I'm not so affirmative :)
As I answered in other post on this thread, the key is the outlook we use to interpret the variables of an equation.
When Maxwell's equations were derived to unify all the results of electrical and magnetic phenomena, no one had really considered that electricity and magnetism could be two facets of a larger field (apart from Faraday and Oersted, at least), the electromagnetic field.
We only look at, or even observe, phenomena through our consciousness, which is essentially that of identification with the physical body. Thus, Maxwell's modern equations have been interpreted through a 3D Euclidean space, a rigid physical space whose 3 axes are interchangeable. This frame of reference allows for a completely different interpretation if, for example, the basic reference space had been spherical geometry.
So, as far as I'm concerned, consciousness isn't something extra, something external, to be added to 3D physical laws. It's already present in the variables and concepts used to elaborate and interpret an equation. It's the awareness I gained after years of reflection on the theory of special relativity and why we never perceive a speed greater than the speed of light. Because, like you, I never bought this idea (the constant speed of light or the the universal speed of light limit), ever since university, and came to the conclusion that we don't observe a speed greater than the speed of light because the latter quantifies our 3D perception. There's more to be said here, too, since assigning a speed to light is, for me, a tall order. It results from a mechanistic interpretation of light, identified with a material point. This is the 3D interpretation we have of light, which, once again, is validated by experience, as everything is light, and matter is the 3D interpretation we have of it. As far as I'm concerned, light is multidimensional and I was reassured when the Cs confirmed that there was no longer any reason to talk about the speed of light in 4D, since it's an obsolete concept. In 4D, everything is light for our new perception. Speed is only a 3D concept. So, to support what I said in the previous paragraph : the state of consciousness manifests itself through a given perception.
So, when you mention atomic and nuclear forces (strong and weak forces), I'm more and more convinced that they could fit into the framework of Maxwell's equations with a different perception and frame of reference. I don't even know if, at this level, we can still talk about 3D reality. The Frenchman Nottale has made some interesting discoveries in this field, based on a fractal perception of reference space. Interestingly, by starting from classical mechanics, he obtained certain elements of quantum mechanics. And the Cs confirmed the fractal nature of space. Through all these elements, we get a clear sense of the multidimensional and living character to be found, which unites the different perceptions of reality and validates all aspects of it as relative realities. What's more, we don't forget that electromagnetism is the basis of quantum mechanics, so in a way, strong and weak forces are a particular aspect of electromagnetism.
I agree with you that physical constants are bound to vary : the speed of light, Planck's constant... confirmed by Cs.
As far as general relativity is concerned, it's a 3D expression that can be surpassed : it's based on special relativity, which is a mechanical interpretation of the dynamics of light, that they tried to apply to Newton's gravity. It's a generalization of the principle of relativity to Newton's gravity. It's the 3D view pushed to its maximum, with black holes as its ultimate limits. In other words, by going back to the principle of relativity at the basis of classical mechanics...
One of the interesting questions that could be put to Cs : does electromagnetism follow, or verify, the principle of relativity?
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Lorsque les équations de Maxwell ont été obtenues afin d'unifier tous les résultats de phénomènes électriques et magnétiques, personne n'avait vraiment envisagé que l'électricité et le magnétisme puissent être deux facettes d'un champ plus large (à part, Faraday et Oersted, au moins), le champ électromagnétique. Nous ne regardons, voire observons, les phénomènes qu'à travers notre conscience qui, pour l'essentiel, est celle de l'identification au corps physique. Ainsi, les équations modernes de Maxwell ont été interprétées à travers un espace euclidien 3D, espace physique rigide dont les 3 axes sont interchangeables sans distinction. Le cadre servant de référence permet d'obtenir de toute autre interprétation si, par exemple, l'espace de référence de base avait été la géométrie sphérique.
Donc, pour moi, la conscience n'a rien d'une donnée extra, extérieure, à ajouter aux lois physiques 3D. Elle est déjà présente à travers les variables et les concepts servant à élaborer et interpréter une équation. C'est la conscience que j'en ai obtenu après des années de réflexion sur la théorie de la relativité spéciale et sur pourquoi on ne perçoit jamais de vitesse supérieure à la vitesse de la lumière. Car, comme toi, je n'ai jamais acheté cette idée (une vitesse de la lumière constante ou une vitesse de la lumière indépassable), depuis l'université, et suis arrivé à la conclusion que nous n'observions pas de vitesse supérieure à la vitesse de la lumière car cette dernière quantifie notre perception 3D. Il y aurait, là aussi, plus à dire puisque affectée une vitesse à la lumière est pour moi, une gageure. Cela résulte d'une interprétation mécaniste de la lumière, identifiée à un point matériel. C'est l'interprétation 3D que nous nous faisons de la lumière et qui, encore une fois, est validée par l'expérience car, tout étant lumière, la matière en est l'interprétation 3D que nous nous en faisons. Pour moi, la lumière est multidimensionnelle et cela m'a conforté lorsque les Cs ont confirmé qu'il n'y avait plus aucune raison de parler de vitesse de la lumière en 4D puisque c'est un concept désuet. En 4D, tout est lumière pour notre nouvelle perception. La vitesse n'est qu'un concept 3D. Ainsi, pour appuyer ce que je dis dans le paragraphe précédent : l'état de conscience se manifeste par une perception donnée.
Ainsi, lorsque tu évoques les forces atomiques et nucléaires (forces forte et faible), je suis de plus en plus convaincu qu'elles pourraient s'inscrire dans le cadre des équations de Maxwell avec une perception et un cadre de référence différents. Je ne sais même pas si, à ce niveau, nous pouvons encore parler de réalité 3D. Le français Nottale a fait de jolies découvertes, dans ce domaine, en s'appuyant sur une perception fractale de l'espace de référence. Chose intéressante : en partant de la mécanique classique, il en obtenait certains éléments de la mécanique quantique. Et les Cs ont confirmé le caractère fractal de l'espace. A travers tous ces éléments, on sent bien le caractère multidimensionnel et vivant à trouver qui unit les différentes perceptions de la réalité et qui en valide tous les aspects en tant que réalités relatives. De plus, il ne faut pas oublier que l'électromagnétisme est à la base de la mécanique quantique donc, d'une certaine manière, les forces forte et faible sont un aspect particulier de l'électromagnétisme.
Je suis d'accord avec toi que les constantes physiques forcément doivent être amenées à varier : vitesse de la lumière, constante de Planck... confirmé par les Cs.
Pour ce qui est de la relativité générale, elle est une expression 3D donc dépassable : elle repose sur la relativité spéciale, qui est une interprétation mécanique de la dynamique de la lumière, qu'ils ont cherché à appliquer à la gravité de Newton. C'est une généralisation du principe de relativité à la gravité de Newton. C'est le regard 3D poussé à son maximum dont les trous noirs en sont les limites ultimes. Autant dire qu'en revenant sur le principe de relativité à la base de la mécanique classique...
Une des questions intéressantes qui pourraient être posée aux Cs : l'électromagnétisme suit-il, vérifie t-il le principe de relativité ?