Speech by Pr Mohamed Ben Amar (Pharmacologist in Canada) :
"There are many side effects of Pfizer & Moderna vaccines" in response to Dr Francis Megerlin (French) at a pharmaceutical congress, 2024 Officine expo Pharma Africa in Marrakech 01/03/24.
- J'aimerais partager avec vous mon expérience de recherche au Canada depuis 88.
En immunologie, je travaille sur le VIH, sur le cancer et maintenant sur le COVID.
Ce que j'ai découvert par hasard et qui s'est confirmé, c'est qu'au niveau du pronostic de l'évolution du COVID,
il y a actuellement 18 publications sur ce sujet d'éminents chercheurs,
les gens qui ont un mauvais pronostic sont ceux qui ont un système immunitaire faible,
et le marqueur important que je vous recommande de prendre, c'est les lymphocytes T8 qu'on appelle les cellules tueuses du système immunitaire. On les appelle les CD8.
On a démontré que les gens qui avaient des lymphocytes T8 élevés ne s'infectaient pas ou avaient un COVID asymptomatique ou peu virulent.
Et par contre, les gens qui ont un système immunitaire faible, qui est démontré par une baisse des lymphocytes T8 et T4,
évoluaient vers la cascade de cytokines et une évolution plus grave.
Donc effectivement, le vaccin protège, comme l'a dit mon collègue, mais je partage aussi l'opinion du Dr Amira.
Ce n'est pas un vaccin absolu. On a été confronté à une situation d'urgence où il fallait développer des vaccins qui, certes, nous ont protégé, mais une protection de 15%. Ce n'est pas une véritable protection.
Et je vous mets en garde, j'ai une publication, j'ai donné beaucoup de conférences sur le COVID aux médecins, pharmaciens et dentistes au Canada.
Il y a eu beaucoup d'effets secondaires. Et ça, c'est caché, ce n'est pas rapporté.
Faites attention, on ne va pas se vacciner. Je suis contre la vaccination des enfants.
Parce qu'il n'y a pas des études à long terme qui ont démontré ceci.
Et les vaccins les plus dangereux, malheureusement, c'est les vaccins ARN.
Et je dois les citer, ceux de Pfizer et de Moderna. Merci.
- On n'a pas suffisamment informé, on n'a pas informé, Madame. On n'a pas communiqué autour.
Et il faut le dire haut et fort pour que, justement, on sorte du déni et on se confronte à la réalité.
Et c'est en se confrontant à la réalité qu'on lui apporte les vraies réponses, tout simplement.
- Tout à fait.
- Permettez-moi de compléter ce que dit le Dr. Tiet. Je suis tout à fait d'accord avec lui.
Et moi, je n'étais pas au Maroc, je suis au Canada.
Mais le problème de la mauvaise information, la désinformation, le manque d'information, est à l'échelle internationale.
Au Canada, c'était la même chose. Pourquoi les journalistes veulent dramatiser ?
Écoutez, un journaliste n'a pas les données scientifiques pour informer.
La population, quand on la dirige juste dans un sens, elle ne veut pas perdre sa liberté.
Moi, j'étais abasourdi par les campagnes d'information à la télévision canadienne.
Ce n'est pas une république bananière.
Et j'ai écrit au président de la télévision canadienne en trouvant que ce n'était pas objectif.
Il m'a tout simplement répondu, "Je vais informer la salle d'information là-dessus".
Mais on ne fait rien.
Alors, écoutez, il faut prouver que les enfants, parce que les enfants ont une immunité souvent plus forte que nous.
Est-ce que le vaccin renforce l'immunité ou le contraire ?
Il y a des données qui disent que c'est le contraire.
Pourquoi on va obliger des enfants et non pas donner la liberté aux parents de décider pour leurs enfants ?
Et ce problème va se continuer et nous devons nous mobiliser pour arrêter cela.
Merci.
- Oui, docteur Daniel.
- Merci, merci madame Saint-Issy pour votre excellente modération.
Merci aux différents intervenants pour ce brillant partage d'expérience.
Dans certains pays, des médecins ont constaté une recrudescence des maladies auto-immunes après la vaccination,
certaines formes de cancers, des pathologies vasculaires,
surtout chez les personnes qui ont reçu une quatrième et cinquième dose et qui continuent encore au niveau des vaccins.
Il serait judicieux de mener une étude chez les médecins qui rencontrent tous les jours les malades,
voir exactement quelles sont les pathologies qui sont en nette augmentation
et est-ce qu'elles sont véritablement liées à la vaccination.
L'expérience africaine du Sénégal et de la Côte d'Ivoire, en parlant de plantes médicinales,
est très judicieuse également pour renforcer l'immunité tout en n'ayant pas d'effet secondaire.
Donc ce suivi pour les médecins serait très important.
Comme l'a dit notre consœur, pour la prochaine pandémie, tout le monde va être un peu devant une grande question.
Faut-il continuer la vaccination et quelle dose ?
Merci infiniment.
- Merci beaucoup pour cette table ronde.
J'aimerais revenir juste sur un point antérieur et poser la question de votre expérience nationale.
Il a été évoqué un mot intéressant et très impactant, l'infodémie,
et un reproche sans doute justifié mais en même temps un petit peu injuste,
peut-être à l'égard des autorités qui ont cherché à communiquer pendant la période.
On est rentré dans un monde d'incertitudes incroyables.
Nous n'avons pas dans l'expérience l'humanité d'une communication en temps réel sur des éléments d'incertitude.
Donc nous n'arrêtions pas de communiquer en temps réel sur une incertitude extraordinairement anxiogène.
Et pendant les périodes de confinement, il y a eu un gel total de la vie sociale, de la vie culturelle,
de la vie entrepreneuriale, de la vie économique, de la vie administrative.
Donc un espace de disponibilité mentale qui a cherché à se meubler avec tous les fantasmes imaginables,
alimenté par une extraordinaire fragmentation au travers des réseaux sociaux.
Et la polarisation en mini-communautés qui, selon leur préférence, en quelque sorte se sont jointes,
me laisse m'interroger quant à la leçon que l'on peut tirer en termes de défauts de communication
pour le prochain grand stress.
Vous l'avez dit, il viendra.
Nous serons à nouveau confrontés à des situations qui pourraient être critiques, voire super critiques.
Et dans ce cas-là, est-ce qu'une communication centralisée qui abolit des systèmes de réseaux sociaux,
ce qui est sur le plan politique, c'est quand même une sacrée question,
ou est-ce qu'on laisse ces micro-communautés, qui ont chacune leur mérite bien sûr,
mais qui ont un effet de fragmentation extraordinaire de toute communication,
de tout message qui peut être envoyé par l'autorité publique responsable dans l'état de ses connaissances.
Donc une extraordinaire fragmentation des psychés.
Nous l'avons très fortement connue en Europe.
Je voudrais savoir si vous avez observé aussi dans vos pays un activiste sur les réseaux sociaux
d'expression d'inquiétude relayée, amplifiée, qui se polarisait,
et parfois de manière a front inversée, parce que ça c'est quelque chose qui est extrêmement difficile à gérer pour le futur.
Donc quelles sont, s'il vous plaît, vos expériences, qu'avez-vous pu noter dans ces champs-là ?
Merci par avance.
- Moi je trouve que votre question est très importante.
Ce qui m'a dérangé beaucoup, c'est qu'il y a plus de 15 000 médecins à l'échelle mondiale
qui ont signé la déclaration de Rome, en disant qu'ils ont été menacés,
qu'on a dit qu'on allait les enlever de l'ordre des médecins.
Ils ont perdu leur poste.
Des grands virologues en France et aux Etats-Unis.
Ça c'est inacceptable.
Parce qu'ils ont dit "attention".
Ils n'étaient pas contre la vaccination.
Quand on est contre, on dit "vous êtes un négationniste".
Il faut apporter des preuves scientifiques, puis il faut mettre dans la balance le pour et le contre.
Je trouve inacceptable que des gens prestigieux aient été mis à l'écart
parce qu'ils ont sonné l'alarme sur les dangers des vaccins.
En immunologie, je travaille sur le VIH, sur le cancer et maintenant sur le COVID.
Ce que j'ai découvert par hasard et qui s'est confirmé, c'est qu'au niveau du pronostic de l'évolution du COVID,
il y a actuellement 18 publications sur ce sujet d'éminents chercheurs,
les gens qui ont un mauvais pronostic sont ceux qui ont un système immunitaire faible,
et le marqueur important que je vous recommande de prendre, c'est les lymphocytes T8 qu'on appelle les cellules tueuses du système immunitaire. On les appelle les CD8.
On a démontré que les gens qui avaient des lymphocytes T8 élevés ne s'infectaient pas ou avaient un COVID asymptomatique ou peu virulent.
Et par contre, les gens qui ont un système immunitaire faible, qui est démontré par une baisse des lymphocytes T8 et T4,
évoluaient vers la cascade de cytokines et une évolution plus grave.
Donc effectivement, le vaccin protège, comme l'a dit mon collègue, mais je partage aussi l'opinion du Dr Amira.
Ce n'est pas un vaccin absolu. On a été confronté à une situation d'urgence où il fallait développer des vaccins qui, certes, nous ont protégé, mais une protection de 15%. Ce n'est pas une véritable protection.
Et je vous mets en garde, j'ai une publication, j'ai donné beaucoup de conférences sur le COVID aux médecins, pharmaciens et dentistes au Canada.
Il y a eu beaucoup d'effets secondaires. Et ça, c'est caché, ce n'est pas rapporté.
Faites attention, on ne va pas se vacciner. Je suis contre la vaccination des enfants.
Parce qu'il n'y a pas des études à long terme qui ont démontré ceci.
Et les vaccins les plus dangereux, malheureusement, c'est les vaccins ARN.
Et je dois les citer, ceux de Pfizer et de Moderna. Merci.
- On n'a pas suffisamment informé, on n'a pas informé, Madame. On n'a pas communiqué autour.
Et il faut le dire haut et fort pour que, justement, on sorte du déni et on se confronte à la réalité.
Et c'est en se confrontant à la réalité qu'on lui apporte les vraies réponses, tout simplement.
- Tout à fait.
- Permettez-moi de compléter ce que dit le Dr. Tiet. Je suis tout à fait d'accord avec lui.
Et moi, je n'étais pas au Maroc, je suis au Canada.
Mais le problème de la mauvaise information, la désinformation, le manque d'information, est à l'échelle internationale.
Au Canada, c'était la même chose. Pourquoi les journalistes veulent dramatiser ?
Écoutez, un journaliste n'a pas les données scientifiques pour informer.
La population, quand on la dirige juste dans un sens, elle ne veut pas perdre sa liberté.
Moi, j'étais abasourdi par les campagnes d'information à la télévision canadienne.
Ce n'est pas une république bananière.
Et j'ai écrit au président de la télévision canadienne en trouvant que ce n'était pas objectif.
Il m'a tout simplement répondu, "Je vais informer la salle d'information là-dessus".
Mais on ne fait rien.
Alors, écoutez, il faut prouver que les enfants, parce que les enfants ont une immunité souvent plus forte que nous.
Est-ce que le vaccin renforce l'immunité ou le contraire ?
Il y a des données qui disent que c'est le contraire.
Pourquoi on va obliger des enfants et non pas donner la liberté aux parents de décider pour leurs enfants ?
Et ce problème va se continuer et nous devons nous mobiliser pour arrêter cela.
Merci.
- Oui, docteur Daniel.
- Merci, merci madame Saint-Issy pour votre excellente modération.
Merci aux différents intervenants pour ce brillant partage d'expérience.
Dans certains pays, des médecins ont constaté une recrudescence des maladies auto-immunes après la vaccination,
certaines formes de cancers, des pathologies vasculaires,
surtout chez les personnes qui ont reçu une quatrième et cinquième dose et qui continuent encore au niveau des vaccins.
Il serait judicieux de mener une étude chez les médecins qui rencontrent tous les jours les malades,
voir exactement quelles sont les pathologies qui sont en nette augmentation
et est-ce qu'elles sont véritablement liées à la vaccination.
L'expérience africaine du Sénégal et de la Côte d'Ivoire, en parlant de plantes médicinales,
est très judicieuse également pour renforcer l'immunité tout en n'ayant pas d'effet secondaire.
Donc ce suivi pour les médecins serait très important.
Comme l'a dit notre consœur, pour la prochaine pandémie, tout le monde va être un peu devant une grande question.
Faut-il continuer la vaccination et quelle dose ?
Merci infiniment.
- Merci beaucoup pour cette table ronde.
J'aimerais revenir juste sur un point antérieur et poser la question de votre expérience nationale.
Il a été évoqué un mot intéressant et très impactant, l'infodémie,
et un reproche sans doute justifié mais en même temps un petit peu injuste,
peut-être à l'égard des autorités qui ont cherché à communiquer pendant la période.
On est rentré dans un monde d'incertitudes incroyables.
Nous n'avons pas dans l'expérience l'humanité d'une communication en temps réel sur des éléments d'incertitude.
Donc nous n'arrêtions pas de communiquer en temps réel sur une incertitude extraordinairement anxiogène.
Et pendant les périodes de confinement, il y a eu un gel total de la vie sociale, de la vie culturelle,
de la vie entrepreneuriale, de la vie économique, de la vie administrative.
Donc un espace de disponibilité mentale qui a cherché à se meubler avec tous les fantasmes imaginables,
alimenté par une extraordinaire fragmentation au travers des réseaux sociaux.
Et la polarisation en mini-communautés qui, selon leur préférence, en quelque sorte se sont jointes,
me laisse m'interroger quant à la leçon que l'on peut tirer en termes de défauts de communication
pour le prochain grand stress.
Vous l'avez dit, il viendra.
Nous serons à nouveau confrontés à des situations qui pourraient être critiques, voire super critiques.
Et dans ce cas-là, est-ce qu'une communication centralisée qui abolit des systèmes de réseaux sociaux,
ce qui est sur le plan politique, c'est quand même une sacrée question,
ou est-ce qu'on laisse ces micro-communautés, qui ont chacune leur mérite bien sûr,
mais qui ont un effet de fragmentation extraordinaire de toute communication,
de tout message qui peut être envoyé par l'autorité publique responsable dans l'état de ses connaissances.
Donc une extraordinaire fragmentation des psychés.
Nous l'avons très fortement connue en Europe.
Je voudrais savoir si vous avez observé aussi dans vos pays un activiste sur les réseaux sociaux
d'expression d'inquiétude relayée, amplifiée, qui se polarisait,
et parfois de manière a front inversée, parce que ça c'est quelque chose qui est extrêmement difficile à gérer pour le futur.
Donc quelles sont, s'il vous plaît, vos expériences, qu'avez-vous pu noter dans ces champs-là ?
Merci par avance.
- Moi je trouve que votre question est très importante.
Ce qui m'a dérangé beaucoup, c'est qu'il y a plus de 15 000 médecins à l'échelle mondiale
qui ont signé la déclaration de Rome, en disant qu'ils ont été menacés,
qu'on a dit qu'on allait les enlever de l'ordre des médecins.
Ils ont perdu leur poste.
Des grands virologues en France et aux Etats-Unis.
Ça c'est inacceptable.
Parce qu'ils ont dit "attention".
Ils n'étaient pas contre la vaccination.
Quand on est contre, on dit "vous êtes un négationniste".
Il faut apporter des preuves scientifiques, puis il faut mettre dans la balance le pour et le contre.
Je trouve inacceptable que des gens prestigieux aient été mis à l'écart
parce qu'ils ont sonné l'alarme sur les dangers des vaccins.
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