Various interesting things in French : documentaries, etc.

Et bien saperlipopette, avec des "si"on pourrait mettre la Tour Eiffel en bouteille, et avec une bouteille assez grande et large, elle serait en bouteille en effet.
Après la lecture du lien de Maat, le truc du truc c'est que c'est exactement ça:
Q: (Barry) Is he the antichrist?
A: No. The "antichrist" is not an individual, but a consortium.

Q: (Barry) Who is the consortium?
A: The term refers to the idea of a large number of individuals.

Q: (L) Who specifically? (Frank) Human beings?
A: Yes and others.

Q: (Barry) Have these people been reincarnated for a lifetime and kept the same memory to continue the same plan?
A: Only a few.
Well, gee whiz, with "ifs" you could bottle the Eiffel Tower, and with a big and large enough bottle, it would be bottled indeed.
After reading Maat's link, the stuff about the stuff is that it is exactly that:
 
I am only on a phone and i can't read or download the Maat's link. Can someone make a resume ? Thanks
Je suis uniquement sur un téléphone portable et je n'arrive pas à lire ni télécharger le lien de Maat. Quelqu'un peut il faire un résumé ? Merci
 
P
EN GUISE DE CONCLUSION… L'impasse est simplement dans la détermination de l'objectif. Que veut-on vraiment établir ? Commenter ? Pourquoi ? S'il s'agit de « prouver » que Brigitte en a /en a eu une paire, on peut arrêter immédiatement : elle ne le nie même pas ! S'il s'agit de « prouver » que Brigitte s'appelle Jean-Michel, on peut aussi arrêter immédiatement : si Brigitte est/était un homme, cela ne peut être que Jean-Michel ! « L'enquête » part dans tous les sens… pour la simple et bonne raison que l'on ne sait pas vraiment ce que l'on veut/ qu'on ne le sait que trop bien et que l'on fait donc tout pour que ça capote. La stratégie de com de l'Elysée est pourtant simple et claire : s'acharner sur le maillon faible (Natacha/Amandine) pour faire disparaître tout le reste derrière les effets de manche d'avocats spécialistes de l'esbroufe en première instance. Dans ce genre de procédure viciée à la base, ils ont toutes les chances d'obtenir une victoire ou, à minima, un jugement emberlificoté à souhait qu'ils pourraient interpréter à leur guise… même si en appel ils se produiront probablement étaler. En attendant, ils auront gagné du temps et sauveront le soldat Manu, c'est tout ce qui compte. S'imaginer que l'on peut révéler la vérité dans un pays gangrené jusqu'au trognon, pourri par la corruption, ravagé par l'imbécilité ; que cela changera le résultat d'une élection truquée dans une fausse démocratie complètement contrôlée par des puissances occultes relève de la plus totale naïveté. Tout sera révélé, tout sera renversé… mais d'une façon qui échappe complètement à l'entendement des aveugles car « ils ont des yeux pour voir et qui ne voient point, des oreilles pour entendre et qui n'entendent point ». Mais en fait quelle vérité veut-on faire éclater ? Que Jean-Michel est devenu Brigitte est le père de Manu et qu'il est devenu la femme de son fils ? Qu'avec la complicité de sa famille et de celle de Manu, à coups de sévices sexuels et de conditionnement mental il en a fait sa marionnette ? Oui, certes… mais ce n'est que la pointe émergée d'un Everest de merdes infâmes ! Brimichou n'a pas violé et torturé systématiquement ses gosses uniquement par perversion sexuelle ou pour décorer l'Elysée à son mauvais goût ! Le marionnettiste n'est lui-même qu'un instrument entièrement sous contrôle… Et que ce n'est pas seulement MacKinsey, Davos ou la banque Rothschild qui sont derrière tout ça… Ce qu'il y a est tellement sordide, effrayant que presque personne n'a envie d'y aller voir, de savoir, parce qu'après plus rien ne sera jamais plus comme avant. LA VERITABLE ENQUETE EST LA : AU FOND DE CETTE FOSSE PUTRIDE, ET LA VERITE NE VA PAS INTERESSER GRAND MONDE PARCE QU'ELLE FERA VRAIMENT PEUR. La face cachée des Macron © NBI et l'Ermite ZeQeFan Page 91 sur 91 LORSQUE VOUS AVEZ ELIMINE L'IMPOSSIBLE, CE QUI RESTE, SI IMPROBABLE SOIT-IL, EST NECESSAIREMENT LA VERITE. SIR ARTHUR CONAN DOYLE ET LA VERITE NE VA PAS INTERESSER GRAND MONDE PARCE QU'ELLE FERA VRAIMENT PEUR. La face cachée des Macron © NBI et l'Ermite ZeQeFan Page 91 sur 91 LORSQUE VOUS AVEZ ELIMINE L'IMPOSSIBLE, CE QUI RESTE, SI IMPROBABLE SOIT-IL, EST NECESSAIREMENT LA VERITE.

For Don CESAR:

IN CONCLUSION... The impasse is simply in determining the goal. What do we really want to establish? Commentator? Why? If it is a question of "proving" that Brigitte has/had a pair, we can stop immediately: she does not even deny it! If it's a question of "proving" that Brigitte's name is Jean-Michel, we can also stop immediately: if Brigitte is/was a man, it can only be Jean-Michel! The "investigation" is going in all directions... for the simple reason that we don't really know what we want/we know it only too well and that we therefore do everything to make it go wrong. The communication strategy of the Elysée is however simple and clear: to attack the weakest link (Natacha/Amandine) to make all the rest disappear behind the effects of sleeve of lawyers specialists of the bluster in first instance. In this kind of vitiated procedure, they have all the chances to obtain a victory or, at least, a very complicated judgement that they could interpret as they wish... even if in appeal they will probably have to show their face. In the meantime, they will have gained time and saved the soldier Manu, that's all that matters. To imagine that the truth can be revealed in a country rotten to the core, rotten by corruption, ravaged by imbecility; that this will change the result of a rigged election in a false democracy completely controlled by occult powers is a matter of total naivety. Everything will be revealed, everything will be overturned... but in a way that completely escapes the understanding of the blind, for "they have eyes to see and do not see, ears to hear and do not hear". But in fact, what truth do we want to bring out? That Jean-Michel became Brigitte is Manu's father and that he became his son's wife? That with the complicity of his family and Manu's family, through sexual abuse and mental conditioning, he made her his puppet? Yes, certainly... but it is only the emerged point of Brimichou did not rape and torture systematically his kids only by sexual perversion or to decorate the Elysée to his bad taste! The puppeteer is himself only an instrument entirely under control... And that it is not only MacKinsey, Davos or the Rothschild bank who are behind all this... What is there is so sordid, so frightening that almost nobody wants to go and see, to know, because afterwards nothing will ever be the same again. THE REAL INVESTIGATION IS THERE: AT THE BOTTOM OF THIS PUTRID PIT, AND THE TRUTH WILL NOT INTEREST MANY PEOPLE BECAUSE IT WILL BE REALLY SCARY. La face cachée des Macron © NBI et l'Ermite ZeQeFan Page 91 of 91 WHEN YOU HAVE ELIMINATED THE IMPOSSIBLE, WHAT REMAINS, WHILE IMPROBABLE, IS NECESSARILY THE TRUTH. SIR ARTHUR CONAN DOYLE AND THE TRUTH WILL NOT INTEREST MANY PEOPLE BECAUSE IT WILL BE REALLY SCARY. La face cachée des Macron © NBI et l'Ermite ZeQeFan Page 91 of 91 WHEN YOU HAVE ELIMINATED THE IMPOSSIBLE, WHAT REMAINS, NO MATTER HOW IMPROBABLE, IS NECESSARILY THE TRUTH.

Translated with www.DeepL.com/Translator (free version)
 
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Here is another snippet (with the less "if"):

[...] pour clarifier encore davantage la situation, faisons-nous l’avocat du diable.
Admettons que Jean-Michel et Brigitte Trogneux ne sont pas une seule et même personne, mais les
deux enfants, l’un né en 1945 et l’autre née en 1953, de Jean Trogneux et Simone Pujol.
Admettons aussi le mariage de Brigitte en 1974 avec le banquier André Louis Auzière et les trois
enfants qui naîtront de cette union tranquille brisée par une « incroyable » histoire d’amour aussi folle
que transgressive.
De même, admettons que Jean-Michel est un homme ordinaire à la vie sentimentale très calme et à
l’existence très effacée. Marié une seule fois à Véronique Dreux dont il a eu deux enfants, divorcé,
sans maîtresses ou compagnes connues. Un homme retiré des affaires, du monde, de sa famille.
Et admettons encore que les relations du fils, de la belle-fille et de la belle-mère soient aujourd’hui
parfaitement apaisées, au point d’être fusionnelles entre Manu et sa mère, et que Françoise et Brigitte
soient désormais deux bonnes amies déjeunant souvent ensemble, complices au point de rire
ensemble et d’avoir les mêmes affinités...
Admettons aussi que toutes ces déclarations lénifiantes des uns et des autres sur les bonnes relations
au sein de ces familles recomposées - et aussi décomposées - doivent bien plus à une campagne de
com supervisée par Mimi Maquerelle Marchand en vue de la prochaine élection présidentielle qu’à la
réalité de leurs véritables rapports « familiaux ».
Admettons donc tout simplement la - ou plutôt les - versions officielles successives et bancales...
parce que successives et contradictoires. Et remontons le temps jusqu’au début de cette incroyable
histoire d’amour qui est finalement la « pierre angulaire » de tout le dossier Trogneux-Macron.
Officiellement (c’est-à-dire en tentant de réaliser une synthèse à peu près vraisemblable des versions
contradictoires) tout débute donc par l’éblouissement d’une prof de français, Brigitte Auzière née
Trogneux, animatrice d’un atelier théâtre, qui se dit enthousiasmée par le talent éclatant d’un jeune
collégien, Emmanuel Macron, pour la seule chose qu’il sache faire : jouer la comédie. En effet, Manu
avec un copain, Renaud Dartevelle, avait monté la pièce Jacques et son maître de Milan Kundera.
Nous sommes en 1992, Manu a 14 ans et termine sa troisième... Dès le début de la légende, les
hagiographes s’embrouillent et embrouillent tout, comme d’habitude. Ils tombent follement amoureux
en 1993 selon Sylvie Bommel (Et Brigitte créa Macron, Pop Story de mai 2016), se rencontrent « au
milieu des années 1990 » selon Maëlle Brun (« Brigitte Macron. L’Affranchie »), mais Brigitte l’avait
« aperçu » lors d’une remise de prix pour un rapport de stage, en troisième (donc lors du premier
semestre 1992) et le connaissait « surtout de réputation. ‘J’ai dans ma classe un fou qui sait tout sur
tout’, lui a rapporté sa fille Laurence » qui sera dans la même classe que lui... mais en seconde et qui,
comme Manu, participait à l’atelier théâtre de sa « mère ».
Nous sommes donc aux toutes premières heures d’une fabuleuse histoire d’amour transgressive et
déjà on ne dispose d’aucune information fiable sur elles. Rien ne concorde : les dates, les
circonstances, les témoignages... Récapitulons les quelques données « sûres » dont nous disposons
avant de nous engager en terrain encore plus incertain.
Manu fréquente l’école publique jusqu’en CM2. Ecole qui, d’après ses biographes, se trouvait presque
au bout du jardin familial, sûrement beaucoup plus vaste qu’indiqué au cadastre, puisque l’école
primaire Sagebien est à 500 mètres à vol d’oiseau. Pour son entrée en sixième, il intègre ensuite le
collège privé de La Providence sur le conseil - l’injonction ? - de... Manette. Choix d’autant plus
curieux que les deux établissements du secondaire, Sagebien et La Providence, sont - à quelques
dizaines de mètres près - à la même distance du domicile familial. Et la très laïque et « avant-
gardiste » Germaine Arribet a fait toute sa carrière d’enseignante dans le public avant de la terminer
en étant la directrice du collège... Sagebien !
Manu intègre l’établissement jésuite en 1989 et était donc en quatrième quand Brigitte arriva comme
enseignante à La Providence pour la rentrée 1991. Mais, à l’époque selon la légende officielle, elle ne
le rencontra pas, n’entendit jamais parler de la remarquable précocité du petit Mozart de l’écriture
théâtrale, de l’Orson Welles d’Henriville, du Rimbaud en herbe dont les poèmes firent se pâmer
Brigitte, du « fou qui sait tout sur tout »... Apparemment, ce génie protéiforme était alors d’une
discrétion remarquable et ses multiples et éblouissants talents sont brusquement apparus comme par
miracle à la fin de son année de troisième. Les amants transgressifs vont attendre patiemment 1993
pour tomber follement amoureux et se déclarer leur flamme alors que toutes les conditions étaient
réunies dès 1991. Mais, à cette date-là, la légende romantique d’une enseignante succombant au
charme irrésistible de son jeune élève devenait moins évidente à faire avaler et le trop évident
détournement de mineur beaucoup moins facile à dissimuler même sous des tonnes de
publireportages glamour faisant la promotion du transgressif...
Soyons l’avocat du diable jusqu’aux limites de l’invraisemblable et acceptons sans barguigner la
version « officielle ».
Ainsi, selon l’hagiographie canonique, Brigitte officie à La Providence à partir de la rentrée 1991, y
rencontre l’amour fou en 1992/93/milieu des années 1990, y succombe fatalement malgré
l’épouvantable scandale qui ne peut qu’éclater... et quitte tranquillement l’établissement en 2004.
Pour en intégrer un autre, bien plus prestigieux, à Paris où est formé le gratin des futures « zélites »
du pays. Qui a dit que le crime ne payait pas ?
Tous les protagonistes sont apparemment atteints de paralysie et de la maladie d’Alzheimer. Les
époux Macron ne font rien. L’invisible Monsieur Auzière ne fait rien et pousse l’invisibilité jusqu’à
complaisamment disparaître du domicile familial. La Providence, pourtant établissement religieux, ne
fait rien malgré un détournement de mineur avéré dont toute la bonne société d’Amiens est informée.
Elle ne prend pas la moindre mesure, même de « simple précaution » pour protéger de potentielles
victimes : l’atelier théâtre continue, un prédateur sexuel continue d’enseigner aux gosses de la même
bonne société amiénoise que cela ne semble pas s’en inquiéter... La famille Trogneux, pourtant
directement concernée par un tel scandale et notamment Jean-Claude Trogneux (dont la piscine
abritait les amours clandestines de Manu et Brigitte), est aux abonnés absents. La seule à réagir est
Manette - la grand-mère et quasi « mère » de Manu - qui... prend fait et cause pour les amoureux et
les soutient !
Les Macron, en parents « responsables », laissent leur progéniture à La Providence. Françoise est
même admirative de la prof de français de sa fille Estelle, scolarisée en 1995 à La Providence dès sa
sixième, une certaine... Brigitte Auzière ! Les époux Macron attendent stoïquement l’arrivée en
terminale pour évacuer Manu d’Amiens où sa santé morale est gravement en danger, le scandale
retentissant – mais aussi invisible qu’André Louis Auzière.
Et là, comme d’habitude, on a droit à une flopée de versions contradictoires et absurdes. Manu aurait
été « exfiltré » sur Paris par sa grand-mère qui lui aurait acheté un logement pour qu’il fasse sa
terminale à Henri IV. Ses parents étant probablement indigents ou sous tutelle... D’ailleurs, Brigitte
aurait fait jouer ses relations pour le faire admettre à Henri IV. En fait, non, c’est Jean-Michel Macron
si l’on en croit l’enquête du Daily Mail du 26 avril 2017 : « Jean-Michel serait intervenu
personnellement pour demander s’ils accepteraient son fils avec la garantie qu’il soit séparé de Mme
Trogneux »... qui n’enseigna jamais à Henri IV puisqu’en quittant la Providence en 2004 elle intégrera
Saint-Louis-de-Gonzague pour les trente ans de son amoureux de collégien ! Comme tout ça ne tient
pas debout, on change encore de version boiteuse. Selon les Macron : « Nous avions prévu depuis
longtemps que son frère et lui partiraient faire leurs études à Paris. » Jean-Michel est encore plus
affirmatif : « C’est Emmanuel qui a voulu faire sa terminale dans la capitale. C’est lui qui l’a souhaité. »
Sa mère renchérit : « On avait pensé, dès la seconde, le scolariser à Paris. Cette décision n’a pas été
liée à sa liaison avec Brigitte. » Au final, la seconde parisienne « voulue » par ses parents se révèle
être une terminale imposée par Manu avec l’appui de Manette...
L’autre grand absent de cette affaire, - en fait il aura toujours été absent - est André Louis Auzière, le
mari de l’enseignante responsable d’un détournement de mineur par personne ayant autorité et père
de trois enfants au contact permanent d’un prédateur sexuel. L’ouvrage hagiographique Un jeune
homme si parfait le décrit comme affecté à Amiens en 1991... mais cela est contredit par un témoin
« irréfutable » : sa fille Tiphaine Auzière qui explique que son père, travaillant à Lille, ne rentrait que le
week-end à Amiens. Mais pourquoi, s’il est en réalité affecté à Lille, n’y a-t-il pas emménagé ? Il
connait bien la ville et sa périphérie pour y avoir vécu assez longtemps. Pourquoi alors s’installer à
Amiens où il n’a pas de véritables attaches ? Pour Brigitte ? Mais elle pouvait très bien obtenir un
poste d’enseignante dans une école privée sur Lille. A moins que son objectif était d’être embauchée
à La Providence et pas ailleurs... De plus, un mari aussi complaisant qu’invisible résidant en semaine
à Lille lui laissait ainsi le champ libre. Tiré par les cheveux ? En réalité beaucoup moins que
l’existence improbable d’un homme qui ne dit rien, ne fait rien, abandonne son foyer (mais était-ce
vraiment le sien ?), ses enfants, ne divorce que beaucoup plus tard pour permettre à Brigitte de se
remarier... La version « officielle » est tellement absurde qu’elle en devient involontairement comique.
On en revient toujours à la « pierre angulaire » de cette histoire d’amour transgressif qui ressemble de
plus en plus à un vaudeville revu et corrigé par Alfred Jarry : le théâtre ! Le lieu de la fameuse
rencontre, de l’éblouissement, de la fameuse complicité dans l’écriture commune, du coup de foudre
réciproque, de l’amour interdit et impossible qui, finalement, s’impose au monde. Et on comprend
alors enfin que toute l’histoire de l’atelier de théâtre est un mensonge, un paravent destiné à imposer
une œuvre théâtrale romantique totalement invraisemblable : Roméo et Juliette chez les Jésuites
d’Amiens.
Faits & Documents, dans son numéro 499, démontre que le documentaire macroniste La stratégie du
météore, diffusé pour la première fois en novembre 2016, où apparaît le fameux film de leur mythique
« rencontre », celui de la représentation théâtrale au printemps 1993, est une habile manipulation :
Manu et Brigitte n’y apparaissent jamais ensemble !
« En découpant image par image, on observe en effet une coupure (un ‘cut’) entre la séquence où la
troupe salue le public – Emmanuel Macron y est visible mais pas ‘Brigitte’ – et la séquence montrant
‘Brigitte’ monter sur scène – ni Emmanuel Macron, ni les autres comédiens de la séquence
précédente n’y sont présents. Il n’y a donc aucun individu commun aux deux séquences. Et
contrairement à ce que suggère le montage du documentaire, chacun peut convenir que celui qui
embrasse ici ‘Brigitte’ n’est pas Emmanuel Macron. »
Contrairement à Faits & Documents nous ne pensons pas que les « prétendues images de leur
rencontre sont censées faire passer un message subliminal de transparence » : « il n’y a rien à
cacher ». Elles sont là pour imposer, par le biais de l’image manipulée, la version inventée de toutes
pièces d’un amour fou né à l’occasion de cet atelier de théâtre... alors qu’elles dissimulent une réalité
infiniment plus sordide encore.
On peut prendre cette histoire par n’importe quel bout, en suivant la/les version(s) officielle(s) ou les
théories « complotistes », on arrive immanquablement à la seule conclusion possible : le scénario ne
tient pas debout ! L’histoire a été complètement inventée après coup. Les seuls « témoins » du
détournement de mineur découlant du fameux coup de foudre sont les protagonistes eux-mêmes qui
se mettent alors en scène, en valeur, à travers des versions contradictoires qui changent au fil du
temps. L’histoire officielle sert à donner un vernis glamour, à dédouaner - au fil du temps et des récits
complaisants – et à camoufler un détournement de mineur se déroulant sur des années avec l’accord,
la complicité – tacite ou active – des protagonistes et aboutissant, au-delà du viol physique, à un
véritable viol psychique aux conséquences effrayantes.
C’est la seule hypothèse qui permette de résoudre les contradictions, les absurdités du récit imposé ;
qui offre une explication plausible de l’enchaînement des faits et du comportement - autrement
aberrant - des protagonistes ; mais qui aussi amène de nouvelles interrogations et entrouvre la
fameuse porte sur... l'indicible.
Dans un article publié le 25 Juin 2021 et intitulé : « Poix-de-Picardie, Marie-Claire Stubbe se souvient
de la grand-mère d’Emmanuel Macron », Maxime Bouhier apportait, à l’occasion du pèlerinage de
dévotion de Manu sur les traces de Germaine Arribet en Picardie, sa contribution à l’édification de
l’hagiographie de Sainte Manette, la « mère » de « Dieu est parmi nous » :
C’était dans les années 60. Quand Marie-Claire Stubbe a pu échanger avec Germaine Noguès, l’une
des grands-mères de l’actuel président de la République Emmanuel Macron. Elle avait été alors reçue
par celle qui occupait le poste de directrice de l’école élémentaire.
À l’origine de cet entretien, un fait terrible dont se serait bien passée Marie-Claire Stubbe. « Jusqu’à
ses 6 ans, une de ses quatre enfants était scolarisée près de Poix-de-Picardie. Mais son professeur
s’est montré violent à son encontre. Il la battait, car elle avait des marques visibles sur le visage. Et
même, on voyait des taches de sang dans un livre. »
Cette situation insupportable et insoutenable l’a donc poussé à trouver une nouvelle école pour sa
fille. C’est alors que Germaine Noguès est intervenue.
« Je me souviendrai toujours de cette rencontre. Dès qu’on lui a fait part du problème, elle n’a pas
hésité pour accueillir ma fille dans l’établissement. Elle était très chaleureuse. Cela m’a fait chaud au
cœur. J’en serai toujours reconnaissante de ce qu’elle a fait. » [...]
Mais il lui reste un regret. « J’aurai bien aimé la rencontrer à nouveau. Malheureusement, l’occasion
ne s’est jamais présentée. » 24
Malgré une mise en scène journalistique certaine transformant l’anecdote en épisode édifiant de la
légende dorée de Manette, admettons que ce témoignage soit véridique, d’autant qu’il est appuyé par
le nom et la photo de l’intéressée – élément suffisamment rare dans les récits macroniens pour être
souligné. Il n’y a en effet rien a priori qui le mette en doute : un enseignant du primaire se livre à de
véritables voies de faits sur une de ses élèves, laissant des traces sur le visage de l’enfant et de sang
sur un livre... La mère, ne pouvant supporter que sa fille subisse de telles violences, décide de la
changer d’école et se confie à Sainte Manette qui accueille aussitôt avec chaleur l’enfant martyr dans
son établissement salvateur. Fin de la pieuse légende. Et début des interrogations...
A première vue, l’histoire ne pourrait que rehausser encore l’éclat de l’auréole de la sainte laïque et
« avant-gardiste ». À y regarder de plus près, celui-ci pourrait bien être terni par quelques ombres
gênantes. Le récit journalistique est conçu pour exalter le pieux petit-fils à travers la vie édifiante de sa
grand-mère, et il se focalise donc sur ce qu’a fait Manette... mais pas sur ce qu’elle n’a pas fait.
Devant le drame de la petite martyre, la directrice bienveillante et chaleureuse l’a accueillie sans
hésiter ni tarder. Et c’est tout.
Un instituteur se livre sans retenue à des violences inqualifiables sur une de ses jeunes élèves. Elle
pourrait bien ne pas être la seule victime, ni la première ou la dernière. Et les coups qu’elle a reçus
pourraient aussi dissimuler autre chose de pire encore. Accueillir ainsi l’enfant peut également être
interprété comme le moyen le plus simple d’étouffer discrètement le drame... et assurer l’impunité à
son auteur, lui permettre de continuer. Rien dans le récit n’indique que Manette ait fait quoique ce soit
d’autre. Comme conseiller à la mère de déposer plainte, alerter d’urgence la direction de l’école sur le
comportement de l’instituteur, le signaler au rectorat, au procureur... Bref, ce que l’on attendrait d’une
enseignante aussi ouverte, aussi attentive et aussi avant-gardiste devant « un fait terrible », « une
situation insupportable et insoutenable ». Certes, on pourrait n’y voir qu’un réflexe corporatiste visant
à ne pas désavouer, à ne pas dénoncer un collègue, même s’il s’agit d’une faute lourde passible des
tribunaux dont on se rend ainsi complice...
A défaut de faire briller l’auréole de la « sainte », le décryptage de cet épisode permet de mettre en
lumière son comportement ambigu à l’époque et d’éclairer d’un jour nouveau celui qui fut le sien
quand Manu fut scolarisé à La Providence sur son conseil... ou son ordre ?
La récente découverte par Natacha Rey d’une photo de classe de troisième à La Providence pendant
l’année scolaire 1991/1992 montre Manu et... Laurence Auzière, tous deux élèves dans la même
classe !
La présence de ces deux élèves de TROISIEME sur leur photo de classe infirme totalement la version
« officielle » expliquant que la future Première Dame ne connaissait Manu que de réputation grâce à
sa fille Laurence, alors en classe de SECONDE : « J’ai dans ma classe un fou qui sait tout sur tout ».
Tout le narratif des versions précédentes s’effondre une nouvelle fois... Le détournement de mineur
n’a donc pas démarré quand Manu était en seconde mais dès sa troisième en 1991. Ou peut-être
même plus tôt à Amiens - ou ailleurs - ... puisque toute la biographie de « Brigitte » n’est qu’une
immense supercherie.
Selon Natacha Rey : « Les parents de Macron ont témoigné eux-mêmes qu’ils croyaient à l’époque
que leur fils sortait avec Laurence, sa jeune camarade de classe, avant de découvrir avec effroi, qu’il
avait en vérité débuté une liaison avec la « mère » de celle-ci ! Ces derniers voulaient porter plainte,
mais il semble qu’ils en aient été dissuadés et que le scandale a été étouffé au sein de cette institution
privée catholique et jésuite. »
L’apparition de Laurence Auzière dans la classe de Manu outre qu’elle démolit la version de
« Maman » permet aussi d’avancer l’hypothèse plus que probable que « Brigitte » utilisait sa fille (et ses autres enfants) comme appât, diversion et couverture, entre autre...
Poussons la complaisance jusqu’à admettre la fable qui voudrait qu’ils aient été dissuadés de porter
plainte et que le scandale ait été étouffé par l’établissement. Ce qui fait ipso facto des Macron et des
dirigeants jésuites de La Providence les complices actifs d’une pédocriminelle coupable du délit
d’atteinte sexuelle sur mineur de 15 ans avec circonstances aggravantes définis aux articles 227-25 et
227-26 du Code pénal... En fait, la liste des contrevenants est loin d’être complète puisqu’il nous faut
y inclure André Louis Auzière qui, en plus, abandonne le domicile conjugal et ses trois enfants aux
griffes d’une pédocriminelle !
Plus prosaïquement, Brigitte et Manu s’ébattaient dans la piscine privée de la résidence familiale de
Jean-Claude Trogneux. Selon le témoignage – « irréfutable » - de Brigitte, son frère Jean-Michel
Trogneux lui avait enjoint de rompre et de faire cesser ce scandale.
On ne peut pas dire que cette nouvelle version soit sans risques pour tout ce petit monde sachant
que, selon l'article 706-47 du Code de procédure pénale, l'action publique des crimes commis sur des
mineurs se prescrit par trente années révolues à compter de la majorité des victimes. L’épée de
Damoclès de la Justice aveugle peut leur tomber dessus jusqu’au 21 décembre 2025...
Poussons l’absurde dans ses derniers retranchements et admettons que les responsables de La
Providence tiennent absolument à étouffer un pareil scandale au mépris de la morale catholique et de
la loi républicaine. Mais pourquoi alors garder Brigitte comme enseignante jusqu’à son lointain départ
pour un autre établissement jésuite à Paris en 2004 ? Surtout que l’enseignante pédocriminelle a
continué sa liaison avec un Manu pendant des années et pouvait récidiver à tout moment avec
d’autres élèves des deux sexes... Ce qui représentait un danger énorme et incontrôlable pour eux...
d’autant que tout le monde était au courant selon les biographes attitrés du couple présidentiel. On
veut bien croire à l’efficience de la prière, mais il y a tout de même des limites aux miracles.
Admettons même que les Trogneux, soucieux de protéger leur réputation et leurs affaires, veuillent
également étouffer le scandale quitte à étouffer aussi leur conscience. Les admonestations
« fraternelles » de Jean-Michel ont été - sans surprise - un fiasco total. D’autres éventuelles
sollicitations, incitations, pressions de leur part pour que Brigitte quitte Amiens ou au moins La
Providence n’ont pas davantage été couronnées de succès si l’on exclut la disparition d’André Louis
Auzière, mais comme il n’existait déjà pas avant... Aussi adeptes du Credo et de la méthode Coué
que les Jésuites de La Providence, ils se contentent donc de croiser les doigts et serrer les fesses
pendant une douzaine d’années jusqu’à son départ pour Paris...
Admettons également que dans un – très long puisqu’il se prolonge encore – moment d’égarement les
époux Macron aient cédé à la pression pour ne pas déposer plainte. Mais quels arguments
« irrésistibles » avaient donc La Providence et/ou les Trogneux pour que des parents aimants y
sacrifie la santé morale et physique de leur fils ? Eviter un scandale public ne justifie en rien une
pareille inertie qui frise la stupidité... ou percute la complicité. Pourquoi ne pas avoir mis La
Providence en demeure de se séparer au plus vite de Brigitte, aviser André Louis Auzière du
comportement criminel de son épouse et des risques sur sa propre progéniture ? Malgré tout, même à
minima, rien n’empêchaient les Macron, pour protéger leurs trois enfants, de les retirer d’un pareil
établissement favorisant la pédocriminalité. D’autant que le collège Sagebien et les lycées Louis
Thuillier et Edouard Branly, à quelques pas de là, pouvaient les accueillir... Et que Manette, directrice
du collège Sagebien jusqu’à sa retraite, pouvait très bien les conseiller utilement. Sauf que...
Elle aussi - et pour les mêmes raisons - tombe sous le coup des mêmes articles 227-25 et 227-26 du
Code pénal... mais en aggravant encore son cas ! Non contente de ne pas sermonner vertement sa
fille et son gendre, de ne pas dénoncer les crimes de Brigitte ainsi que la complicité de La Providence,
elle a systématiquement soutenu Manu et Brigitte ! L’auréole de la sainte prend désormais des teintes
crépusculaires, et ce n’est là que le début du passage vers le côté obscur...
Nous nous trouvons maintenant devant le cœur de l’énigme : pourquoi ont-ils TOUS accepté ainsi
l’inacceptable au point de s’en faire les complices ? Quel pacte les liait entre eux ? Personne n’a
dénoncé les crimes de Jean-Michel/Brigitte. Personne n’a même tenté de l’empêcher d’agir. Personne
n’a cherché à protéger ses victimes.
Il n’y a qu’une seule explication logique à un tel comportement collectif pendant des décennies :
TOUS étaient coupables des mêmes agissements, et dénoncer l’UN d’entre eux revenait à TOUS se
dénoncer ! Refuser cette évidence revient à se retrouver devant les agissements absurdes d’individus
– et même d’institutions – mentant en permanence sur des pans entiers de leur existence, niant des
évidences, accumulant les incohérences et les contradictions pour rien : un complot idiot de fous
innocents...
Il n’y a pas de complot idiot de fous innocents mais un Pacte occulte d’individus profondément pervers
œuvrant dans un but bien précis, même si nombre d’entre eux n’en ont même pas conscience. Un
Pacte reposant sur le mensonge, la dissimulation car devant occulter, protéger la Subversion.
Subversion entendu ici au sens métaphysique du terme comme l’inversion de toutes les valeurs pour
mieux les nier, les annihiler.
Il nous faut revenir une fois encore – jusqu’à la nausée – sur le mythique coup de foudre à l’atelier
théâtre. Il est la pierre angulaire du conte de fées des deux amants rejetés, ostracisés, s’aimant contre
vents et marées pour finalement imposer leur couple hors normes malgré des conventions sociales
obsolètes. En réalité, nous n’avons QUE les versions successives, contradictoires et très
complaisantes des protagonistes eux-mêmes et rien d’autre. Pas le moindre dépôt de plainte, pas de
procès-verbal d’enquête, pas le plus petit article de journal de l’époque, pas de témoignages
crédibles, de documents irréfutables corroborant un tant soit peu leurs récits complaisants à géométrie
très variable... rien qu’un narratif soigneusement brodé par des communicants et mis en musique par
l’agence Mimi Maquerelle Marchand. Bref, un roman mais tout sauf du réel.
Faits & Documents et d’autres chercheurs ont largement documenté cet incroyable montage servant
d’abord à minimiser les faits, à nier tout ce qui pouvait heurter les consciences, puis ensuite à justifier
un amour hors normes, avant finalement d’encenser une union faisant fi de la différence d’âge. Tout
cela étant conçu pour évacuer discrètement l’énorme différence d’âge et la question de l’atteinte
sexuelle sur mineur de 13 ans au nom de la modernité, de l’évolution des mœurs ; et, cerise pourrie
sur le gâteau empoisonné, faire ainsi avancer l’agenda de l’acceptation de la pédophilie et des autres
déviances sexuelles du même acabit.
Mais ce narratif a une autre fonction – bien plus essentielle encore ! – qui est d’occulter
soigneusement la nature pédocriminelle des agissements de Brigitte... et surtout leur raison d’être.
On se focalise délibérément sur un amour que l’on présente comme hors normes entre deux êtres
forcément consentants, puisque complaisamment décrits comme mus par un pur amour irrépressible ;
et cela sans jamais avancer la moindre preuve. On a ainsi progressivement gommé ce qui n’est en
définitive qu’une atteinte sexuelle sordide sur un mineur. Mais surtout, en braquant les projecteurs sur
le SEUL couple d’amoureux, on a habilement occulté toute référence aux AUTRES VICTIMES
d’atteinte sexuelle ! Les enfants Auzière, les autres mineurs de la parentèle, les autres élèves de La
Providence. Bref, toutes les autres proies possibles que l’on a ainsi soigneusement exclues du récit
mythique...
Il n’y a plus que la merveilleuse histoire d’amour romantique à la guimauve de Manu et Brigitte, tout le
reste a été évacué. Ils en sont – en même temps – les acteurs, les témoins et la seule source... Tout
ce qui se rapporte au sexe a disparu. Surtout le sordide, le glauque, tout ce qui pourrait faire référence
à des gosses considérés et utilisés comme des esclaves sexuels et pire encore. Nous sommes, une
fois encore, dans la grande Iellusion !
Selon la version officielle « Brigitte Auzière » a trois enfants : Sébastien né en 1975, Laurence de
1977 et du même âge que Manu puisqu’ils étaient dans la même classe de troisième à La Providence,
et Tiphaine la cadette née en 1984. Le Ministère de la Vérité nous demande de gober pieusement la
fable absurde voulant que les trois enfants Auzière se sont - sans retard et sans problème de
conscience - rangés du côté de Brigitte et de son amant... qui était aussi leur camarade d’école.
Parce que c’était « un fou qui sait tout sur tout » selon Laurence ? Ou parce que le trio a été subjugué
par son interprétation magistrale du rôle de l’épouvantail dans la légendaire représentation théâtrale
qui sert de clé de voûte à tout le branlant échafaudage propagandiste ? A moins que leur père –
« charmant » au demeurant – ne rendait pas heureuse leur mère selon l’hagiographe Anne Fulda,
dans son ouvrage Emmanuel Macron, un jeune homme si parfait et que ce brave petit Manu était
heureusement là pour la combler ?
Brigitte connait Manu depuis au moins la rentrée 1991 (sa fille Laurence est dans la même classe que
lui). Admettons même, qu’atteinte de troubles visuels et d’une mémoire défaillante, Brigitte n’ait pris
conscience de l’existence de l’enfant, euh... de l’homme de sa vie qu’à la fin du printemps 1993.
Manu a alors 15 ans et demi, Laurence pas davantage, Sébastien deux ans de plus, et Tiphaine à 9
ans est toujours à l’école primaire... Admettons toujours que Sébastien, un adolescent de 17 ans,
trouve parfaitement normal qu’un garçon de 15 ans couche avec sa mère ; que Laurence, par
solidarité générationnelle, trouve très « cool » que l’amant de maman soit un copain de classe ; et que
Tiphaine trouve pratique qu’entre deux séances de calinothérapie avec Brigitte sur le canapé du salon
Manu l’aide gentiment à faire ses devoirs...
Sauf que, même en admettant la chronologie la plus favorable, le bon sens le plus élémentaire met
encore plus à mal cette belle histoire. C’est d’ailleurs Tiphaine, porte-parole officiel de Brigitte pour
tout ce qui touche à la famille Auzière, qui la dynamite involontairement dans une hagiographie dont le
titre est déjà en soi un aveu : Brigitte Macron, un roman français. Elle y avoue ingénument que :
« Mon papa travaillait à Lille, il revenait le week-end. La semaine, j’étais avec ma mère et le week-end
avec mon papa et maman allait voir Emmanuel. » Cet irréfutable témoignage de première main
bousille complètement la légende officielle qui veut qu’André-Louis Auzière - muté à Amiens mais
travaillant toute la semaine à Lille - apprend son infortune par la rumeur publique qui n’a laissé aucune
trace tangible : « Et ce qui devait arriver... arriva. Les rumeurs sifflent aux oreilles d'André-Louis
Auzière. Un coup de massue pour le mari, banquier de profession ! Déshonoré - que dis-je - bafoué, il
claque la porte ! ‘Il a aussitôt quitté le domicile conjugal. Il a également perdu les connexions, la
réputation, et l'argent que son mariage avec Brigitte lui offrait’, révèle le Daily Mail. »27 Non contente
de pouvoir cocufier son banquier de mari toute la semaine avec la complicité de ses enfants, le week-
end Brigitte sort ostensiblement retrouver son amant... et laisse la petite dernière aux bons soins de
l’époux bafoué... et très complaisant. Qui prend donc tout son temps pour claquer la porte et divorcer
seulement en 2006. La Banque est une maîtresse prenante, ce n’est pas Manu, ex-employé chez
Rothschild, qui dira le contraire.

Translation:

[...] to further clarify the situation, let's play devil's advocate.
Let's admit that Jean-Michel and Brigitte Trogneux are not one and the same person, but the
two children, one born in 1945 and the other born in 1953, of Jean Trogneux and Simone Pujol.
Let us also admit the marriage of Brigitte in 1974 with the banker André Louis Auzière and the three
children who will be born of this quiet union broken by an "incredible" love story as crazy
as transgressive.
In the same way, let us admit that Jean-Michel is an ordinary man with a very calm sentimental life and a very
and a very self-effacing existence. Married only once to Véronique Dreux, from whom he had two children, divorced,
without known mistresses or companions. A man withdrawn from business, from the world, from his family.
And let's admit that the relations between the son, the daughter-in-law and the mother-in-law are now
perfectly peaceful, to the point of fusion between Manu and his mother, and that Françoise and Brigitte
are now two good friends who often have lunch together, who are so friendly that they laugh together and have the same affections.
together and to have the same affinities...
Let us also admit that all these soothing declarations of the ones and the others on the good relations
within these recomposed families - and also decomposed - owe much more to a campaign of
supervised by Mimi Maquerelle Marchand for the next presidential election than to the reality of their
reality of their real "family" relationships.
Let us simply admit the - or rather the - successive and shaky official versions...
because they are successive and contradictory. And let us go back in time to the beginning of this incredible
love story which is finally the "cornerstone" of the whole Trogneux-Macron case.
Officially (that is to say, by trying to make a more or less plausible synthesis of the contradictory versions) everything begins with the
contradictory versions) everything begins with the dazzlement of a French teacher, Brigitte Auzière, née Trogneux
Trogneux, animator of a theater workshop, who is enthusiastic about the brilliant talent of a young
schoolboy, Emmanuel Macron, for the only thing he knows how to do: act. Indeed, Manu
with a friend, Renaud Dartevelle, had staged the play Jacques et son maître by Milan Kundera.
We are in 1992, Manu is 14 years old and finishes his third year... From the beginning of the legend, the
hagiographers get confused and confuse everything, as usual. They fall madly in love
in 1993 according to Sylvie Bommel (Et Brigitte créa Macron, Pop Story of May 2016), they met "in the mid-1990s" according to Maële
the mid-1990s" according to Maëlle Brun ("Brigitte Macron. L'Affranchie"), but Brigitte had "seen" him at a
Brigitte had "seen" him at an award ceremony for an internship report in the ninth grade (i.e., during the first semester of 1992) and knew him "well.
semester 1992) and knew him "mostly by reputation. I have a madman in my class who knows everything about
I have a madman in my class who knows everything about everything,' his daughter Laurence told him, 'who will be in the same class as him... but in the second year and who, who, like Manu, participated in her "mother's" theater workshop.
We are thus at the very first hours of a fabulous story of transgressive love and
already we do not have any reliable information on them. Nothing agrees: the dates, the circumstances
circumstances, the testimonies... Let us summarize the few "sure" data we have
before entering into even more uncertain terrain.
Manu attended public school until the fifth grade. School which, according to his biographers, was almost
at the end of the family garden, surely much larger than indicated in the cadastre, since the
Sagebien primary school is 500 meters away as the crow flies. For his entry into the sixth grade, he then joined the
private college of La Providence on the advice - the injunction? - of... Manette. A choice that is all the more
the two secondary schools, Sagebien and La Providence, are - at a few dozen meters - at the same
the same distance from the family home. And the very secular and "avant-garde
Germaine Arribet spent her entire teaching career in the public sector before ending it as principal of the
by being the director of the college... Sagebien!
Manu joined the Jesuit school in 1989 and was in the fourth grade when Brigitte arrived as a
teacher at La Providence for the beginning of the 1991 school year. But, at the time, according to the official legend, she did not meet him, did not
never heard of the remarkable precocity of the little Mozart of theatrical writing, of the
theatrical writing, the Orson Welles of Henriville, the budding Rimbaud whose poems made Brigitte swoon, the "madman who
Brigitte, the "madman who knows everything about everything"... Apparently, this protean genius was then of a remarkable
and his multiple and dazzling talents suddenly appeared as if by miracle at the end of his
his multiple and dazzling talents suddenly appeared as if by a miracle at the end of his ninth grade year. The transgressive lovers will wait patiently until 1993 to fall madly in love and to declare their flame whereas all the conditions were
met since 1991. But, at this date, the romantic legend of a teacher succumbing to the
irresistible charm of her young pupil became less obvious to swallow and the too obvious
less easy to hide even under tons of glamorous infomercials making the
glamorous infomercials promoting the transgressive...
Let's play the devil's advocate to the limit of the unbelievable and accept the
official" version.
Thus, according to the canonical hagiography, Brigitte officiates at La Providence from the beginning of the 1991 school year, meets her
in 1992/93/mid-1990s, fatally falls in love with it despite the appalling
the dreadful scandal that is bound to erupt... and quietly leaves the establishment in 2004.
To integrate another, much more prestigious, in Paris where is formed the top of the future "zelites" of the country.
of the country. Who said that crime does not pay?
All the protagonists are apparently suffering from paralysis and Alzheimer's disease. The
Macron's couple do nothing. The invisible Mr. Auzière does nothing and pushes invisibility to the point of
disappearing from the family home. La Providence, however a religious establishment, does nothing
does nothing in spite of a proven misappropriation of minors of which the whole good society of Amiens is informed.
It does not take the slightest measure, even of "simple precaution" to protect potential
victims: the theater workshop continues, a sexual predator continues to teach the kids of the same Amiens
good society of Amiens that it does not seem to worry about it... The Trogneux family, however
directly concerned by such a scandal and in particular Jean-Claude Trogneux (whose swimming pool
the pool of which sheltered the clandestine love affairs of Manu and Brigitte), is absent. The only one to react is
Manette - the grandmother and quasi "mother" of Manu - who... takes up the cause for the lovers and
supports them!
The Macrons, as "responsible" parents, leave their offspring at La Providence. Françoise is even
even admires the French teacher of her daughter Estelle, who was enrolled in 1995 at La Providence from the age of six, a certain
sixth grade, a certain... Brigitte Auzière! The Macron couple stoically waits for the arrival in
to evacuate Manu from Amiens where his moral health is in serious danger, the scandal
resounding - but as invisible as André Louis Auzière.
And there, as usual, we are entitled to a flurry of contradictory and absurd versions. Manu would have
been "exfiltrated" to Paris by his grandmother who bought him an apartment so that he could do his final year at Henri IV. His parents were probably indigent or under guardianship... Moreover, Brigitte
would have used her connections to get him admitted to Henri IV. In fact, no, it is Jean-Michel Macron
if we are to believe the Daily Mail investigation of April 26, 2017: "Jean-Michel would have intervened
personally to ask if they would accept his son with the guarantee that he would be separated from Mme
Trogneux" ... who never taught at Henri IV since when she left Providence in 2004 she integrated
Saint-Louis-de-Gonzague for the thirty years of her schoolboy lover! As all this does not make sense
Since all this doesn't add up, we change again the lame version. According to the Macrons: "We had planned for a long time
that he and his brother would leave to study in Paris.
Jean-Michel is even more affirmative: "It was Emmanuel who wanted to do his final year in the capital. It was his wish.
His mother adds: "We had thought, from the second year of high school, to send him to Paris.
This decision was not linked to his affair with Brigitte. In the end, the Parisian second year "wanted" by his parents turned out to be a final year imposed by Manu with the support of Manette...
The other great absentee of this affair - in fact he has always been absent - is André Louis Auzière, the husband of the teacher in charge of
husband of the teacher responsible for the misappropriation of a minor by a person in authority and father of three
of three children in permanent contact with a sexual predator. The hagiographic work Un jeune homme si parfait
perfect young man describes him as having been assigned to Amiens in 1991... but this is contradicted by an "irrefutable" witness
but this is contradicted by an "irrefutable" witness: his daughter Tiphaine Auzière who explains that her father, working in Lille, only came back to Amiens on weekends to Amiens. But why, if he was actually assigned to Lille, did he not move there? He
knows the city and its suburbs well, having lived there for a long time. So why did he move to
Amiens where he has no real ties? For Brigitte? But she could very well get a teaching job in a
teaching position in a private school in Lille. Unless her objective was to be hired
at La Providence and not elsewhere... Moreover, a husband as complaisant as he was invisible, living during the week in Lille
in Lille left the field free for her. Far-fetched? In reality, much less than the unlikely existence of
the improbable existence of a man who says nothing, does nothing, abandons his home (but was it really his?)
his home (but was it really his?), his children, and only divorced much later to allow Brigitte to
remarry... The "official" version is so absurd that it becomes involuntarily comical.
We always come back to the "cornerstone" of this story of transgressive love that looks more and more like a vaudeville
more and more like a vaudeville revised and corrected by Alfred Jarry: the theater! The place of the famous
meeting, of the dazzling, of the famous complicity in the common writing, of the love at first sight
of the forbidden and impossible love which, finally, imposes itself to the world. And we understand
that the whole story of the theater workshop is a lie, a screen intended to impose a romantic theatrical work
a romantic theatrical work that is totally implausible: Romeo and Juliet at the Jesuits
of Amiens.
Facts & Documents, in its issue 499, demonstrates that the Macronist documentary La stratégie du
meteor, broadcast for the first time in November 2016, in which appears the famous film of their mythical
"meeting", that of the theatrical performance in the spring of 1993, is a clever manipulation:
Manu and Brigitte never appear there together!
"By cutting frame by frame, we observe a cut between the sequence where the troupe greets the public - Emmanuel and Brigitte - and the sequence where they meet.
the audience - Emmanuel Macron is visible but not 'Brigitte' - and the sequence showing 'Brigitte' going on stage - Emmanuel
Brigitte' coming on stage - neither Emmanuel Macron, nor the other actors from the previous sequence are
present. So there is no common individual in the two sequences. And
contrary to what the editing of the documentary suggests, everyone can agree that the one who
is not Emmanuel Macron.
Unlike Facts & Documents we do not believe that the "alleged images of their
meeting are meant to convey a subliminal message of transparency": "there is nothing to
to hide". They are there to impose, by the means of the manipulated image, the invented version of
a mad love born on the occasion of this workshop of theater... while they dissimulate a reality
infinitely more sordid still.
We can take this story by any means, following the official version(s) or the "conspiracy" theories, one arrives inevitably at the only possible conclusion: the scenario does not
hold up! The story has been completely invented after the fact. The only "witnesses" of the
misappropriation of minors resulting from the famous love at first sight are the protagonists themselves, who
then put themselves on stage, in value, through contradictory versions that change over time.
The official story serves to give a glamorous varnish, to clear - over time and through complacent
The official story serves to give a glamorous veneer, to clear one's name - over time and through complacent accounts - and to camouflage a misappropriation of minors that took place over many years with the agreement of the authorities,
the complicity - tacit or active - of the protagonists and leading, beyond the physical rape, to a
psychological rape with frightening consequences.
This is the only hypothesis that allows us to resolve the contradictions and absurdities of the imposed story;
which offers a plausible explanation of the sequence of events and the behavior - otherwise
aberrant - of the protagonists; but which also brings new interrogations and opens the famous door on
door to the unspeakable.

In an article published on June 25, 2021 and entitled: "Poix-de-Picardie, Marie-Claire Stubbe remembers
of Emmanuel Macron's grandmother", Maxime Bouhier brought, on the occasion of Manu's pilgrimage in the footsteps of Germaine Arribet in Picardy, his contribution to the edification of
the hagiography of Saint Manette, the "mother" of "God is among us":
It was in the 1960s. When Marie-Claire Stubbe was able to talk with Germaine Noguès, one of the grandmothers of the
current President of the Republic, Emmanuel Macron. She had been received by the one who was the principal of the elementary school.
At the origin of this interview, a terrible fact that Marie-Claire Stubbe would have done well without. "Until she was
6 years old, one of her four children went to school near Poix-de-Picardie. But her teacher
was violent towards her. He beat her because she had visible marks on her face.
And even bloodstains could be seen in a book.
This unbearable and unsustainable situation led him to find a new school for his
daughter. That's when Germaine Noguès stepped in.
"I will always remember that meeting. As soon as we told her about the problem, she didn't hesitate to
welcome my daughter in the establishment. She was very warm. It warmed my heart.
I will always be grateful for what she did." [...]
But she still has one regret. "I would have loved to meet her again. Unfortunately, the opportunity never came.
never presented itself." 24
In spite of a certain journalistic staging that transforms the anecdote into an edifying episode
of the golden legend of Manette, let us admit that this testimony is true, especially since it is supported by
the name and the photo of the interested party - an element rare enough in the Macronian accounts to be
underlined. Indeed, there is nothing a priori to cast doubt on it: a primary school teacher engages in
assault on one of his students, leaving marks on the child's face and blood on a book.
The mother, unable to bear that her daughter undergoes such violence, decides to change school and confides in Saint Manette who immediately welcomes the martyred child with warmth in her
saving establishment. End of the pious legend. And the questions begin...
At first sight, the story could only enhance the brightness of the halo of the lay saint and
"avant-garde". On closer inspection, however, it could well be tarnished by a few
embarrassing shadows. The journalistic account is designed to exalt the pious grandson through the uplifting life of his
grandmother, and so it focuses on what Manette did... but not on what she didn't do.
Faced with the drama of the little martyr, the warm and caring principal welcomed her without
hesitation or delay. And that's all.
A teacher indulges without restraint in unspeakable violence on one of his young pupils. She
may not be the only victim, nor the first or the last. And the beating she received
could also be a cover for something even worse. Welcoming the child in this way can also be interpreted as the
easiest way to discreetly cover up the tragedy... and ensure impunity for the perpetrator, allowing him to continue.
Nothing in the story indicates that Manette has done anything
else. Such as advising the mother to file a complaint, urgently alerting the school administration to the
teacher's behavior, report it to the rectorat, to the prosecutor... In short, what one would expect from a teacher
so open, so attentive and so avant-garde in front of "a terrible fact", "an
unbearable and unbearable situation". Certainly, one could see in it only a corporatist reflex aiming at
not to disown, not to denounce a colleague, even if it is a serious fault punishable by the courts
which makes one an accomplice...
Although the halo of the "saint" does not shine, the deciphering of this episode allows us to highlight her ambiguous
behavior at the time and to shed new light on her behavior when Manu was
educated at La Providence on her advice... or her order?
The recent discovery by Natacha Rey of a photo of a ninth grade class at La Providence during the 1991/1992 school year
shows Manu and... Laurence Auzière, both students in the same class!
The presence of these two students of THIRD grade on their class photo totally invalidates the "official" version explaining that the future
First Lady only knew Manu by reputation thanks to her daughter
Laurence, then in SECOND grade: "I have a madman in my class who knows everything about everything".
The whole narrative of the previous versions collapses once again... The hijacking
didn't start when Manu was in second grade, but in 1991 when he was in third grade. Or maybe even
even earlier in Amiens - or elsewhere - ... since the whole biography of "Brigitte" is only a immense deception.

According to Natacha Rey: "Macron's parents themselves testified that they believed at the time
that their son was dating Laurence, his young classmate, before discovering with horror, that he
had in fact started an affair with her "mother"! The latter wanted to make a complaint,
but it seems that they were dissuaded and that the scandal was hushed up within this private Catholic and Jesuit institution.

The appearance of Laurence Auzière in Manu's class not only demolishes the version of "Mom" but also allows us to put forward the more than probable hypothesis that "Brigitte" was using her daughter (and her other children) as bait, diversion and cover, among other things...

Let's push the complacency to the point of admitting the fable that they were dissuaded from filing a complaint and that the scandal was
suppressed by the establishment. This makes ipso facto the Macrons and the
Jesuit leaders of La Providence the active accomplices of a pedocriminal guilty of the crime of
sexual attack on a minor of 15 years with aggravating circumstances defined in articles 227-25 and
227-26 of the Penal Code... In fact, the list of offenders is far from being complete since we have to
include André Louis Auzière who, in addition, abandons the marital home and his three children to the clutches of a
pedocriminal!

More prosaically, Brigitte and Manu were frolicking in the private swimming pool of the family residence of
Jean-Claude Trogneux. According to the testimony - "irrefutable" - of Brigitte, her brother Jean-Michel
Trogneux had instructed him to break up and stop this scandal.
We can not say that this new version is without risk for all this little world knowing
that, according to article 706-47 of the Code of Criminal Procedure, public action for crimes committed against minors
is prescribed by thirty years from the age of majority of the victims. The sword of
Damocles of the blind Justice can fall on them until December 21, 2025...
Let's push the absurdity to the limit and admit that the people in charge of La
Providence absolutely want to stifle such a scandal in defiance of Catholic morality and
the republican law. But why then keep Brigitte as a teacher until she leaves for another
Jesuit establishment in Paris in 2004? Especially since the pedocriminal teacher
continued her affair with a Manu for years and could reoffend at any time with other
students of both sexes... This represented an enormous and uncontrollable danger for them...
especially since everyone knew about it according to the biographers of the presidential couple. We
want to believe in the efficiency of prayer, but there are limits to miracles.
Let's even admit that the Trogneux, anxious to protect their reputation and their business,
also want to stifle the scandal even if it means stifling their conscience. The "fraternal" admonitions
"of Jean-Michel were - not surprisingly - a total fiasco. Other possible
solicitations, incitements, pressure on their part so that Brigitte leaves Amiens or at least La Providence were not
successful either, if we exclude the disappearance of André Louis
Auzière, but as he did not exist before... As adept at the Credo and the Coué method
as the Jesuits of La Providence, they were content to cross their fingers and shake their asses
for a dozen years until his departure for Paris...
Let us also admit that in a - very long since it is still prolonged - moment of distraction the
Macron gave in to the pressure not to file a complaint. But what
"irresistible" arguments did Providence and/or the Trogneux have so that loving parents
sacrifice the moral and physical health of their son? Avoiding a public scandal does not justify in any way such
inertia which borders on stupidity... or complicity. Why didn't they put La
Providence to separate from Brigitte as soon as possible, to inform André Louis Auzière of the criminal
behavior of his wife and the risks for his own offspring? In spite of everything, even at
the Macrons, in order to protect their three children, to remove them from such an
establishment that promotes pedocriminality. Especially since the Sagebien college and the Louis
Thuillier and Edouard Branly high schools, a few steps away, could accommodate them... And that Manette, director
of the Sagebien college until her retirement, could very well advise them usefully.
Except that...
She too - and for the same reasons - falls under the same articles 227-25 and 227-26 of the
Penal Code... but with an even worse case! Not content with not lecturing her daughter and son-in-law
daughter and her son-in-law, of not denouncing Brigitte's crimes and the complicity of La Providence,
she systematically supported Manu and Brigitte! The halo of the saint takes henceforth tints
and this is only the beginning of the passage to the dark side...
We are now faced with the heart of the enigma: why have they ALL accepted the unacceptable to the point of
the unacceptable to the point of becoming accomplices? What pact bound them together? No one has
denounced the crimes of Jean-Michel/Brigitte. No one even tried to prevent him from acting. Nobody
tried to protect his victims.
There is only one logical explanation for such collective behavior for decades:
ALL of them were guilty of the same actions, and denouncing ONE of them meant that ALL of them were
denounce themselves! To refuse this evidence is to find oneself faced with the absurd actions of individuals
- and even institutions - permanently lying about whole parts of their existence, denying the obvious, accumulating
inconsistencies and contradictions for nothing: an idiotic conspiracy of innocent fools...
There is no idiotic conspiracy of innocent fools, but an occult pact of deeply perverse individuals
working for a specific purpose, even if many of them are not even aware of it. A
pact based on lies and dissimulation, because it has to hide and protect Subversion.
Subversion understood here in the metaphysical sense of the term as the inversion of all values to
better to deny them, to annihilate them.
We have to come back once again - to the point of nausea - to the mythical love at first sight at the workshop
theater. It is the cornerstone of the fairy tale of the two rejected and ostracized lovers, loving each other against all odds
to finally impose their unusual couple despite obsolete social conventions.
obsolete social conventions. In reality, we have ONLY the successive, contradictory and very complacent versions of the
protagonists themselves and nothing else. Not the slightest complaint, not the
investigation, not the smallest newspaper article of the time, no credible testimony, no irrefutable
credible testimonies, irrefutable documents corroborating in the slightest their complacent accounts of
nothing but a narrative carefully embroidered by communicators and set to music by the
the Mimi Maquerelle Marchand agency. In short, a novel but anything but real.

Faits & Documents and other researchers have extensively documented this incredible montage serving
first to minimize the facts, to deny all that could offend the consciences, then to justify
a love out of the ordinary, before finally praising a union that ignored the age difference. All
designed to discreetly evacuate the enormous difference in age and the question of the sexual
under 13 years old in the name of modernity, of the evolution of morals; and, rotten cherry on the poisoned cake
to advance the agenda of the acceptance of pedophilia and other sexual
deviances of the same ilk.
But this narrative has another function - a much more essential one! - which is to carefully obscure
the pedocriminal nature of Brigitte's actions... and more importantly, the reason for them.

We deliberately focus on a love that is presented as out of the ordinary between two people
necessarily consenting, since they are complacently described as driven by a pure irrepressible love;
and this without ever putting forward the slightest proof. One thus gradually erased what is in
ultimately a sordid sexual attack on a minor. But above all, by putting the spotlight on
the ONLY couple in love, any reference to the OTHER VICTIMS of sexual assault has been skilfully
suppressed! The Auzière children, the other minors of the family, the other students of La
Providence. In short, all the other possible preys that have been carefully excluded from the
mythical story...
There is only the marvelous romantic love story of Manu and Brigitte,
everything else has been evacuated. They are - at the same time - the actors, the witnesses and the only source... All
everything related to sex has disappeared. Especially the sordid, the gloomy, everything that could refer to
kids considered and used as sex slaves and worse. We are, once again in the great illusion!

According to the official version "Brigitte Auzière" has three children: Sébastien born in 1975, Laurence in
1977 and of the same age as Manu since they were in the same class of third at La Providence,
and Tiphaine the youngest born in 1984. The Ministry of Truth asks us to piously swallow the absurd
fable that the three Auzière children have - without delay and without any problem of
conscience - sided with Brigitte and her lover... who was also their schoolmate.
Because he was "a madman who knows everything about everything" according to Laurence? Or because the trio was subjugated
by his masterful interpretation of the role of the scarecrow in the legendary theatrical performance
that serves as the keystone of the whole shaky propaganda scaffolding?
Unless their father - "charming" by the way - did not make their mother happy, according to the hagiographer Anne Fulda,
in her book Emmanuel Macron, un jeune homme si parfait and that this brave little Manu was
fortunately there to make her happy?
Brigitte has known Manu since at least the beginning of the 1991 school year (her daughter Laurence is in the same class as
with him). Let's even admit that, suffering from visual problems and a failing memory, Brigitte did not become aware of the existence of Manu.
aware of the existence of the child, er... of the man of her life only at the end of spring 1993.
Manu was then 15 and a half, Laurence no more, Sébastien two years older, and Tiphaine at 9
is still in elementary school... Let's always admit that Sébastien, a 17 year old
finds it perfectly normal for a 15-year-old boy to sleep with his mother; that Laurence, out of generational
Laurence, out of generational solidarity, finds it very "cool" that Mom's lover is a classmate; and that
Tiphaine finds it convenient that between two sessions of cuddling with Brigitte on the living room sofa
Manu kindly helps her with her homework...
Except that, even admitting the most favorable chronology, the most elementary common sense puts
this beautiful story even more. Moreover, it is Tiphaine, Brigitte's official spokesperson for
the Auzière family, who unwittingly blows it up in a hagiography whose title is already a confession: Brigitte Macron, a French novel. She admits ingenuously that:
"My dad worked in Lille, he came back on weekends. During the week, I was with my mother and on weekends
with my dad and mom went to see Emmanuel. This irrefutable first-hand testimony
completely undermines the official legend that André-Louis Auzière - transferred to Amiens but
working all week in Lille - learned of his misfortune through public rumor, which left no tangible trace
And what had to happen... happened. The rumours were whistling in André-Louis
Auzière. A crushing blow for the husband, a banker by profession! Disgraced - what shall I say - scorned, he
slams the door! He immediately left the marital home. He also lost the connections, the reputation, and the money that his
reputation, and the money that his marriage to Brigitte offered him,' reveals the Daily Mail. "27 Not content with
to be able to cuckold her banker husband all week with the complicity of his children, at weekends Brigitte
ostensibly goes out to meet her lover... and leaves her youngest child in the care of
the scorned husband... and very complaisant. Who thus takes all his time to slam the door and divorce
only in 2006. The bank is a very demanding mistress, and it is not Manu, ex-employee at
Rothschild, who will say the opposite.
 

Vers un changement de pouvoir en Moldavie​

Towards a change of power in Moldova

Suggested preamble: "Moldova between Russia and the West - European integration in the test of internal fractures

Parallel to the liquidation of the neo-Nazi junta in Kiev, Moscow is preparing a new foreign policy action: a change of power in Moldova.

A few days ago Major General Rustam Minnekayev, Deputy Commander of the Central Military District of Russia, specified the points of the second stage of the military operation in Ukraine: the departure of Ukrainians from Donbass and the establishment of control over southern Ukraine with access to Transnistria. The capture of Odessa in particular could be set aside since the port city can simply be blocked off and cut off from Ukraine. This will reduce its importance and it could then be integrated into the Donetsk Republic by a simple referendum at its request.

The current power in Moldova is an Atlanticist power, sponsored and financed by the United States and the European Union, and is fundamentally Russophobic. With direct access to Transnistria, Russia will have two options to promote the establishment of a pro-Russian power there.

1. 1. To promote the access to power of the pro-Russian Moldovan forces by increasing their political attractiveness with loans, gas and petrol, governmental purchases of local fruits (Moldova is a big producer of apples and tomatoes, which are already available everywhere in Moscow). For this, early parliamentary elections will have to be held and Transnistria will have an important role to play.

2. Moscow can recognize Vadim Krasnoselsky, the current president of Transnistria, as the legal authority of the Republic of Moldova. For this, Transnistria will be officially renamed the "Moldovan Republic of Transnistria" and then Krasnoselsky will make a request to Moscow for assistance in eliminating the rebels in Chisinau (Moldova's current capital).

Telegram channel "Chronicles of Russia" Click here.
NEW: Telegram channel "Russia Briefs": Click here
Compilation of dozens of Russian news channels with automatic translation into French
It should be noted that although the current Moldovan regime is financed and supported by Western countries, they have not, unlike in Ukraine, promoted extremist elements (like Azov and Pravy Sektor in Ukraine). The majority of the Moldovan population is quite adequate and is guided by "peasant common sense". The majority of the population is dissatisfied with the current regime that has made Moldova the poorest country in Europe.
Moldovans belong to the Eurasian civilization "Russian World" and, like Russians, consider truth and justice as the highest values. Therefore, it is unlikely that the security forces and local officials will oppose the new government, behind which is the Russian military that just broke the back of the Ukrainian Nazi military, especially since the population is largely dissatisfied with its current economic situation.
It is likely that the change of power in Moldova will not wait for the end of the special operation in Ukraine, but will be carried out during it, as there are no major obstacles to it. An "orange revolution" in reverse, but unlike the Maidan in Ukraine, this one will be realized without violence!
Boris Guenadevitch Karpov
 

Pourquoi autant de généraux meurent-ils en Ukraine se demande The Economist ?​

par Charles Sannat | 25 Avr 2022
Why are so many Russian generals dying in Ukraine, asks the leading newspaper The Economist?
That's right, why are so many Russian generals dying under Ukrainian bombing?
Probably because in the Ukrainian bombings it is only the finger of the guy who pushes the button that is Ukrainian, and even then I am not sure!
With their eavesdropping systems, satellites, radars, and electronic means, NATO's armed forces are providing the Ukrainian army with precise information on the exact location of the Russian flagship in the middle of the Black Sea.
"On 23 April, Ukrainian officials said their forces had killed two more Russian generals and seriously wounded a third in fighting near Kherson in southern Ukraine.
The war was almost over, Yakov Rezantsev assured his troops on the fourth day of the Russian invasion of Ukraine. That was a month ago. On 25 March, the lieutenant-general, commander of Russia's 49th Joint Army, was reportedly killed in a strike near the town of Kherson. Ukrainian officials say he was the seventh Russian general to die in combat in Ukraine; Westerners agree. Russia has not confirmed this and the count has not been independently verified. But it is clear that the country's top brass is suffering unusual attrition. Why?"
This is why the Russians and the Moscow media indicate that Russia is at war if not with Nato troops, at least with the infrastructure of the Atlantic alliance.
And this is logical since we have decided that the price Russia has to pay for its Ukrainian adventure should be as high as possible.
Charles Sannat
"This is a 'presslib' article, i.e. it may be reproduced in whole or in part provided that this paragraph is reproduced after it. Insolentiae.com is the site where Charles Sannat expresses himself daily and delivers an impertinent and uncompromising deciphering of the economic news. Thank you for visiting my site. You can subscribe for free to the daily newsletter on www.insolentiae.com. "

Translated with www.DeepL.com/Translator (free version)
 

Boris Johnson à Zelenski: « Bombardez la Russie »​

26 avril 2022
British Prime Minister Boris Johsnon has "authorised" Ukraine to "bomb Russia", i.e. on its territory.
This shows two things: On the one hand it shows WHO is "the master" in Ukraine, since the head of the British government "authorizes" the Ukrainian president to carry out these military operations. On the other hand, it confirms that England, and therefore NATO and the USA, have the real aim of "attacking Russia", using the "disposable pawns" that are the Ukrainians.
The reaction of the Russian Foreign Ministry was very clear:
"Do we understand that in order to "disrupt the logistics of military supplies", Russia can strike military targets on the territory of NATO countries that supply arms to the Kiev regime? After all, this leads directly to death and bloodshed on Ukrainian territory. As far as I know, Britain is one of those countries."
While waiting for a submarine off the coast of England to send a warning to London, Russian forces continue to destroy the railway infrastructure through which NATO convoys of supplies pass in Ukraine. But it is clear that if the weapons do get through, other solutions will be implemented. Solutions that are not limited to Ukrainian territory.
Boris Guennadevitch Karpov

Translated with www.DeepL.com/Translator (free version)

Momotchi, [26/04/2022 23:21]
Rumble (https://rumble.com/v12j1qj-en-france-comme-aux-usa.html)
En France comme aux USA?
https://www.radioquebec.tv/#sociofinancement Les irrégularités électorales constatées en France dimanche soir ressemblent étrangement à celles remarquées aux États-Unis lors de la dernière
https://t.me/momotchiii/3609

In France as in the USA?
RADIO-QUÉBEC The electoral irregularities noted in France on Sunday night are strangely similar to those noted in the United States during the last

Elon Musk
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Olivier Delamarche

@ODelamarche
5h

Le prof de math de Bruno Le Maire
Citer le Tweet

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Feyronn
@feyronn
· 25 avr.
Elon Musk à presque 300 milliards de dollars. Le mec pourrait donner 1 milliard à chaque Homme sur terre mais il préfère acheter Twitter.

Elon Musk is worth almost 300 billion dollars. The guy could give 1 billion to every man on earth but he prefers to buy Twitter.

яévolte fiscale 100% SPIKE free
@Revolte_Fiscale

Morts par millions d'habitants en #Suede Elle est où la pandémie #covid19 ?

Deaths per million in #Sweden Where is the #covid19 pandemic?

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Rimiquen a répondu









Oliver Clark

@OliverC85515150
·
2h

Quand les cardiologues censés te garder en vie font le contraire.

When the cardiologists who are supposed to keep you alive do the opposite.

Citer le Tweet
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Annette L.

@Annette_LEXA
· 25 avr.
#doctothon : des personnes arrivent aux urgences avec des paralysies, thromboses, tachycardies à 200, myocardites, malaise grave. L'urgentiste reconnait le lien mais après la cardiologue non et dit "faites la 3e dose, vous êtes à risque" et il n'y a pas de déclaration.

#doctothon: people arrive at the ER with paralysis, thrombosis, tachycardia at 200, myocarditis, severe malaise. The emergency doctor recognises the link but then the cardiologist does not and says "do the 3rd dose, you are at risk" and there is no declaration.

Ordonnance n°2022-553 du 13/04/2022

Une autre MACRONADE supplémentaire !



Attention vous allez tomber à la renverse. Ceci n’est ni une blague, ni une satire ou un détournement, ceci est le réel français en 2022 :

Ordonnance n° 2022-533 du 13/04/2022 définissant la nature, les conditions et les modalités d’octroi par le Gouvernement de privilèges, immunités et facilités à des organisations internationales, des agences décentralisées de l’UE et à certaines associations ou fondations.

Donc, par exemple, pour la Bill&Melinda Gates Foundation :

« Les privilèges, immunités et facilités … peuvent être octroyés par décret en Conseil d’Etat, à titre temporaire, à une organisation internationale qui installe son siège principal ou un bureau en France, dans l’attente de l’entrée en vigueur d’un accord international entre la France et cette organisation lui conférant de tels privilèges, immunités et facilités.

Les privilèges, immunités et facilités octroyés à une organisation internationale … le sont jusqu’à l’entrée en vigueur d’un accord international conclu aux mêmes fins entre la France et l’organisation concernée, dans la limite d’une durée de 24 mois à compter de la date de parution du décret …

Lorsqu’un tel accord a été conclu mais n’est pas en vigueur à l’expiration de ce délai, celui-ci peut, par décret en Conseil d’Etat, être prorogé d’une durée n’excédant pas 12 mois »

Sont octroyés à une organisation internationale … les privilèges, immunités et facilités suivants :

1° L’inviolabilité des locaux, des biens, des archives, des documents, de la correspondance et de la valise diplomatique

2° L’immunité de juridiction …

3° L’immunité d’exécution pour les biens et avoirs de l’organisation

4° L’exonération de la TVA sur les livraisons de biens et les prestations de service destinés à son usage officiel, …

5° L’exonération de la taxe foncière sur les propriétés bâties, de la taxe d’enlèvement des ordures ménagères et de la taxe sur les locaux à usage de bureaux pour les locaux que l’organisation occupe au titre de ses activités officielles et dont elle est propriétaire, ainsi que, pour les seules places de stationnement réservées à des véhicules immatriculés en série privilégiée desservant des locaux affectés à son usage officiel et dont elle est propriétaire, de la taxe sur les surfaces de stationnement

6° L’exonération de la taxe d’habitation pour les locaux affectés à l’usage officiel …

7° L’exonération des droits de mutation lors de l’acquisition d’un bien immobilier destiné à l’usage officiel …

8° L’exonération des droits de douane et taxes à l’importation des marchandises et services nécessaires aux activités …

9° L’exonération des taxes à l’introduction de marchandises ou de services destinés à son usage officiel, …

10° L’exonération de taxes sur l’achat de véhicules de service

11° L’exonération des droits de douane et taxes sur l’importation de véhicules destinés au service

12° L’exonération de la taxe sur les certificats d’immatriculation des véhicules immatriculés en série privilégiée

13° L’exonération des droits de douane et taxes sur l’achat de carburant et fioul domestique de chauffage

14° L’exonération des droits de douane et taxes sur l’achat de vins et d’alcools dans les limites d’un quota annuel suivant le nombre de membres privilégiés rattachés à l’entité

15° La libre disposition des fonds, devises, numéraires et valeurs mobilières ;

16° Le droit de faire usage d’un drapeau et d’un emblème

17° Les facilités d’immatriculation des véhicules affectés à l’usage officiel …

18° La liberté de communication

19° Le droit de délivrer des laissez-passer et de les faire reconnaître par les autorités françaises comme des documents de voyage

Source : legifrance.gouv.fr
 

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