Various interesting things in French : documentaries, etc.

View attachment 64955

Quelle belle synchronisation avec le compteur pilotable à distance qui vient d'être installé ! Vraiment, c'est une coincidence juste incroyable !



---

What a great synchronisation with the remote control meter that has just been installed in France! Really, it's an incredible coincidence!



Bonjour PERLOU ,

J'ai du mal à comprendre techniquement parlant comment le compteur LINKY peut couper les ballons d'eau chaudes ??? si il est capable de le faire c est qu'un systeme d'interrupteur existe dans le compteur ce qui me semble pas être intégré d'origine, par contre ceux qui disposent de deux tarifs heures creuses et pleines , la je pense que ENEDIS a la possibilité grâce aux remontées de consommations d'agir sur l'interrupteur heures creuses / heures pleines ( en général tu branches ton chauffe eau sur les h creuses, ) ou alors il te coupe entierement le jus de l'installation ??
Si qq un as des infos vérifiées sur les caractéristiques de LINKY , un installateur , électricien , enfin un pro du domaine qu'il puisse éclairer ma lanterne ,
Merci
 
Un ami m'a envoyé une vidéo FBook d'une invention française durant les années 60, d'un certain Antoine Priore/Prioré (ou Priori)
Je l'ai retrouvée sur YT, la voici :

Son nom a été mentionné ici par Jeep :

Ou encore ici par Ketone :

Cela rejoins les travaux de Lakhovsky, Royal Rife et autres, et le domaine des soins liés aux ondes électromagnétique, voire aux ondes electromagnétiques pulsées (petit nom PEMF en anglais) et discuté sur d'autres thread mais pas autant que le HBOT.

Ce nom pourrait être ajouté au thread qui a récemment refait surface ici, mais il faudrait traduire ce qui est dit ...
 
Bonjour PERLOU ,

J'ai du mal à comprendre techniquement parlant comment le compteur LINKY peut couper les ballons d'eau chaudes ??? si il est capable de le faire c est qu'un systeme d'interrupteur existe dans le compteur ce qui me semble pas être intégré d'origine, par contre ceux qui disposent de deux tarifs heures creuses et pleines , la je pense que ENEDIS a la possibilité grâce aux remontées de consommations d'agir sur l'interrupteur heures creuses / heures pleines ( en général tu branches ton chauffe eau sur les h creuses, ) ou alors il te coupe entierement le jus de l'installation ??
Si qq un as des infos vérifiées sur les caractéristiques de LINKY , un installateur , électricien , enfin un pro du domaine qu'il puisse éclairer ma lanterne ,
Merci
Here is 2 articles a little clearer. So more precisely : "Ce texte (1) s’adressant à Enedis et aux fournisseurs d’électricité permet au premier de désactiver temporairement le signal d’enclenchement des usages électriques pilotés."



By reading the comments, it seems its something that can be forced anyway, but I don't know, never had a cumulus.
 
Here is 2 articles a little clearer. So more precisely : "Ce texte (1) s’adressant à Enedis et aux fournisseurs d’électricité permet au premier de désactiver temporairement le signal d’enclenchement des usages électriques pilotés."



By reading the comments, it seems its something that can be forced anyway, but I don't know, never had a cumulus.
Bonjour , tu ne reponds pas à la question comment techniquement c est possible ? tu ne fais que relayer des articles , moi je veux savoir comment c est possible dans le concret .
 
From actu.fr:

Les chauffe-eau électriques sont quasiment tous équipés d’un contacteur permettant leur activation automatique durant les heures creuses. C’est grâce à ce petit dispositif, placé sur le tableau électrique, qu’Enedis repèrera les ballons, et pourra procéder.
Almost all electric water heaters are equipped with a switch that allows them to be activated automatically during off-peak hours. It is thanks to this small device, placed on the electrical panel, that Enedis will be able to locate the tanks and proceed.
 
En attendant de savoir ce qui s'est passé vous pouvez tout savoir sur mes pages :
While waiting to know what happened you can know everything on my pages:

Sur facebook je ne mets pas tout car j'ai été censurée plusieurs fois et mise en prison pour longtemps
On facebook I don't put everything because I was censored several times and put in jail for a long time
 
Non seulement tous les articles que j'ai partagés hier ont disparu mais aucune trace non plus de mon message d'aujourd'hui demandant pourquoi ont-ils disparu ?

Not only have all the articles I shared yesterday disappeared, but there is no trace of my post today either, asking why they disappeared?
 
Non seulement tous les articles que j'ai partagés hier ont disparu mais aucune trace non plus de mon message d'aujourd'hui demandant pourquoi ont-ils disparu ?

Not only have all the articles I shared yesterday disappeared, but there is no trace of my post today either, asking why they disappeared?

Hello Perlou, i'm fairly sure all of your posts are being approved so there shouldn't be any missing. However, where there are a great number of links, they've been put in a quote box so as to keep the thread tidy and easier reading for everyone; see this post for example: Various interesting things in French : documentaries, etc.

If you click the yellow text 'click to expand', you will see all of your links.

Does that answer your question?

--


Bonjour Perlou, je suis à peu près sûr que tous vos messages sont en cours d'approbation, il ne devrait donc en manquer aucun. Cependant, là où il y a un grand nombre de liens, ils ont été mis dans une boîte de citation afin de garder le fil bien rangé et d'en faciliter la lecture pour tout le monde ; voir ce post par exemple : Various interesting things in French : documentaries, etc.

Si vous cliquez sur le texte jaune "cliquez pour développer", vous verrez tous vos liens.

Est-ce que ça répond à votre question?
 
Bonjour , tu ne reponds pas à la question comment techniquement c est possible ? tu ne fais que relayer des articles , moi je veux savoir comment c est possible dans le concret .
Remercions tout d'abord @Maat d'avoir partagé ces informations ; N'ayant ni ballon d'eau chaude ni de tarification HP/HC, je ne suis pas concerné mais je vais pouvoir transmettre l'information à ceux de mon entourage qui sont dans cette situation. La connaissance protège...
Dans le thread ci-dessous sur le Linky, un électricien explique ce qu'ENEDIS a prévu de faire. J'espère que cette information répondra à ta question.
 
Bonjour , tu ne reponds pas à la question comment techniquement c est possible ? tu ne fais que relayer des articles , moi je veux savoir comment c est possible dans le concret .
Rien ne t'interdit de faire des recherches et les partager ici.

Une impulsion est envoyée sur le réseau électrique et cette impulsion est reconnue par le compteur qui active effectivement un interrupteur :

compteur Linky.jpg

Lire ce Tweet :
Si tu veux encore plus d'explications techniques sur le Linky, regarde la vidéo de Stéphane Marty sur sa chaîne "Deus Ex Silicium" :

 
CHAD, tout d'abord MERCI d'avoir répondu à ma question...
Je me sers de votre "Click pour expand" merci j'avais compris,
mais j'ai tout une page d'articles qui ont disparu plus ma demande de savoir pourquoi.
Si je vous comprends bien toute cette page serait à l'approbation !... Pendant combien de temps ?
Cela me prend beaucoup de temps d'éditer ces articles et si ceux-ci disparaissent, je ne vois pas l'intérêt de perdre mon temps...
Surtout que les annonces du jour n'auront plus d'intérêt si celles-ci apparaissent trop tard...
Je vais surveiller leur réapparition...

CHAD, first of all THANK YOU for answering my question...
I am using your "Click to expand" thanks I had understood,
but I have a whole page of articles that have disappeared plus my request to know why.
If I understand you correctly this whole page would be up for approval!... For how long?
It takes me a lot of time to edit these articles and if they disappear, I don't see the point in wasting my time...
Especially since the announcements of the day won't have any interest if they appear too late...
I will watch for their reappearance...
 

Derrière l’Ukraine, c’est toute la géopolitique planétaire qui est remise en question – par Jean Goychman

Jean Goychman nous propose une relecture de la géopolitique mondiale depuis 1945. Tout se passe, en effet, comme si les Occidentaux n'avaient pas voulu envisager 1989-1991 comme une fin de cycle (la guerre froide) mais comme un simple jalon dans une histoire inachevée, celle de la destruction de la puissance russe et de la marche des USA vers la domination en Eurasie.


Dans son discours du 30 septembre, Vladimir Poutine est allé au fond des choses. Depuis plus d’un siècle, un plan longuement élaboré pour arriver à mettre toute la population mondiale sous l’autorité d’un gouvernement unique. La première impulsion a été donnée par un groupe de jeunes lords anglais, conscient que l’élite britannique avait vocation à diriger le monde « pour le plus grand bien de l’humanité ». La puissance de la marine britannique, conjuguée à leur puissance financière au travers de la livre Sterling leur a permis de réaliser le Commonwealth.

Leur échec devant la Chine et les guerres de l’opium les ont conduit à s’appuyer sur l’industrie américaine, après que les banquiers de la City aient pris le contrôle du dollar en créant en 1913 la Réserve Fédérale. La première guerre mondiale, suivie de la seconde, ont eu raison de l’isolationnisme américain consécutif à l’application de la doctrine de Monroe.

En 1945, le monde n’était pas encore prêt à la « grande bascule ». La guerre de 14 avait entraîné la disparition des empires monarchiques, celle de 40-45 avaient mis un terme aux empires coloniaux.

Restaient donc à la surface de la planète, les nations.

Or, dans dans un monde « monopolaire », dirigé par un gouvernement mondial, les nations n’ont plus leur place et doivent disparaître.

La nécessité de la guerre froide

La souveraineté des nations, même si elle figure dans la Charte des Nations-Unies, était un obstacle majeur à l’accomplissement du projet mondial. L’idée était de passer du national au supranational, puis de fondre tout cela ensemble. Il fallait « contourner » les peuples des démocraties afin de leur ôter progressivement leur souveraineté avant de les fondre dans le creuset mondial.

Dès lors, les objectifs intermédiaires apparaissaient clairement :

Imposer la démocratie partout où c’était possible et faire ensuite un partage du monde entre le camp de la démocratie, appelé « Camp du bien » et le reste du monde.Le seul adversaire véritablement capable de s’opposer à l’hégémonie américaine était l’Union Soviétique. Je ne sais comment ce qui précède à influencé les accord de Yalta, mais peut-être le saura-t-on un jour ?

Le monde étant partagé en deux blocs, à quelques exceptions prés, il fallait passer à l’étape suivante

nécessaire pour la suite. La « guerre froide » fut le moyen choisi.

De Gaulle perturbe le jeu

De Gaulle avait compris depuis longtemps quel était le projet Anglo-Américain de domination mondiale. Cela explique en grande partie sa politique internationale et notamment le rôle de « puissance d’équilibre » qu’il voulait faire jouer, non pas à la France uniquement, comme on le voit souvent écrit, mais à l’Europe issue du « Marché Commun ».

Pour restaurer une indépendance européenne, et non une souveraineté, c’est important de le souligner, il fallait s’affranchir de l’OTAN, d’où le Traité de l’Élysée de 1963 proposant à l’Allemagne d’étendre la protection nucléaire de sa « force de dissuasion » à cette dernière.

Cette proposition a naturellement (et pour cause) été torpillée par les États-Unis qui tenaient à imposer l’OTAN. Cette dernière, et on le constate aujourd’hui, faisait partie intégrante du plan.

Pour la petite histoire, ce fut même une des raisons qui ont conduit à créer le « Club des Bilderberg » en 1954, dont le côté « mondialiste » apparaît évident. Le fait que de Gaulle se soit toujours fermement opposé à l’entrée de l’Angleterre dans le Marché Commun procède de la même raison.

Le refus de l’Allemagne a conduit de Gaulle à « l’enjamber » pour tendre la main au camp adverse en proposant des accords techniques et commerciaux avec l’Union Soviétique et en reconnaissant la Chine communiste, au grand dam des États-Unis.

Également conscient du jeu de ces derniers qui voulaient étendre la doctrine de Monroe à l’Amérique du Sud, il y effectua une vaste tournée afin de leur proposer la « 3ème voie », celle des pays non-alignés. La France y gagna en notoriété, d’autant plus que le Discours de Phnom Penh l’avait déjà positionné comme initiateur de ce concept.

Mais de Gaulle n’était pas éternel et il faut constater que ses successeurs à l’Élysée n’ont pas suivi ses traces.

Le passage à l’acte en Europe et l’encerclement de la Russie

En 1991, l’URSS disparaissait, minée de l’intérieur par des nations qui voulaient retrouver leur indépendance et, il faut bien le dire, poussée par les Etats-Unis dans le piège Afghan. La Chine ne s’était pas encore éveillée et ils restaient seuls en lice. Le plan de domination pouvait rentrer dans sa phase ultime. Le terrain choisi fut celui des accords de « libre-échange » qui devaient progressivement s’étendre à la planète entière, bien entendu sous le contrôle des grandes multinationales d’origine américaine, elles-mêmes soutenues par les banquiers internationaux.

Le livre de Zbignew Brzezinski décrit tout à fait les stratégies géopolitiques qui allaient se mettre en place pour « dissoudre la Russie » et mettre le continent asiatique sous la domination américaine.

Entre temps, l’US Navy s’était développée et pouvait intervenir, comme son illustre aïeule Britannique, sur les cinq continents.

L’Union Européenne ayant ratifié les traités qui, tous sans exception la conduisait au supranationalisme, ressemblait de plus en plus à « l’appartement-témoin du mondialisme », il suffisait de laisser les choses s’accomplir de leur libre cours. L’Euro, calqué sur le dollar, liait d’une façon réputée irréversible les différents pays de la zone et l’entrée dans l’OTAN des pays du pacte de Varsovie était pour eux une sorte d’antichambre de l’Union Européenne.

L’UE s’agrandissait ainsi au rythme où s’amenuisait la zone tampon résultant des discussions de 1991 sur la réunification allemande, où tous les participants avaient accepté que l’OTAN ne s’étende pas au-delà de l’Elbe.

Les événements de 2014

Comme l’avait prédit Brzezinski, l’Ukraine allait, de par sa position, jouer un rôle-clé dans l’opération d’encerclement de la Russie. Il fallait dorénavant la faire basculer dans l’Union Européenne et dans l’OTAN. Les stratèges américains, qui n’avaient pas compris, ou qui voulaient passer outre les conseils de prudence, ont pensé qu’ils pouvaient « passer en force » et que la Russie n’avait ni les moyens, ni le désir, de s’opposer à eux.

Georges Friedman, patron de la Stratfor, officine très écoutée au Pentagone et à la CIA, dans un article publié en 2015, avait bien résumé la situation et mis en garde ces stratèges.

La suite est connue et nous pouvons revenir au discours de Moscou du 30 septembre.

Vladimir Poutine pose les termes du choix

La presse mainstream et les dirigeants politiques Occidentaux veulent résumer la situation actuelle autour de la guerre en Ukraine en un choix entre la démocratie et la liberté contre le retour aux régimes totalitaires. Ce narratif est nécessaire pour justifier, notamment auprès des peuples occidentaux, l’engagement de leur pays en faveur de l’Ukraine. C’est une guerre menée contre la liberté, la démocratie et la souveraineté nationale de l’Ukraine, donc nous devons aider ce pays.

En droit international, si cela a encore un sens, rien ne nous y oblige. Les dirigeants européens ont fait ce choix, mais n’ont-ils pas outrepassé leur pouvoir ?

Et que se passerait-il si, finalement, un processus de paix était trouvé aux termes d’un accord entre les deux belligérants ? Après tout, tout le monde pourrait s’en satisfaire.

Je doute fort que cela soit le cas. Au delà de cette guerre en Ukraine, c’est tout le devenir géopolitique de la planète qui semble en jeu.

Quelle différence entre un monde « monopolaire » et un monde « multipolaire » ?

Bien que personne ne veuille l’exprimer clairement, un monde monopolaire est un monde dirigé par une seule entité, et peu importe qu’on l’appelle gouvernement mondial ou d’un autre nom. Une chose apparaît cependant certaine, c’est que ses dirigeants ne seront pas élus au suffrage universel. Un tel monde serait-il alors démocratique ? Assurément non. Et c’est cette contradiction que relève Vladimir Poutine dans son discours. Nous sommes à l’heure du choix entre ce monde monopolaire et un autre, réputé multipolaire. Les deux peuvent a-priori se concevoir. Le premier suppose une domination de l’ensemble par une oligarchie qui devrait en permanence défendre sa position hégémonique et dont en constate les effets actuellement alors que le second débouche plutôt sur un monde « Westphalien » dans lequel aucun pays ne pourrait imposer sa domination aux autres. Seul ce dernier pourrait prétendre à une paix d’équilibre, comme le fut la « Paix de Westphalie » de 1648 en Europe.

Il apparaît alors clairement que le choix appartient non pas à un seul état, fût-il le plus puissant, mais bien à l’ensemble de la Communauté mondiale. C’est ce message que veut faire passer le Président Russe:

« L’Occident est prêt à franchir toutes les limites pour préserver le système néocolonial qui lui permet de vivre aux crochets du monde, de le piller grâce à la domination du dollar et de la technologie, de percevoir un véritable tribut de l’humanité, d’extraire sa principale source de prospérité imméritée, la rente versée à son hégémonie »

Cette phrase, qui vise l‘élite anglo-saxonne est surtout destinée à éveiller les esprits qui ne voient jusqu’à présent que les « bons sentiments » mis en avant par cette oligarchie qui, selon lui, ne veut pas renoncer à ce qui a fait sa fortune sur le dos des autres. Il leur dit en substance :

Voici longtemps que vous avancez sous un « faux nez », mettez vos actions en regard de vos principes en disant :

« Les pays occidentaux disent depuis des siècles qu’ils apportent la liberté et la démocratie aux autres nations. Rien ne pourrait être plus éloigné de la vérité. Au lieu d’apporter la démocratie, ils ont réprimé et exploité, et au lieu de donner la liberté, ils ont asservi et opprimé. Le monde unipolaire est intrinsèquement anti-démocratique et non-libre ; il est faux et hypocrite de bout en bout »

Les choses sont plus claires

Il est clair que Vladimir Poutine s’adresse, comme de Gaulle l’avait fait en son temps, aux pays non-alignés, et particulièrement ceux qui ont eu à pâtir des agissements de l’État Profond américain. Il sait que la démographie mondiale est pour lui car l’Occident ne compte plus que pour 12% dans la population mondiale. Il leur dit sans ambages que le choix entre ces deux mondes, l’un unipolaire et sous domination occidentale et l’autre, multipolaire et organisé différemment, dans lequel chaque nation pourra exercer sa souveraineté :

« Le monde est entré dans une période de transformation fondamentale et révolutionnaire. De nouveaux centres de pouvoir émergent. Ils représentent la majorité – la majorité ! – de la communauté internationale. Ils sont prêts non seulement à déclarer leurs intérêts mais aussi à les protéger. Ils voient dans la multipolarité une occasion de renforcer leur souveraineté, ce qui signifie obtenir une véritable liberté, des perspectives historiques, le droit à leurs propres formes de développement indépendantes, créatives et originales, à un processus harmonieux.

Comme je l’ai déjà dit, nous avons beaucoup de personnes partageant les mêmes idées en Europe et aux États-Unis, et nous sentons et voyons leur soutien. Un mouvement essentiellement émancipateur et anticolonial contre l’hégémonie unipolaire prend forme dans les pays et les sociétés les plus divers. Sa puissance ne fera que croître avec le temps. C’est cette force qui déterminera notre future réalité géopolitique »


On peut souscrire ou non à la vision de Vladimir Poutine. Pour ma part, j’avoue préférer un monde qui ressemble le moins possible au « meilleur des mondes » d’Aldous Huxley, c’est-à-dire sans « grand incubateur » ni transhumanisme, qui me paraît être dans la logique d’un monde « globalisé ».

Il reste à savoir si l’élite mondialiste acceptera ce changement ou s’y opposera par tous les moyens à sa disposition.
 

Trending content

Back
Top Bottom