unis pourraient se dire qu'ils ne se sentent pas concernée, il faut rappelé qu'aux Etats-Unis même ce type d'opération a été mené, qu'en France la CIA a aussi effectué des test sur la populations civil, qu'en Corée ils ont fait de même.






Vous trouverez avec (*) les liens de ces laboratoires.


Pour la période allant de 2008 à 2017, Black & Veatch a conclu avec la DTRA des contrats d'une valeur de 215,6 millions de dollars pour la construction et l'exploitation de biolaboratoires en Ukraine, ainsi qu'en Azerbaïdjan, au Cameroun, en Thaïlande, en Éthiopie, au Vietnam et en Arménie. . UKRAINE En 2010-2011, une commission gouvernementale dirigée par le chef du département de la construction de la capitale du ministère ukrainien de la Défense, Anatoly Ilyukha, a mené une enquête sur les laboratoires de Vinnitsa, Lviv, Odessa et Simferopol et a abouti à des conclusions décevantes. Il a été révélé de nombreux faits de violation flagrante des règles et des normes de sécurité lors de la reconstruction des installations par Black & Veatch, ce qui pourrait entraîner la fuite de souches d'infections dangereuses (ou leur perte totale). Un fait scandaleux a été découvert dans l’une des installations lorsque la ventilation aspirante s’est introduite dans une garderie située à proximité. Les conclusions de la commission ont été confirmées par l'enquête répétée ouverte par le vice-premier ministre ukrainien, Valery Khoroshkovsky, en mai 2012. Outre les violations, des fraudes financières ont été révélées. Dans certains cas, le coût estimé des travaux a été surévalué de près de la moitié. . En outre, certains médias ukrainiens ont indiqué que l'ancien chef du département chargé de la réduction des menaces pesant sur la mission diplomatique américaine, Luka Kluchko, avait directement appelé le chef du ministère de la Santé et exigé que le laboratoire de l'Institut de recherche sur l'épidémiologie et l'hygiène de Lvov, qui a été construit avec des violations évidentes des normes et des règles, être pris en compte. Les journalistes ont souligné qu'au cours de la conversation, «l'argumentation convaincante» de la catégorie «si vous ne signez pas ce qui est demandé, vous ne travaillez plus ici». L'intervention américaine dans les processus de recherche en Ukraine s'est intensifiée en 2015 après l'arrivée au pouvoir de Peter Poroshenko. En plus des biolabs civils, dont nous avons parlé plus tôt, les Américains ont eu accès aux centres de recherche du ministère de la Défense de l'Ukraine. La base de cela était l'Ordre du Cabinet des Ministres de l'Ukraine du 20 septembre 2017 n ° 650-p «Sur la définition d'un organe exécutif supplémentaire pour mettre en œuvre l'accord entre le ministère de la Santé de l'Ukraine et le département américain de la Défense sur la coopération dans le domaine de la prévention de la propagation des technologies, des agents pathogènes et des connaissances pouvant être utilisés lors du développement d’armes biologiques. "L'accord, dont le Cabinet dispose, a été signé en 2005 sous Viktor Yushchenko. L'interaction avec le Pentagone dans le domaine biologique a en fait été gelée pendant la présidence de Viktor Ianoukovitch. Maintenant que les politiciens sous contrôle américain sont de retour au pouvoir, l’armée américaine a reçu un permis de travail dans les locaux du ministère de la Défense de l’Ukraine. En novembre 2017, le chef de la direction ukrainienne de la DTRA, Kevin Garrett, s'est rendu à Kiev. Il a rencontré les dirigeants du Département central d'épidémiologie sanitaire du Ministère de la santé publique et a tenu une conférence présentant les buts et objectifs officiels de l'interaction.






Voici les lettres de Johanna Winthrol, chef du département DTRA à l'ambassade des États-Unis au protocole d'entente. Ils peuvent être utilisés pour retracer le cours de l'introduction des Américains dans les objets de biologie militaire de l'Ukraine.


Le Département central sanitaire-épidémiologique (CEMP) susmentionné du Ministère de la défense de l'Ukraine est subordonné au Département de la santé militaire principal du Ministère de la défense de l'Ukraine. À leur tour, cinq sous-divisions régionales et deux territoriales déployées à Kiev, Odessa, Lviv, Kharkov, Vinnitsa, Jytomyr et le Dniepr sont subordonnées au chef du lieutenant-colonel du TsSEU, Litovka.


































En 2017, le Ministère de la santé ukrainien a confirmé 90 nouveaux cas, dont 8 décès dus à une intoxication à la toxine botulique, l'une des toxines biologiques les plus toxiques. Selon les autorités sanitaires locales, l'intoxication alimentaire est la cause de l'épidémie. La police enquête sur les causes des intoxications de masse.






Selon CH2M Hill, la société américaine a obtenu des agents biologiques et a employé d’anciens scientifiques de la guerre biologique au Centre Lugar. Ce sont des scientifiques qui travaillent pour une autre société américaine impliquée dans le programme militaire de Georgia - Battelle Memorial Institute.






Battelle, en tant que sous-traitant de 59 millions de dollars au Centre Lugar, possède une vaste expérience dans la recherche sur les bio-agents, la société ayant déjà


La société privée effectue des travaux pour les bio-laboratoires DTRA du Pentagone en Afghanistan, en Arménie, en Géorgie, en Ouganda, en Tanzanie, en Irak, en Afghanistan et au Vietnam. Battelle mène des activités de recherche, de développement, de test et d'évaluation à l'aide de produits chimiques hautement toxiques et d'agents biologiques hautement pathogènes pour un large éventail d'agences gouvernementales américaines. Des contrats fédéraux totalisant 2 milliards de dollars lui ont été attribués et se classent au 23e rang des 100 meilleurs entrepreneurs du gouvernement américain.






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En dix ans, le nombre de laboratoires américains engagés dans le développement de moyens de protection contre le bioterrorisme est passé de 20 à 400, selon la version officielle. Des centres biologiques secrets sont apparus en Afrique, en Amérique latine et en Amérique, des laboratoires biologiques à la fonction inconnue ont ouvert en Ukraine et en Géorgie, il est également prévu d'ouvrir un centre biologique au Kazakhstan en 2015. La majorité de ces activités sont supervisées par le Pentagone.


Avec le soutien des États-Unis, le premier centre de biologie en Ukraine a été ouvert le 15 juin 2010 au sein de l'Institut de recherche sur la peste Mechnikov à Odessa en présence de l'ambassadeur des États-Unis, John Tefft. Le centre d’Odessa s’est vu attribuer un niveau permettant de travailler avec les souches utilisées dans le développement d’armes biologiques. En Ukraine, le stockage décentralisé de pathogènes dangereux est une pratique courante. À cet égard, la question se pose: pourrait-il y avoir un lien entre les travaux en cours dans ce centre et le meurtre de masse de personnes au bâtiment du syndicat d'Odessa le 2 mai 2014? Un certain nombre d'activistes locaux et de médias ont déclaré qu'une substance inconnue avait été utilisée ce jour-là pour tuer un grand nombre de personnes.


Rien qu'en 2013 en Ukraine, des biolaboratoires ont été ouverts à Vinnytsia, Ternopil, Uzhhorod, Kiev, Dnepropetrovsk, Simferopol, Kherson, Lviv (trois laboratoires en même temps dans cette ville!) Et à Lougansk avec le soutien des États-Unis.


ANNEXE


GILEAD SCIENCES


multinational pharmaceutique Gilead Sciences dont Ronald Rumsefeld étant l'un des principaux actionaire


Gilead Sciences, Inc.


USAMRIID


http://www.usamriid.army.mil/aboutpage.htm






LA BATTELLE


Home


METABIOTA


Home | Metabiota


la D.T.R.A(Defense Threat reduction Agency)


http://www.dtra.mil/


l' USAMRU-G (Plus connus sur le vocable USAMRU-K )


DEPARTMENT OF EMERGING INFECTIOUS DISEASES


https://rosenyawira.files.wordpress.com/2014/06/deid-nyawira-lr.pdf


D.O.D The United States Department of Defense


https://www.dhs.gov/taxonomy/term/4216/all


LE CDC (Centers for Disease Control)


https://www.cdc.gov/


la Walter Reed Army Institute


http://www.wrair.army.mil/






CONSTRUCTEUR






BLACK AND VEATCH


https://www.bv.com/


BTRIC Building Technologies research And Integration Center


https://www.ornl.gov/btric


CH2M Hill


https://www.ch2m.com/


Virus de la Grippes espagnole en laboratoire (*)


https://www.theguardian.com/science/2014/jun/11/crazy-dangerous-creation-deadly-airborne-flu-virus


https://www.niaid.nih.gov/research/jeffery-k-taubenberger-md-phd


https://www.afip.org/


https://www.vetmed.wisc.edu/people/kawaokay/


https://www.cell.com/cell-host-microbe/abstract/S1931-3128(14)00163-2










(**)


https://en.wikipedia.org/wiki/Nunn–Lugar_Cooperative_Threat_Reduction


https://armscontrolcenter.org/fact-sheet-the-nunn-lugar-cooperative-threat-reduction-program/


http://www.dtra.mil/Mission/Partnering/Nunn-Lugar-CTR-Scorecards/


https://www.state.gov/t/isn/offices/ctr/index.htm


https://fas.org/sgp/crs/nuke/R43143.pdf


http://178.134.28.190/Category/Article/10930


https://books.google.be/books?id=Ct...e&q=stcu in ukraine working with dtra&f=false


https://www.aecom.com/az/projects/dtra-cooperative-threat-reduction-ctr-contracts/






SOURCES


LUGAR-GEORGIE


https://www.diversityworking.com/BT...state--city--company-CH2M HILL-id-246934.html (1)


https://samartali.net/ (2)


https://tvzvezda.ru/news/vstrane_i_mire/content/201809141743-w8q6.htm (3)


(4)


https://www.rt.com/news/438543-georgia-us-laboratory-bio-weapons/ (5)


http://tass.com/world/1021666 (6)


https://joninews.wordpress.com/2012...pons-lab-in-tbilisi-georgia-bechtel-national/ (7)


https://www.researchgate.net/public...se_system_in_Georgia_Challenges_and_successes (8)


https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/23266725 (9) Crimée-congo en asie centrale 2007/2012


https://www.veteranstoday.com/2016/...ugar-lab-secretly-taken-to-aramyantz-hospital (10)


http://dilyana.bg/us-diplomats-invo...od-and-pathogens-for-secret-military-program/ (11)


https://www.researchgate.net/public...gia_and_Updated_Checklist_of_Reported_Species (12)


https://www.reuters.com/article/us-armenia-swineflu-idUSKCN0UZ0YY (13)


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https://www.euronews.com/2016/01/21...-armenia-three-in-georgia-from-h1n1-swine-flu (16)


http://www.who.int/csr/don/2009_11_03/en/ (17)


http://www.who.int/csr/don/2009_12_11a/en/ (18)


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http://www.dtra.mil/Portals/61/Documents/Shield_spring_2011_12mb.pdf (20)


http://178.134.28.190/AttachedFiles...f1ef_359a2c4e-9489-417a-a643-c42affbb486a.pdf (21) NCDC


http://www.dtra.mil/Portals/61/Docu...Accomplishments.pdf?ver=2016-09-16-150152-690 (22)


https://absaconference.org/pdf55/IX1000Glonti.pdf (23) Georgie batelle document interne


https://www.dol.gov/sol/media/briefs/dicecca-2014-12-17.pdf (24) batelle geo


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https://www.defensenews.com/global/europe/2018/03/01/what-is-darpa-doing-in-ukraine/ (48)darpa


http://www.defenseworld.net/news/22...RPA_like_Defence_Research_Agency#.W6pZ_Xszbcc (49)darpa


https://books.google.be/books?id=lN...icial chromosome 47 in the human cell&f=false ( 50) darpa


https://www.defensenews.com/global/europe/2018/03/01/what-is-darpa-doing-in-ukraine/ (51)darpa


http://www.defenseworld.net/news/22...RPA_like_Defence_Research_Agency#.W6pZ_Xszbcc (52)darpa


https://www.linkedin.com/pulse/darpa-ukraine-tony-tether/ (54) tether


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https://en.wikipedia.org/wiki/Anthony_Tether (56)tether


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https://www.nato.int/cps/ra/natohq/news_139933.htm?selectedLocale=en OTAN DANS LES REGION D'UKRAINE


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http://world.24-my.info/in-the-odessa-region-aggressive-circulating-genotype-of-measles-virus/ (63) odessa B3


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http://tass.com/politics/1022973 (70) La Russie refuse de voir des labos à sa frontières


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https://www.kansascity.com/news/business/article215795110.html (72) Black and Veatch dans la tourmante pour l'Afghanistan


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http://www.emro.who.int/emhj-volume-18-2012/issue-5/article-17.html (74)


https://www.cdc.gov/globalaids/Global-HIV-AIDS-at-CDC/countries/Afghanistan/ (75)






METABIOTA REMISE EN CAUSE PAR L'OMS


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https://www.kqed.org/futureofyou/12...sed-metabiota-bungled-ebola-response-ap-finds






METABIOTA CONTRAT B.V AND DTRA


https://markets.businessinsider.com...-defense-threat-reduction-programs-1027442834 Lien Betric- metabiota dans le monde pour passage sur l'afrique)

SUR LE LABORATOIRE APRES LE 11 SEPTEMBRE (**)


http://dilyana.bg/diplomatic-viruses/


http://dilyana.bg/us-diplomats-invo...od-and-pathogens-for-secret-military-program/


https://wikileaks.org/plusd/cables/09TBILISI1949_a.html


http://www.balkanspost.com/article/708/us-embassy-scandal-human-frozen-blood-pathogens-diplomatic

https://blogs.mediapart.fr/matberg-...-pathogens-us-secret-military-program-georgia

http://tass.com/politics/1024493


https://sputniknews.com/world/201809251068312673-us-georgia-biological-materials/


https://sputniknews.com/world/201809141068034581-specialists-ministry-laboratory/


https://sputniknews.com/world/201809161068073217-lugar-center-alleged-bioweapons-lab/






https://www.zerohedge.com/news/2018...n-blood-and-pathogens-secret-military-program


https://rusreality.com/2018/09/15/g...ussia-concerning-biological-laboratory-lugar/


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////////////////////////////////////



Membres du CDC du Pentagone (***)


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https://www.cdc.gov/about/leadership/leaders/ads.html


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htt-DTRA EN IRAK ET AU MOYEN ORIENT


https://www.urc-chs.com/projects/cooperative-biological-engagement-program-cbep


DTRA


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https://en.wikipedia.org/wiki/Defense_Threat_Reduction_Agency


https://www.fbo.gov/index?s=opportu...dc945aab7374b8c80e36b24a583&tab=core&_cview=1






In the world


https://sputniknews.com/world/201609081045088663-us-russia-biological-laboratories/














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DTRA ARMENIE


https://am.usembassy.gov/martuni-laboratory/


http://all-armenia.com/en/news/soci...tkryitii-oblastnoj-laboratorii-v-martuni.html


DTRA Kazakhstan


http://www.dtic.mil/dtic/tr/fulltext/u2/a573872.pdf


Historique des recherches américaines sur les anciens scientifiques de l'ex URSS


https://www.stimson.org/the-us-civilian-research-and-development-foundation-crdf














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'donnée des noms des labo sur le territoires ukrainiens


https://fas.org/biosecurity/resource/documents/nbacc ppt.pdf homland security






https://trud.bg/350-diplomatic-flights-carry-weapons-for-terrorists/ Transport de bact.






https://www.fbo.gov/index?s=opportu...&id=3238450bf5132f6f3c7c42666e78c4cd&_cview=0 contrat BTRIC /DTRA


http://dilyana.bg/51-children-hospitalized-after-mass-poisoning-in-school-in-ukraine/ intoxication dans une école 2018










































Kazakhstan Nun-Lugar




https://www.eurasiareview.com/14022018-bioterrorism-in-kazakhstan-oped/






Fièvre hémoralgique Crimée-Congo


https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S1473309906704352


http://ethique.ipbs.fr/fievrehemocc.pdf


https://www.ajicjournal.org/article/S0196-6553(16)30758-1/fulltext










BLACK AND VEATCH


https://www.businesswire.com/news/h...Government-Awards-Black-Veatch-Major-Contract En ukraine


Liste des fabriquant de médicaments en Ukraine


http://moz.gov.ua/uploads/1/5097-dn_20180515_928_dod.pdf#page=16






https://freebeacon.com/national-security/the-american-flu/


JORDANIE/ Irak
http://www.dtra.mil/Success-Stories/Jordan-Border-Operations-Center/


https://www.bizjournals.com/losangeles/prnewswire/press_releases/California/2018/08/08/UN70540


Carte des laboratoires


https://maps.southfront.org/pentagon-bio-weapons/


Grippes espagnole


https://www.theguardian.com/science/2014/jun/11/crazy-dangerous-creation-deadly-airborne-flu-virus


https://www.niaid.nih.gov/research/jeffery-k-taubenberger-md-phd


https://www.afip.org/


https://www.vetmed.wisc.edu/people/kawaokay/


https://www.cell.com/cell-host-microbe/abstract/S1931-3128(14)00163-2


l'Afrique/METABIOTA/USAMRU-k ET FORT dietrix/ KEMRI ET PARTENAIRE


DTRA CAMEROUN


https://www.bizjournals.com/losangeles/prnewswire/press_releases/California/2018/08/08/UN70540






https://govtribe.com/opportunity/fe...ections-system-geis-program-dot-w81xwhkemri15 USAMRUK-DOD


http://www.defenceweb.co.za/index.p...le&id=5092:topman-styles&catid=163&Itemid=115 USA IN KENYA


https://www.santheafrica.org/about/people/dr-david-schnabel-phd david scnabel WRAIR kenya et tanzanie


https://www.bv.com/worldwide-locations/africa


http://www.dtic.mil/dtic/tr/fulltext/u2/a601296.pdf FORT DETRIX EN AFRIQUE


https://govtribe.com/award/federal-contract-award/definitive-contract-hdtra112c0024 Contrat dod et geis


GEIS


https://www.health.mil/Military-Hea...iness/Armed-Forces-Health-Surveillance-Branch






https://www.kemri.org/index.php/features-intro/collaborators-and-partners COLLABORATEU DE LA GEIS


https://www.ncbi.nlm.nih.gov/books/NBK223714/ GEIS HISTORIQUE


https://www.ncbi.nlm.nih.gov/books/NBK223704/ GEIS D2PEND DE LA DOD


https://www.documentcloud.org/documents/2752219-20140717-Report-on-Ebola-Response-by-Viral.html


https://vhfc.org/


https://cameroun.minajobs.net/stages-emplois-a/metabiota-cameroon-mcl/90


https://www.modernghana.com/news/86...-modified-bats-are-susceptible-for-ebola.html


NOTES AFRIQUE


"Metabiota entretient des liens étroits avec la communauté mondiale de la santé et collabore depuis près de 10 ans avec les parties prenantes du gouvernement américain et les pays partenaires", a déclaré Mary Guttieri, vice-présidente exécutive de Science et microbiologie chez Metabiota. "En conséquence, notre équipe sait ce qu'il faut pour aider les pays à évaluer les risques et faciliter la détection précoce des épidémies. Travailler avec Black & Veatch sur ces ordres de travail nous aidera à continuer à tirer parti de nos analyses et de nos connaissances scientifiques approfondies pour améliorer la résilience du monde à épidémies. "






Metabiota est un développeur de longue date pour DTRA, ainsi que pour l'Agence des États-Unis pour le développement international (USAID), et a fait ses preuves en matière de collaboration avec les gouvernements locaux, les agences de santé, les entreprises du secteur privé et les organisations à but non lucratif. monde pour construire des équipes efficaces, développer et mettre en œuvre des solutions innovantes qui produisent des résultats à fort impact.


TRES INTERESSANT CDC et Afghanistan


https://www.kansascity.com/news/business/article215795110.html


http://outbreaknewstoday.com/crimean-congo-hemorrhagic-fever-afghanistan-increase-cases-2017/


http://www.emro.who.int/emhj-volume-18-2012/issue-5/article-17.html


https://www.cdc.gov/globalaids/Global-HIV-AIDS-at-CDC/countries/Afghanistan/






https://reliefweb.int/report/afghan...ogical-monitor-volume-11-issue-26-1-july-2018


https://bessarabiainform.com/2018/0...-kabul-tsirkuliruet-tolko-v-odesskoj-oblasti/


















DTRA DANS LE MONDE


CBEP


https://www.urc-chs.com/projects/cooperative-biological-engagement-program-cbep DTRA EN IRAK










ELIAVA


http://www.eliava-institute.org/?rid=6






https://en.wikipedia.org/wiki/Armed_Forces_Institute_of_Pathology






TMC


https://tmcgps.com/






https://www.state.gov/t/isn/offices/ctr/index.htm


https://fas.org/sgp/crs/nuke/R43143.pdf


Essai sur les population civil en France en 1951 et dans le monde


https://www.nytimes.com/2001/09/04/world/us-germ-warfare-research-pushes-treaty-limits.html


https://patents.google.com/patent/US8967029


https://medium.com/@jeff_kaye/repor...eas-on-north-korea-in-march-1952-66b853f05ada


https://www.tandfonline.com/doi/abs/10.1080/08854300.2018.1441118


http://dilyana.bg/the-pentagon-bio-weapons/


https://en.wikipedia.org/wiki/Project_Bacchus#cite_note-enemark-1






https://nsarchive2.gwu.edu/NSAEBB/NSAEBB58/RNCBW_USABWP.pdf


https://en.wikipedia.org/wiki/Project_Clear_Vision#cite_note-enemark-1
 
Déjà qqs articles sur le sujet publiés sur SOTT Fr :
et
 
J'ai été en contact avec la journaliste, comme je lui ai fournit d'autres indications pour l'Ukraine et l' Afrique
 
N'ayant pas pu continuer, je vous donne en vrac les liens; pour ceux qui s'intéresse à l'Afrique; on pourra consulter les liens que j'ai conservé.
l'Afrique/METABIOTA/USAMRU-k ET FORT dietrix/ KEMRI ET PARTENAIRE


Usamru-k


Home


Usamrd-kenya projects


DTRA CAMEROUN


https://www.bizjournals.com/losangeles/prnewswire/press_releases/California/2018/08/08/UN70540


DTRA ET AFRICOM


African Security Challenges: Now and Over the Horizon - Voices from the NGO Community






Sources sought for support of the U. S. Army Medical Research Unit - Kenya (USAMRU-K), Global Emerging Infections System (GEIS) Program. W81XWH-KEMRI-15 USAMRUK-DOD


US Army research unit marks four decades in Kenya - defenceWeb USA IN KENYA


https://www.santheafrica.org/about/people/dr-david-schnabel-phd david scnabel WRAIR kenya et tanzanie


https://www.bv.com/worldwide-locations/africa


http://www.dtic.mil/dtic/tr/fulltext/u2/a601296.pdf FORT DETRIX EN AFRIQUE


https://govtribe.com/award/federal-contract-award/definitive-contract-hdtra112c0024 Contrat dod et geis


GEIS


https://www.health.mil/Military-Hea...iness/Armed-Forces-Health-Surveillance-Branch


https://www.health.mil/About-MHS


Quand les Etats-Unis sep résente en Afrique de l'ouest


https://www.globalatlanta.com/georgia-ngos-unite-to-combat-ebola-in-west-africa/






https://www.kemri.org/index.php/features-intro/collaborators-and-partners COLLABORATEU DE LA GEIS


https://www.ncbi.nlm.nih.gov/books/NBK223714/ GEIS HISTORIQUE


https://www.ncbi.nlm.nih.gov/books/NBK223704/ GEIS D2PEND DE LA DOD


https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC3092412/


https://www.documentcloud.org/documents/2752219-20140717-Report-on-Ebola-Response-by-Viral.html


https://vhfc.org/


https://cameroun.minajobs.net/stages-emplois-a/metabiota-cameroon-mcl/90


https://www.modernghana.com/news/86...-modified-bats-are-susceptible-for-ebola.html


https://cdmrp.army.mil/default


https://nrd.gov/resource/detail/12556493/Military+Infectious+Diseases+Research+Program


AFRICOM ET GEIS




Coordination des laboratoire suite à l'épidémie d'Ebola en 2015


http://www.geisglobalevents.org/Home/AFRICOM_2015_Eng2


AFRICOM ET L'USAID


https://www.africom.mil/news/partnerships


Retour d'ebola au Congo en 2018


http://www.gpbnews.org/post/spread-ebola-congo-game-changer


NOTES AFRIQUE


"Metabiota entretient des liens étroits avec la communauté mondiale de la santé et collabore depuis près de 10 ans avec les parties prenantes du gouvernement américain et les pays partenaires", a déclaré Mary Guttieri, vice-présidente exécutive de Science et microbiologie chez Metabiota. "En conséquence, notre équipe sait ce qu'il faut pour aider les pays à évaluer les risques et faciliter la détection précoce des épidémies. Travailler avec Black & Veatch sur ces ordres de travail nous aidera à continuer à tirer parti de nos analyses et de nos connaissances scientifiques approfondies pour améliorer la résilience du monde à épidémies. "






Metabiota est un développeur de longue date pour DTRA, ainsi que pour l'Agence des États-Unis pour le développement international (USAID), et a fait ses preuves en matière de collaboration avec les gouvernements locaux, les agences de santé, les entreprises du secteur privé et les organisations à but non lucratif. monde pour construire des équipes efficaces, développer et mettre en œuvre des solutions innovantes qui produisent des résultats à fort impact.


L’Unité de recherche médicale de l’armée américaine au Kenya (USAMRU-K) a été créée en 1969 en tant que programme temporaire mis en place à l’invitation du gouvernement kenyan pour étudier la trypanosomiase. En 1973, USAMRU-K est devenu permanent grâce à un accord de coopération entre l'Institut de recherche de l'armée Walter Reed (WRAIR), Washington, DC, et l'Institut de recherche médicale du Kenya (KEMRI), l'agence gouvernementale kényane chargée de toutes les recherches biomédicales au Kenya. . La recherche s'est concentrée sur immunologie de la trypanosomiase et sur la mise au point d'un vaccin potentiel jusqu'au début des années 1980, lorsque les chercheurs ont entamé des recherches sur la fièvre de la vallée du Rift, l'épidémiologie du paludisme et les aspects cliniques et sur le terrain de la leishmaniose. USAMRU-K est une activité étrangère spéciale de WRAIR et est officieusement connue au Kenya sous le nom de «projet Walter Reed» (Gambel et Hibbs, 1996; GEIS, 2001f).


USAMRU-K a principalement travaillé comme organisme de recherche depuis sa création. USAMRU-K a toujours été attaché à la recherche en médecine appliquée, et sa charte et son invitation à opérer au Kenya sont fondées sur sa mission de recherche. GEIS a reçu environ 500 000 dollars au cours de l’exercice 2000 (USAMRU-K, 2000). Au cours de l’exercice 2001, GEIS devrait fournir environ US $ 460 000 à USAMRU-K (GEIS, 2000c). La majeure partie du budget de USAMRU-K, qui s’élevait à 2,5 millions de dollars en 2000, provient du programme de recherche américain sur les maladies infectieuses militaires (MIDRP). Les crédits du Congrès pour un vaccin contre le virus de l’immunodéficience humaine (VIH) et la prévention de l’infection par le VIH / sida, le programme de recherche novatrice intra-laboratoire du département de la Défense des États-Unis et diverses subventions et subventions de partenaires commerciaux et d’organismes subventionnaires soutiennent également l’USAMRU -K.En 1985, KEMRI a occupé de nouveaux laboratoires à Nairobi et le siège de l’USAMRU-K a été transféré dans ce nouvel espace KEMRI. Les équipes de recherche des centres américains pour le contrôle et la prévention des maladies (CDC) et de l’Agence japonaise de coopération internationale (JICA) se trouvent également sur le campus du KEMRI.






À Nairobi, le siège de l'USAMRU-K est installé dans le centre de recherche clinique KEMRI, l'un des 10 centres KEMRI. En plus d’un étage de laboratoires et de bureaux qui hébergent les activités de bactériologie, entomologie, parasitologie et biologie moléculaire au siège de USAMRU-K à Nairobi, des opérations sur le terrain sont maintenues sur le site occidental de Kisian, sur le lac Victoria (pour les études sur le paludisme), site en haute altitude de Kericho (pour les études sur le VIH). Des sites plus petits sont maintenus à Kisii dans les hauts plateaux (pour le paludisme cérébral), à Baringo dans la vallée du Rift (pour la leishmaniose) et à Kilifi sur la côte (pour la dengue). Les capacités virologiques limitées sont disponibles au sein de KEMRI par l’intermédiaire du Centre de recherche sur les virus KEMRI, un centre collaborateur de l’OMS pour la recherche et la recherche sur l’arbovirus et la fièvre hémorragique virale. USAMRU-K n'administre pas directement ce laboratoire, mais le système mondial de surveillance et d'intervention en cas d'infection émergente (GEIS) contribue à son fonctionnement. Le Centre de recherche sur les virus KEMRI bénéficie également d’une série d’arrangements complexes de la part d’autres organismes tels que le CDC et l’OMS. Au moment de la visite du sous-comité, le Centre de recherche virale KEMRI ne possédait ni la technologie ni les réactifs nécessaires pour diagnostiquer la fièvre hémorragique Ebola, Marburg, Lassa ou Crimean-Congo1. L'Institut de recherche médicale sur les maladies infectieuses de l'armée américaine fournir des réactifs ou du matériel à USAMRU-K (Ludwig, 2001).Les frontières entre les opérations et les installations spécifiques à KEMRI et celles appartenant à USAMRU-K sont difficiles à discerner. Certains espaces de laboratoire sont occupés uniquement par USAMRU-K ou par KEMRI, tandis que d'autres espaces (tels que des installations de détection et d'évaluation des agents pathogènes entériques) sont partagés. Dans les laboratoires partagés, USAMRU-K fournit de nombreux réactifs, fournitures et équipements d'usage courant. Les installations USAMRU-K fonctionnent à un niveau de biosécurité 2, bien que des capacités de niveau de biosécurité 3 soient disponibles via le Centre de recherche virale KEMRI.






USAMRU-K effectue une grande partie de son travail sur le terrain (USAMRU-K, 2000). Bien que le sous-comité n'ait pas visité le site, le laboratoire de terrain à Kisian (partagé avec le Centre de recherche en biologie et contrôle KEMRI) aurait dépassé sa capacité opérationnelle il y a des années. Plusieurs activités sur le terrain, telles que le travail sur les systèmes de positionnement global et les études sur les médicaments, ont dû être mises en place dans des hôtels et des logements loués. Il est prévu de construire une nouvelle installation sur ce site. Les fonds du GEIS peuvent être utilisés pour équiper l'installation.






Les opérations de USAMRU-K sont fortement affectées par les limitations d'infrastructure dans le pays. Les fonctionnalités de base généralement considérées comme acquises dans les pays développés, telles que l'énergie électrique, peuvent être rares, en raison de fréquentes pannes de courant et du rationnement. Deux congélateurs (achetés avec les fonds du GEIS) pour le stockage des échantillons destinés aux tests de dépistage de drogue n'ont pas encore été branchés, car aucun point de vente n'est disponible. Le courant de secours est peu fiable et inadéquat. Les communications à l'intérieur et à l'extérieur du pays sont également irrégulières, car même le support technologique le plus élémentaire, tel qu'un système téléphonique, n'est pas toujours disponible (USAMRU-K, 2000). En outre, les opérations au Kenya ont un coût relativement lourd en équipements. Par exemple, en raison des conditions routières dangereuses et du vol, la durée de vie effective de tous les véhicules à moteur au Kenya est inférieure à 5 ans.L'emplacement de USAMRU-K au Kenya, un pays géographiquement diversifié et riche en agents pathogènes transmissibles, offre un potentiel intéressant pour l'étude des maladies infectieuses émergentes dans le pays et dans la région. Les infrastructures en difficulté du Kenya posent des problèmes opérationnels et, dans le même temps, renforcent la nécessité des efforts de GEIS. Pour atteindre les objectifs du programme, il est crucial d’investir dans l’amélioration des capacités nationales de santé publique. L'investissement continu dans l'amélioration des capacités de laboratoire d'USAMRU-K fait partie de ce processus.






Sur tous les sites visités par le sous-comité de l'OIM, les installations matérielles de l'USAMRU-K vont de très peu satisfaisantes à basiques. De plus, le manque de réactifs, tels que ceux qui seraient nécessaires pour permettre le diagnostic des fièvres hémorragiques virales, limite la capacité de USAMRU-K à réaliser tout son potentiel dans le cadre de GEIS.






SUR LE GEIS
Le Centre mondial de surveillance de la santé des forces armées, Système mondial de surveillance et d’intervention en cas d’infection émergente (AFHSC-GEIS), a pour mission de surveiller les maladies infectieuses émergentes susceptibles de toucher l’armée américaine. Cette mission consiste à orchestrer un portefeuille mondial de projets de surveillance, d’efforts de renforcement des capacités, d’enquêtes sur les épidémies et d’exercices de formation. En 2009, ce portefeuille a impliqué 39 partenaires financés, impactant 92 pays. Cet article présente le paysage actuel de la bio-surveillance, les détails de l'organisation, de son programme et de sa mise en œuvre, ainsi que les principales contributions à la protection de la santé et à la santé publique dans le monde en 2009.Malgré l’optimisme des années 1960 selon lequel l’humanité avait vaincu les maladies infectieuses, le monde n’a cessé de faire face à la réalité de sa vulnérabilité persistante. Deux rapports historiques de l'Institut de médecine (IOM) ont présenté ces vulnérabilités [1,2]. Les récents événements soulignent la sagesse de ces documents et le fait que la communauté mondiale doit s'unir pour lutter contre les maladies infectieuses émergentes.


Histoire du GEIS








Le premier de deux rapports de l'OIM, publié en 1992, soulignait le rôle potentiel des laboratoires d'outre-mer du Département de la défense (DoD) dans la gestion des vulnérabilités des nouvelles infections. Le DoD a une longue histoire de recherche et de développement dans le domaine médical, dont une grande partie a été réalisée via un réseau de laboratoires à l'étranger. Bien que leurs emplacements géographiques aient changé au fil du temps, cinq laboratoires étaient en activité en 2009: Le Caire, en Égypte; Nairobi, Kenya; Bangkok, Thaïlande; Lima, Pérou; et Jakarta, Indonésie en 2009 (Figure (Figure1) 1) [3]. Historiquement, le rôle de ces laboratoires se limitait presque exclusivement à la recherche et au développement de produits, tels que vaccins, antimicrobiens ou produits de diagnostic, qui seraient bénéfiques pour la santé des forces du DoD dans le monde entier. La surveillance des maladies infectieuses était cependant minime. Entre 1992 et 1996, de nombreux documents et communications au sein du DoD ont reconnu la nécessité d'initiatives mondiales émergentes en matière de surveillance des infections s'appuyant sur ces laboratoires à l'étranger et ont souligné l'engagement du DoD dans ces efforts.En 1996, le cabinet du président des États-Unis d'Amérique a publié une directive de décision présidentielle (NSTC-7) indiquant que les capacités actuelles étaient insuffisantes pour protéger les communautés de la santé publique américaines ou mondiales des menaces émergentes de maladies infectieuses (EID) [4]. Le DoD a de nouveau été spécifiquement mentionné par plusieurs agences fédérales comme ayant une présence et une expertise mondiales qui pourraient être exploitées pour aider à améliorer la surveillance et la préparation à la DI. Avec ces événements, le système mondial de surveillance et d’intervention des infections émergentes du DoD (DoD-GEIS) a été mis en place, élargissant ainsi la mission du DoD en vue de faire face aux menaces posées aux États-Unis et à d’autres pays par les maladies infectieuses émergentes et ré-émergentes. C’était un développement opportun: la décennie suivante, le SRAS, le virus du Nil occidental et la grippe aviaire, pour ne citer que quelques exemples, et plus récemment, le virus de la grippe H1N1 est apparu en 2009 en tant que menace pandémie.






En 2008, le DoD-GEIS est devenu une division du Centre de surveillance de la santé des forces armées (AFHSC) sous la direction du secrétaire adjoint à la Défense [5]. Cette initiative a centralisé les initiatives de surveillance des soins de santé à l’échelle du DoD ainsi que les efforts de surveillance des laboratoires nationaux et étrangers. En 2009, AFHSC-GEIS a assuré la direction, le financement et la supervision d'un réseau de 39 partenaires (tableau (tableau 1) 1) sur environ 500 sites. Quatre-vingt-douze pays ont été affectés par une surveillance active, des initiatives de renforcement des capacités ou une participation à des exercices de formation (Figure (Figure 1) .1). Ce document résumera la mise en œuvre de ce réseau mondial de surveillance des laboratoires du DoD et ses contributions en 2009, et examinera les perspectives d’avenir à mesure que le gouvernement américain devient de plus en plus proactif dans le domaine de la bio-surveillance. Les objectifs stratégiques de la section GEIS comprennent:


Soutenir les priorités des campagnes de lutte contre les maladies infectieuses et de théâtre dans le CCG en renforçant la surveillance, la riposte aux épidémies, la collaboration et la coordination du réseau mondial de laboratoires du DoD


Informer les décisions et les politiques du PFSS par la diffusion en temps opportun des données de surveillance aux principaux intervenants


Renforcer la sécurité sanitaire nationale et mondiale en prévenant, détectant et réagissant aux menaces de maladies infectieuses


Informer le DoD et la recherche et le développement inter organismes de mesures de lutte contre les maladies infectieuses telles que des outils de diagnostic, des prophylaxies, des agents thérapeutiques, des insecticides et des équipements de protection individuelle


Aperçu des activités GEIS


GEIS soutient les efforts de surveillance et de riposte aux épidémies dans quatre domaines prioritaires des maladies infectieuses, en liaison avec les priorités du CCG: les infections résistantes aux antimicrobiens (y compris les infections sexuellement transmissibles), les infections entériques, les infections fébriles et à transmission vectorielle et les infections respiratoires.


Ces efforts sont axés sur la détection rapide et la caractérisation avancée des menaces endémiques ou émergentes pesant sur les forces militaires, y compris les vecteurs et les réservoirs de transmission de maladies infectieuses. Les activités soutenues comprennent également l'étude des caractéristiques cliniques et épidémiologiques des maladies infectieuses et des facteurs de risque associés afin de fournir des résultats opportuns et exploitables aux parties prenantes du DoD. L'initiative «Des données à la décision», lancée en août 2017, officialise un processus permettant la déclaration rapide et cohérente des informations de surveillance pour la prise de décision immédiate du PFSS et l'analyse à plus long terme.


Au cours de l’exercice 2017, le GEIS a mis en place un consortium sur le séquençage de nouvelle génération (NGS) et la bioinformatique (BI) afin de détecter et de caractériser rapidement les agents pathogènes connus, émergents et nouveaux en établissant une capacité de laboratoire harmonisée du DoD utilisant les données de NGS et de BI. informer le processus décisionnel du PFSS. Les partenaires du GEIS à travers le monde sont soit activement engagés dans des projets de NGS, soit poursuivent leurs capacités. Le consortium réunit les partenaires de GEIS afin qu'ils échangent des informations sur les capacités, les procédures opérationnelles standard et les compétences, afin d'améliorer la coordination et la collaboration au sein de NGS et des défis de la BI associés.


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Les soldats et les civils de l'armée affectés à l'unité de recherche médicale de l'armée américaine au Kenya célèbrent 40 ans de recherche en Afrique de l'Est.


USAMRU-K, connu localement par les Kenyans sous le nom de projet Walter Reed, connaît une croissance exponentielle, a déclaré le commandant de l'unité, le colonel Scott Gordon, de l'armée américaine.





«Notre 40e anniversaire coïncide avec l’une des plus grandes entreprises d’USAMRU-K. Notre station de terrain de Kisumu fait partie d’une étude de trois ans sur ce qui pourrait devenir le premier vaccin contre le paludisme pour les enfants au monde », a déclaré Gordon.





Connue sous le nom de MAL-55, l’étude teste l’efficacité d’un vaccin en développement depuis plus de 20 ans. USAMRU-K est l'un des 11 sites dans sept pays où l'étude est en cours.






"Historiquement, nous nous sommes concentrés sur le paludisme - bien que ce soit la maladie du sommeil qui nous a amenés au Kenya il y a 40 ans", a déclaré Gordon.





"Au cours des dernières années, nous nous sommes développés, en examinant de plus près la tuberculose, la diarrhée, le VIH et d'autres domaines."





USAMRU-K, l’un des cinq laboratoires de recherche militaire américains à l’étranger, a été créé en 1969 à l’invitation du Kenya à étudier la trypanosomose, une maladie parasitaire transmise par la mouche tsé-tsé. En 1973, l'unité a été installée de manière permanente à Nairobi, dans le cadre d'un accord avec l'Institut de recherche médicale du Kenya.





USAMRU-K compte 10 soldats de l'armée américaine, deux civils de l'armée et plus de 400 entrepreneurs kényans - une combinaison de médecins, d'infirmières, de scientifiques et de techniciens de laboratoire travaillant ensemble pour rechercher, tester et prévenir les maladies. Ils collaborent avec des responsables de la santé kényans, des organisations civiles et militaires américaines, des entreprises privées et des universités, ainsi que des organisations non gouvernementales et des fondations à but non lucratif.





USAMRU-K coordonne désormais ses missions établies avec de nouvelles initiatives sur le continent.





US Army Africa cherche des moyens de s'associer à USAMRU-K et de le soutenir dans ses efforts pour renforcer les capacités de recherche médicale en Afrique, a déclaré le colonel Alfonso Alarcon, responsable médical de US Army Afrique.





Au cours de Natural Fire 10, un exercice de secours en cas de catastrophe et d'aide humanitaire organisé récemment en Ouganda, des responsables militaires et civils d'Afrique de l'Est ont répondu à un scénario simulant une pandémie de grippe lors d'un exercice sur table. L’expertise médicale en Afrique, telle que celle trouvée à USAMRU-K, peut jouer un rôle clé en aidant l’armée américaine et ses pays partenaires à faire face aux problèmes médicaux actuels et à se préparer à faire face aux crises faisant face à des maladies émergentes, a déclaré Alacorn.





"Ils ont une présence de 40 ans sur le continent, menant des recherches médicales pertinentes pour les Etats-Unis et l'Afrique", a déclaré Alacorn.





"Nous sommes impatients de voir USAMRU-K travailler avec d'autres entités africaines et bénéficier de l'appui de l'armée américaine pour l'Afrique dans leurs efforts futurs."


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USAMRU_K ET WALTER but officiel, protégez les soldats us


Responsable de l'USMARU-k


Secrétaire adjoint à la défense pour la santé des us


https://www.wrair.army.mil/Subordinate_UsamruK.aspx


Commandes subordonnées


USAMRU-K


USAMRU-K développe et teste des moyens améliorés de prévision, de détection, de prévention et de traitement des menaces de maladies infectieuses importantes pour l’armée américaine, ainsi que des activités de surveillance, de formation, de recherche et d’intervention liées aux menaces émergentes de maladies infectieuses. Notre équipe collabore avec des agences gouvernementales américaines pour exécuter le plan d’action du président contre le sida (PEPFAR) et l’Initiative du président contre le paludisme (PMI).






Le développement de produits médicaux pour les maladies infectieuses nécessite l'accès à des populations d'étude sur des sites où les agents pathogènes sont endémiques, ainsi que l'accès à des centres d'essais cliniques capables de réaliser des essais vaccinaux et thérapeutiques de haute qualité et réglementés. Plus précisément, le paludisme, le VIH / sida, les agents pathogènes entériques, les virus de la fièvre hémorragique et de la fièvre hémorragique, ainsi que les maladies transmises par les arthropodes, comptent parmi les agents infectieux les plus importants sur le plan militaire.


https://fr.wikipedia.org/wiki/Virus_Marburg


document suppl


https://www.nytimes.com/1994/08/21/science/sciencespecial/smallpox-is-dead-long-live-smallpox.html


https://www.jstor.org/stable/4185296?seq=1#page_scan_tab_contents


Sur les "Peace Corps" ou autre agence us en Afrique


https://www.peacecorps.gov/


https://fr.wikipedia.org/wiki/Corps_de_la_Paix


usaid


https://fr.wikipedia.org/wiki/Agence_des_États-Unis_pour_le_développement_international
 
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