APPEL AUX RÉSISTANTS
2 juillet 2023 | Catégorie:
Actualités,
Tribune
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Embrasement de la France et risque de guerre civile : changement de paradigme ou verrouillage final.
Par François Dubois
Propos liminaires
C’est en tant qu’amoureux de la nation que j’écris ce texte. Écrit rapidement et dans l’urgence, j’y développe mon analyse à froid. Je précise eu égard au contexte, être sportif, en excellente santé, et n’avoir aucunes pensées suicidaires. J’invite mes anciens camarades des forces de l’ordre à lire et à partager le plus possible ce texte. Vous qui êtes actuellement en premières lignes, fusibles d’une situation qui vous dépasse, vous devez comprendre de quelle façon et dans quel contexte vous êtes actuellement instrumentalisés. Ce contexte de déliquescence nationale dans lequel vous opérez si difficilement est voulu, provoqué et appuyé par des forces très puissantes. Je m’exprime ici en toute liberté sans vous inciter à la révolte, mais en espérant que ce texte vous aide à conscientiser votre rôle et à prendre les décisions personnelles qui s’imposent.
Affaire Mahel : contexte
Nos élites, corrompues et apatrides dans l’âme, oeuvrent désormais depuis plus d’un demi-siècle à la destruction intégrale de notre pays. Hélas, le mal est fait, et l’heure n’est pas à se lancer dans de grandes démonstrations historiques, géopolitiques ou théologiques pour expliquer les rouages de ce désastre[1] ! Certains Français dégustent aujourd’hui l’âpre goût de la merde qu’ils ont lâchement cautionnée pour s’inscrire au sein du cercle désigné par leur maître comme celui de la « bien-pensance ».
Le réseau Soros, Attali, Minc qui a accouché de Macron a parfaitement compris cette phrase de Nietzsche : «
La plus grande dispensatrice d’aumône, c’est la lâcheté. » De la création de « sos-racisme » en passant par celle de « touche pas mon pote », ils ont, au nom de la tolérance, sciemment promu l’émergence d’une sous culture ethnicisée et communautarisée, en réalité exhausteur de racisme à géométrie variable et de fragmentation sociale. Ils se sont appuyés pour ce faire sur la lâcheté de la population, consécutive depuis les années 80 à un sabordage médiatique culpabilisant de l’image du Français, grand perdant de la seconde guerre, sauvé par les gentils américains et historiquement présenté comme un pleutre délateur de juifs.
Beaucoup de ces lâches ignorants ont ainsi cherché à se racheter une conduite sur les bases d’une histoire caricaturée, honteusement simplifiée pour ne pas dire parfois falscifiée. Tolérant l’intolérable, il n’était plus question pour eux de s’insurger face aux vagues migratoires incontrôlées et non choisies. Pis encore, dans leurs petits esprits étriqués de gauchistes, celui qui s’en insurgeait devenait un vilain facho, caricaturalement assimilé à un adorateur du IIIème Reich[2].
Aujourd’hui, dans cette situation de pré-guerre civile, l’urgence est avant tout de comprendre les dangers auxquels nous sommes exposés. Ce qui est arrivé devait se produire. Ce n’était qu’une question de temps. Récemment, les commandes massives de blindés de gendarmerie «
centaures » équipés d’un tourelleau télé-opéré, sur lequel se situe une AANF1 7.62 x 51 mm (arme de guerre), ou encore la grande campagne de rappel des armes détenues illégalement, constituent un faisceau d’indices qui ne peuvent qu’abonder dans le sens de mes propos.
Ces dispositions font d’une pierre, deux coups. Elles ont, en premier lieu, vocation à faire face aux risques d’émergence d’un mouvement social spontané type « gilets jaunes ». Ce risque est redouté, parce que hors de contrôle s’il est un jour organisé et structuré. Mais elles ont aussi potentiellement vocation à participer à une opération de purge, conséquence d’un embrasement erratique parfaitement anticipable et attendu des cités, puis, par effet domino, de la population ancrée politiquement à gauche. Attendu, parce qu’il y existe des accointances puissantes entre les mafias qui tiennent ces quartiers et l’état profond, ainsi que ses services de renseignements ; le tout, intégrant le maillage de la franc-maçonnerie qui chapeaute une extrême gauche prête à instrumentaliser politiquement les émeutes et à rallier les cités avec ses « antifas » aux ordres. Les racailles sont les idiots utiles d’un système ambivalent qui a posé tous les jalons nécessaires à leur révolte, et dans le même temps, tous les jalons nécessaires à leur détestation.
Cela avec pour objectif de la part de la gouvernance, de reprendre le contrôle par la force dans un premier temps, puis dans un second, d’instaurer un contrôle intégral de la population et de nouveaux moyens numériques en guise de verrouillage définitif. Ces moyens seront acceptés par les masses parce qu’ils s’imposeront comme l’alternative indispensable à la sortie du chaos.
Affaire Mahel : les origines
Le fait divers à l’origine de ces événements n’est pas un accident hasardeux car il résulte de la conjonction de deux phénomènes orchestrés par les élites, les ayant
de facto conduites à anticiper ce qui allait se produire.
Le premier facteur est consécutif à la communautarisation d’une frange ethnicisée de la population qui a de plus en plus évolué à la marge au point de s’inscrire dans une déviance qui ne la fait plus adhérer aux normes de la société.
Dès le départ, il existait chez ces populations issues majoritairement de couches sociales précaires en provenance du continent Africain, des incompatibilités sociologiques profondes, notamment quant-à la structure de la famille et à la place qu’occupe le garçon au sein de cette cellule familiale, qui rendaient dans certains cas très difficile toute intégration et toute assimilation. Ce problème sociologique d’ordre migratoire est d’autant plus complexe qu’il varie en fonction des pays, des ethnies et des classes sociales impactées. Les premières vagues migratoires italiennes et portugaises de l’après guerre n’ont causé aucune difficultés majeures précisément parce que, même pour les classes populaires, la cellule familiale était structurée dans ses rapports (place du garçon par rapport au père et à la mère, rapport à l’autorité, etc…) de façon similaire sur l’ensemble du continent européen. Ce faisant, ces population n’ont subi aucun «
backlash » sociologique[3]. Il n’y a pas de lien direct avec l’Islam (nous en parlerons plus loin).
Le rejet des normes sociétales s’accompagne de l’instauration de nouvelles normes propres à définir l’identité du groupe : le jeune des banlieues n’est donc pas en mal de repères parce que précaire économiquement, mais parce que, conduit par ses déterminismes sociaux à ne pas pouvoir s’accorder avec le modèle qui est censé l’assimiler. Il instaure alors ses propres normes qui lui servent à transformer sa déviance sociologique en une identité à part entière (cela se traduit par des marqueurs sociaux tels que le langage, les codes vestimentaires etc…) et à s’émanciper pour être autonome, d’un point de vue économique, mais aussi vis à vis des représentants de l’autorité. S’il n’évolue pas au sein d’une famille structurée qui ne produit pas un garçon roi, le banlieusard peut rapidement devenir un affranchi qui ne rend compte à aucune autorité et qui ne se reconnaît que parmi les siens, un véritable étiquetage social au sens de Becker. Évidemment, tous les jeunes issus des banlieues ne sont pas comme cela, les délinquants sont ceux dont la structuration et l’autorité de la famille sont pour le moins inexistantes.
Le personnage de Mahel ne déroge pas à la règle, n’accordant aucune légitimité à la loi, il entendait faire sa propre loi en se soustrayant une fois de plus à l’autorité. N’en déplaise à Sandrine Rousseau et aux autres misérabilistes LFI au raisonnement simpliste, ce n’est pas la pauvreté qui fait d’eux des délinquants. Ces populations brassent parfois des quantités astronomiques d’argent. Je l’ai constaté sur le terrain. Offrez leur des infrastructures, l’accès à la culture, des aides, encore plus d’argent, vous ne changerez rien. Certains dealers roulent en Ferrari, s’arrêtent-ils pour autant d’être délinquants ? Mahel était donc un jeune difficilement contrôlable, cela se traduit dans les faits par les diverses infractions qu’il a commises.
Le deuxième facteur à l’origine de ce drame est humain. Il relève probablement d’une erreur d’appréciation du cadre légal dans lequel le policier s’est situé et a décidé d’ouvrir le feu. La justice tranchera afin de déterminer si le tir était justifié ou non. J’ai moi même enseigné l’usage des armes à mes élèves gendarmes. Je maîtrise parfaitement cette question sur le plan légal, mais en dehors de cet aspect purement technique, il ne faut pas oublier qu’un policier est un humain comme les autres, et qu’à perpétuellement se confronter à cette population en rupture, il peut à terme, voir sa stabilité psychique et émotionnelle perturbée.
Même le policier le plus aguerri n’est pas à l’abris de commettre une grave erreur parce que son discernement est altéré par les stress répétés et la fatigue chronique du terrain. Le porteur d’une arme a une immense responsabilité. Les policiers et gendarmes ont parfaitement conscience d’engager leur responsabilité pénale lorsqu’ils ouvrent le feu avec leur arme de service. En d’autre terme, au moment de faire feu, ils ont conscience de pouvoir peut-être finir le restant de leurs jours en prison s’il ont commis une erreur d’appréciation lors d’une prise de décision qui doit prendre une ou deux secondes maximum.
Bien sûr, des abus intolérables existent, notamment avec l’emploi des AFI[4] durant les mouvements sociaux type « gilets jaunes » ou durant les manifestations contre la réformes des retraites. Cela est totalement anormal. Pour autant, revendiquer le désarmement de la police est d’une stupidité sans nom. Il conviendrait plus à ce sujet de s’occuper de l’allégeance aveugle que voue une partie de la police à la gouvernance actuelle au point d’en oublier les règles de déontologie qui encadrent la profession.
Le fait est que le drame qui s’est produit ne serait jamais arrivé s’il n’y avait pas eu la conjonction de ces deux facteurs : déviance sociologique du délinquant non assimilé et faute humaine, certainement accentuée par un contexte de tension constante sur le terrain.
Ces bases posées, il me semble urgent que les Français prennent aujourd’hui conscience que l’apparition de cette conjonction n’est pas le fruit d’un malheureux hasard.
Quelle stratégie affrontons-nous ?
Quand j’étais d’active, durant la pseudo-pandémie, nous parlions avec un collègue et ami « éclairé » de l’organisation à l’échelle européenne d’un cycle de révoltes comme une étape succédant au narratif du Covid. Une hypothèse, parmi tant d’autres, favorables aux ambitions socio-économiques dictées par Davos. Ces révoltes devaient avoir pour corollaires, une récession économique orchestrée par paliers, impulsée par le Covid, destinée à progressivement favoriser la mise en place de l’euro numérique, de la virtualisation de nombreux emplois, de la destruction des PME au profit des multinationales et de l’avènement de l’IA pour remplacer certains métiers.
Le cycle des révoltes permettant, après l’effet « starter » de la pandémie, de renforcer l’arsenal répressif et les moyens numériques de surveillances des masses par une reprise de contrôle violente et sans précédents. Il y a deux ans, cela faisait sourire certains, je ne suis pas sûr que ce soit encore le cas aujourd’hui. Nous observerons si une potentielle propagation du phénomène à l’échelle européenne se confirme, Bruxelles semble déjà avoir été en prise avec des émeutes. C’est précisément parce que je ne sous-estime pas l’intelligence de l’ennemi que mes analyses ont pu se confirmer.
Nous avons ainsi pu constater la présence d’une certaine Assa Traoré au côté de la mère de Mahel. Cette même militante, chaussée par la marque Louboutin (LVMH), travaille également pour la fondation
OPEJ Baron Edmond de Rothschild. Inutile de revenir sur le passif sulfureux de la famille en matière de délinquance. Constatons simplement qu’une mère isolée et effondrée a très rapidement bénéficié d’appuis massifs et de la logistique nécessaire pour organiser, 48 heures après les faits, une marche blanche avec t-shirt floqués et autres célébrités du milieu du rap Français.
Il existe une réelle complicité entre la racaille d’en bas et la racaille d’en haut qui la soutient. De même que je m’associe pleinement à Alain Soral et à son analyse lorsqu’il souligne le fait que le problème n’est pas en lien avec l’Islam. Ceux qui
« islamo-centrent » les causes des malheurs que nous subissons sont soit des ignorants soit des corrompus à la solde d’une cause supra nationale. L’Islam est une religion d’ordre, même si certains de ses préceptes peuvent-être contestés par un chrétien, il ne faut pas tout confondre. L’Iran connaît-elle de semblables révoltes, avec ces profils de délinquants ? Les délinquants des cités n’ont rien de musulmans. Il adoptent des marqueurs sociologiques empruntés à l’Islam, essentiellement codifiés par des éléments de langages, afin de s’étiqueter comme une communauté. Mais ils ne sont en rien pratiquants et n’appliquent en rien les conduites morales qu’imposent le Coran. Quand j’étais sur le terrain, certains d’entre eux s’étonnaient de voir que je connaissais mieux l’Islam qu’eux. Je devenais tout de suite plus sympathique à leurs yeux, ce qui les rendait d’autant plus idiots aux miens. Le problème n’est pas l’Islam mais l’ignorance.
Un amalgame est volontairement entretenu entre la délinquance des quartiers et le développement de la religion musulmane sur notre territoire, or ce sont deux phénomènes distincts. Les russes ont bien compris que le substrat du danger du bouleversement civilisationnel qui nous guette n’est pas la religion musulmane. Vladimir Poutine déclarait encore il y a deux jours que la profanation du Coran était un crime en Russie. Et bien, c’est pareil, je ne suis pas Charlie, et je ne me laisserai pas berner par l’instrumentalisation terroriste des branches « sectaires » Wahhabites de l’Islam par les États profonds Occidentaux et Israël.
C’est bel et bien une élite mondialiste apatride qui cherche ici a détruire notre pays d’essence catholique en attisant la haine contre la religion musulmane. Puisant ses origines idéologique dans le judéo-protestantisme, elle a construit une cancel-culture ethnicisé, universaliste et Woke, calquée sur une axiologie consumériste et matérialiste ayant émergé en premier lieu aux États-Unis. L’hegemon américain s’est ensuite chargé de sa propagation dans le monde occidental. Nos petites racailles Françaises ne sont en réalité que les hersatz des rappeurs et autres membres de gangs américains qu’ils idéalisent. Et sans le savoir, s’ils vouent un culte à quelque chose, c’est avant tout à l’image du rappeur gangster américain en voiture de sport entouré de prostituées derrière lequel on trouve les mêmes sources de financement que celles de l’idéologie LGBT ! Derrière Assa Traoré se dissimule l’idéologie universaliste de Georges Soros qui finance, par le biais de ses ONG, à la fois l’immigration de masse et la cause LGBT.
Si on est loin des idéaux du Prophète Mahomet ou du Christ, en revanche, on est très prêt de la détestation du Christ (ou de Mahomet)[5] explicitement revendiquée dans les médias par Éric Zemmour. Il y a en réalité bien plus d’accointances entre lui et Soros (à commencer par la religion), qu’entre lui et le Christ. Oui, sa pseudo-résistance est en réalité fondamentalement antichristique. Et ironie du sort, lorsqu’il s’est présenté à la présidentielle, Mr Zemmour avait pour dirigeant de la partie opérationnelle de ses financements Mr Julien Madar, ancien banquier d’affaire chez Rothschild.
Sans même évoquer le parcours de notre actuel président, on s’aperçoit que finalement, l’univers de la famille Rothschild n’est pas incompatible avec l’universalisme Woke dont Assa Traoré est une égérie, de même qu’elle ne semble pas incompatible avec les idées d’une frange « droitarde », faussement et souvent caricaturalement patriotique, qui entend fomenter une guerre entre catholiques et musulmans dans le rejet des valeurs transmises par les prophètes (Papacito, Goldnadel, Finkielkraut, Zemmour etc). Doit-on se conformer pour autant au conflit opposant Jacob à Esaü dans la Genèse[6] ?
Nous sommes donc pris en tenaille entre les racailles d’en haut et les racailles d’en bas. Les racailles d’en haut posent tous les prérequis nécessaires à la création d’une révolution contrôlée. Ils utilisent pour ce faire les islamo-centrés pour exalter les tensions inter-religieuses, et l’extrême gauche (pilotée par Mélenchon membre du Grand Orient de France) pour exacerber les conflits face aux forces de l’ordre et la détestation de la police. Une police dindon de la farce, qui servira de fusible en participant à rallier contre elle, et contre son gré, l’extrême gauche et les racailles des cités, tout en devant affronter et gérer les conflits inter-ethniques et inter-religieux susceptibles d’émerger. Pendant ce temps, ses maîtres se serviront d’elle pour définitivement instaurer et justifier une nouvelle ère de contrôle et le recours à une violence inédite qui pourra alors être parfaitement légitimée par le contexte.
Quelles solutions apporter ?
Dans un premier temps, il faut se dire que les événements présents sont peut-être intervenus trop tôt pour nos dirigeants pour qui il aurait peut-être été plus opportun de bénéficier de cette étincelle d’ici deux ans. En effet, pour l’instant, les vagues migratoires n’ont pas suffisamment impactées les campagnes et certaines zones rurales profondes. C’était un des objectifs mis en exergue récemment par Jacques Attali.
Quand bien même le mouvement en cours viendrait à s’essouffler, faute d’une extension suffisante, ce ne serait que reculer pour mieux sauter. Il faut donc que les opposants patriotes honnêtes qui n’ont pas peur de désigner l’ennemi réel, son idéologie et ses complices se réunissent. La situation est trop grave pour rester sans agir. Comme je l’avais déjà dit lors d’une interview donnée l’année dernière au Média en 4-4-2, tous les voyants sont au rouges, mais si révolte il y a, elle sera automatiquement récupérée par un contrôleur d’opposition, ou par la gouvernance elle-même qui en profitera pour instaurer un système de contrôle inspiré du crédit social[7]. Aussi expliquais-je l’année dernière au cours de cette interview que sans une administration prête à prendre le relais, les résistants réels ne pourraient pas tirer parti de cette révolte.
Il est donc temps d’agir aujourd’hui, pour ce faire, tous les vrais patriotes doivent s’unir. Je pense que l’idée d’Alain Soral de créer instamment un CNR (conseil national de la résistance) est la bonne eu égard au caractère urgent et imminent de la situation. Nous nous adapterons ensuite en temps réel. Il faut donc dans un premier temps trouver les moyens de se regrouper et de se fédérer, à l’écart des fausses oppositions et autres apparatchiks du système qui ne désignent pas l’ennemi véritable, entendant par ailleurs rester dans l’Europe, et qui chercherons à nous saborder de l’intérieur. Aujourd’hui je veux apporter ma contribution au changement.
Enfin, je pense que des appuis extérieurs, donc étrangers, seront nécessaires, car notre ennemi est apatride et financièrement incroyablement puissant. Si nous échouons ici, le retour de bâton sera sans précédent, alors agissons avec courage.
Que la France demeure éternelle !
Adj (e.r) François Dubois
Notes du texte :
[1] Pour cela je vous renvoie à mon livre
Alice au pays de Lucifer publié chez KA’Éditions et aux articles que j’ai publiés sur profession gendarme.fr et Strategika.fr
[2]Dans un prochain texte, j’expliquerai par quels mécanismes ces gens soutiennent en réalité, et sans le savoir, des « nazis reconvertis ».
[3]Pour comprendre la complexité de l’explication sociologique de la dérive des cités, lire
le déni des cultures d’Hugues Lagrange (sociologue au CNRS) aux éditions Points. Le
backlash est le contrecoup sociologique, idéologique et moral ressenti suite à la confrontation des traditions et à la re-traditionalisation entre les accueillis et le pays d’accueil.
[4]Une AFI est une arme de force intermédiaire, dont l’emploi vient se situer sur l’échelle de gradation entre les mains nues et l’arme à feu, par exemple le LBD40 ou le bâton télescopique.
[5]Dans l’émission de
France Inter «
Le Grand face-à-face » qui oppose Raphaël Glucksmann à Éric Zemmour, Raphaël Glucksmann rappelle les écrits de Zemmour : «
Vous écrivez dans votre livre quelque chose d’intéressant. Vous dites clairement : Je suis pour l’Église et contre le Christ ! » Ce à quoi Eric Zemmour répond avec affirmation : «
Oui ! Oui, je le dis clairement ! »
[6]
The Rabbis Write Back! L’enjeu de la « parenté » entre Israël et Ro...
[7]
François Dubois : « Macron est animé par un idéal messianique en lien avec la gouvernance mondiale... »
CALL TO RESISTANTS
July 2, 2023 | Category:
News ,
Tribune
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Burning of France and risk of civil war: paradigm shift or final lockdown.
By Francois Dubois
Opening remarks
It is as a lover of the nation that I write this text. Written quickly and urgently, I develop my cold analysis. I specify in view of the context, to be athletic, in excellent health, and to have no suicidal thoughts. I invite my former law enforcement comrades to read and share this text as much as possible. You who are currently on the front lines, fuses of a situation that is beyond you, you must understand how and in what context you are currently instrumentalized. This context of national decay in which you operate with such difficulty is desired, provoked and supported by very powerful forces. I express myself here freely without inciting you to revolt,
Mahel case: background
Our elites, corrupt and stateless at heart, have now been working for more than half a century for the complete destruction of our country. Alas, the damage is done, and now is not the time to launch into great historical, geopolitical or theological demonstrations to explain the workings of this disaster [1] ! Some French today taste the harsh taste of shit that they cowardly endorsed to enroll in the circle designated by their master as that of "well-thinking".
The Soros, Attali, Minc network, which gave birth to Macron, perfectly understood this sentence from Nietzsche: “
The greatest alms giver is cowardice . From the creation of "sos-racism" to that of "don't touch my friend", they have, in the name of tolerance, knowingly promoted the emergence of an ethnicized and communalized subculture, in reality an enhancer of racism
. with variable geometry and social fragmentation. To do this, they relied on the cowardice of the population, consecutive since the 80s to a media scuttling making the image of the Frenchman guilty, the big loser of the second war, saved by the nice Americans and historically presented as a cowardly informer. of Jews.
Many of these ignorant cowards have thus sought to redeem their conduct on the basis of a caricatured, shamefully simplified, not to say sometimes falsified history. Tolerating the intolerable, there was no longer any question for them of rebelling against the uncontrolled and unchosen waves of migration. Worse still, in their small, narrow leftist minds, anyone who rebelled against it became an ugly fascist, caricaturally likened to a worshiper of the Third Reich [ 2] .
Today, in this pre-civil war situation, the urgency is above all to understand the dangers to which we are exposed. What happened had to happen. It was only a matter of time.
Recently, the massive orders of “ centaur ” Gendarmerie armored vehicles equipped with a remotely operated cupola, on which is located a AANF1 7.62 x 51 mm (weapons of war), or the major campaign to recall illegally held weapons, constitute a bundle of clues that can only abound in the direction of my remarks.
These provisions kill two birds with one stone. They have, first of all, vocation to face the risks of emergence of a spontaneous social movement type “yellow vests”. This risk is feared, because out of control if it is ever organized and structured. But they also potentially have the vocation of participating in a purge operation, the consequence of an erratic conflagration perfectly anticipated and expected of the cities, then, by domino effect, of the population anchored politically on the left. Expected, because there are powerful acquaintances between the mafias who hold these quarters and the deep state, as well as its intelligence services; all, integrating the mesh of Freemasonry which oversees an extreme left ready to politically exploit the riots and to rally the cities with its "antifas" to orders. The scum are the useful idiots of an ambivalent system that has laid all the groundwork necessary for their revolt, and at the same time, all the groundwork necessary for their detestation.
This with the objective on the part of the governance, to regain control by force in the first instance, then in a second, to establish full control of the population and new digital means as a form of definitive locking. These means will be accepted by the masses because they will impose themselves as the indispensable alternative to the exit from chaos.
Mahel case: the origins
The news item at the origin of these events is not a hazardous accident because it results from the conjunction of two phenomena orchestrated by the elites, having
de facto led them to anticipate what was going to happen.
The first factor is consecutive to the communitarization of an ethnicized fringe of the population which has evolved more and more on the margins to the point of falling into a deviance which no longer makes it adhere to the norms of society.
From the outset, among these populations, mainly from precarious social strata from the African continent, there were deep sociological incompatibilities, particularly with regard to the structure of the family and the place occupied by the boy within this family unit. , which in some cases made integration and assimilation very difficult. This sociological problem of a migratory nature is all the more complex in that it varies according to the countries, ethnic groups and social classes affected. The first waves of post-war Italian and Portuguese migration did not cause any major difficulties precisely because, even for the working classes, the family unit was structured in its relationships (place of the boy in relation to the father and the mother, relation to authority, etc…) in a similar way throughout the European continent. In doing so, these populations have not suffered anysociological
backlash [3] . There is no direct link with Islam (we will talk about that later).
The rejection of societal norms is accompanied by the establishment of new norms specific to defining the identity of the group: young people from the suburbs are therefore not in need of reference points because they are economically precarious, but because, driven by their social not being able to agree with the model which is supposed to assimilate it. He then establishes his own standards which serve him to transform his sociological deviance into an identity in its own right (this translates into social markers such as language, dress codes, etc.) and to emancipate himself to be autonomous, from an economic point of view, but also with regard to the representatives of the authority. If he does not evolve within a structured family which does not produce a king boy, the suburbanite can quickly become a freedman who does not report to any authority and who only recognizes himself among his own, a real social labeling in Becker's sense. Obviously, not all young people from the suburbs are like that, delinquents are those whose family structure and authority are, to say the least, non-existent.
The character of Mahel is no exception to the rule, granting no legitimacy to the law, he intended to make his own law by once again evading authority. With all due respect to Sandrine Rousseau and the other LFI miserabilists with simplistic reasoning, it is not poverty that makes them delinquents. These populations sometimes brew astronomical amounts of money. I saw it in the field. Offer them infrastructure, access to culture, aid, even more money, you won't change anything. Some dealers drive Ferraris, do they stop being criminals? Mahel was therefore a young man who was difficult to control, which is reflected in the facts by the various offenses he committed.
The second factor behind this drama is human. It probably stems from an error of assessment of the legal framework in which the policeman found himself and decided to open fire. Justice will decide to determine whether the shooting was justified or not. I myself taught the use of weapons to my gendarme students. I have a perfect command of this issue on the legal level, but apart from this purely technical aspect, we must not forget that a police officer is a human like the others, and that by perpetually confronting this population at odds, he can in the long term, see his psychic and emotional stability disturbed.
Even the most seasoned policeman is not immune to making a serious mistake because his judgment is altered by the repeated stresses and chronic fatigue of the field. The bearer of a weapon has an immense responsibility. The police and gendarmes are fully aware of engaging their criminal liability when they open fire with their service weapon. In other words, at the moment of firing, they are aware that they may perhaps end the rest of their days in prison if they have made an error of assessment when making a decision which must take one or more two seconds maximum.
Of course, intolerable abuses exist, particularly with the use of AFIs [4] during social movements such as “yellow vests” or during demonstrations against pension reforms. This is totally abnormal. However, demanding the disarming of the police is incredibly stupid. It would be more appropriate in this regard to deal with the blind allegiance that some of the police devote to the current governance to the point of forgetting the rules of ethics that govern the profession.
The fact is that the tragedy that occurred would never have happened if there had not been the conjunction of these two factors: sociological deviance of the unassimilated offender and human fault, certainly accentuated by a context of constant tension on field.
These foundations laid, it seems to me urgent that the French realize today that the appearance of this conjunction is not the result of an unfortunate coincidence.
What strategy are we facing?
When I was active, during the pseudo-pandemic, we were talking with an “enlightened” colleague and friend about the organization on a European scale of a cycle of revolts as a step following the Covid narrative. A hypothesis, among many others, favorable to the socio-economic ambitions dictated by Davos. These revolts were to have as corollaries, an economic recession orchestrated in stages, driven by the Covid, intended to gradually promote the implementation of the digital euro, the virtualization of many jobs, the destruction of SMEs for the benefit of multinationals and the advent of AI to replace certain professions.
The cycle of revolts allowing, after the "starter" effect of the pandemic, to strengthen the repressive arsenal and the digital means of mass surveillance through a violent and unprecedented resumption of control. Two years ago, it made some people smile, I'm not sure it's still the case today. We will observe if a potential spread of the phenomenon on a European scale is confirmed, Brussels already seems to have been in the grip of riots. It is precisely because I do not underestimate the intelligence of the enemy that my analyzes have been confirmed.
We were thus able to note the presence of a certain Assa Traoré alongside Mahel's mother. This same activist, wearing the Louboutin brand (LVMH), also works for the
OPEJ Baron Edmond de Rothschild foundation . Needless to return to the sulphurous liabilities of the family in terms of delinquency. Let's just note that an isolated and devastated mother very quickly benefited from massive support and the necessary logistics to organize, 48 hours after the fact, a white march with flocked t-shirts and other celebrities from the French rap world.
There is a real complicity between the scum from below and the scum from above who support it. Just as I fully associate myself with Alain Soral and his analysis when he underlines the fact that the problem is not related to Islam. Those who
"Islamo-center"the causes of the misfortunes that we suffer are either ignorant or corrupt in the pay of a supra-national cause. Islam is a religion of order, even if some of its precepts may be challenged by a Christian, do not confuse everything. Does Iran know of similar revolts, with these profiles of delinquents? The delinquents of the estates have nothing to do with Muslims. They adopt sociological markers borrowed from Islam, essentially codified by elements of language, in order to label themselves as a community. But they are in no way practicing and do not apply the moral behavior imposed by the Koran. When I was in the field, some of them were surprised to see that I knew Islam better than them. I immediately became more likeable in their eyes, which made them all the more stupid to mine. The problem is not Islam but ignorance.
An amalgam is voluntarily maintained between the delinquency of the districts and the development of the Moslem religion on our territory, but these are two distinct phenomena. The Russians have well understood that the substrate of the danger of the civilizational upheaval which awaits us is not the Muslim religion. Vladimir Putin declared two days ago that the desecration of the Koran was a crime in Russia. Well, it's the same, I'm not Charlie, and I won't be fooled by the terrorist instrumentalization of the Wahhabi “sectarian” branches of Islam by the Western deep states and Israel.
It is indeed a stateless globalist elite who seeks here to destroy our country of Catholic essence by stirring up hatred against the Muslim religion. Drawing its ideological origins from Judeo-Protestantism, it has built an ethnicized, universalist and Woke cancel-culture, modeled on a consumerist and materialist axiology that first emerged in the United States. The American hegemon then took charge of its propagation in the Western world. Our little French scum are in reality only the hersatz of rappers and other American gang members whom they idealize. And without knowing it, if they worship something, it is above all in the image of the American gangster rapper in a sports car surrounded by prostitutes behind whom we find the same sources of financing as those of the LGBT ideology! Behind Assa Traoré hides the universalist ideology of Georges Soros who finances, through his NGOs, both mass immigration and the LGBT cause.
If we are far from the ideals of the Prophet Muhammad or of Christ, on the other hand, we are very close to the detestation of Christ (or of Muhammad) [5] explicitly claimed in the media by Éric Zemmour. There are actually many more acquaintances between him and Soros (starting with religion), than between him and Christ. Yes, his pseudo-resistance is actually fundamentally antichrist. And ironically, when he ran for president, Mr Zemmour had Mr Julien Madar, a former business banker at Rothschild, as manager of the operational part of his financing.
Without even mentioning the career of our current president, we realize that ultimately, the universe of the Rothschild family is not incompatible with the Woke universalism of which Assa Traoré is a muse, just as it does not seem incompatible with the ideas of a "right-wing" fringe, falsely and often caricaturally patriotic, which intends to foment a war between Catholics and Muslims in the rejection of the values transmitted by the prophets (Papacito, Goldnadel, Finkielkraut, Zemmour etc). Should we therefore conform to the conflict between Jacob and Esau in Genesis [6] ?
We are therefore caught in a pincer movement between the scum from above and the scum from below. The scum from above lay down all the prerequisites necessary for the creation of a controlled revolution. To do this, they use the Islamo-centered to exalt inter-religious tensions, and the far left (led by Mélenchon, member of the Grand Orient of France) to exacerbate conflicts with the police and hatred of the police. . A turkey police force, which will serve as a fuse by participating in rallying against it, and against its will, the far left and the scum of the cities, while having to face and manage the inter-ethnic and inter-religious conflicts likely to 'emerge. During this time,
What solutions to provide?
First of all, it must be said that the present events have perhaps intervened too early for our leaders for whom it would perhaps have been more opportune to benefit from this spark within two years. Indeed, for the moment, the waves of migration have not sufficiently impacted the countryside and certain deep rural areas. This was one of the objectives highlighted recently by Jacques Attali.
Even if the movement in progress would run out of steam, for lack of sufficient extension, it would only be going back to better jump. It is therefore necessary that the honest patriotic opponents who are not afraid to designate the real enemy, his ideology and his accomplices meet. The situation is too serious to sit idly by. As I had already said during an interview given last year to the Media in 4-4-2, all the lights are red, but if there is a revolt, it will be automatically recovered by an opposition controller , or by governance itself, which will take advantage of this to establish a control system inspired by social credit [7]. So I explained last year during this interview that without an administration ready to take over, the real resistance fighters could not take advantage of this revolt.
It is therefore time to act today, to do this, all true patriots must unite. I think that Alain Soral's idea of urgently creating a CNR (National Resistance Council) is the right one given the urgency and imminent nature of the situation. We will then adapt in real time. We must therefore first find the means to regroup and federate, away from the false oppositions and other apparatchiks of the system which do not designate the real enemy, intending moreover to remain in Europe, and which seek to scuttle us from within. Today I want to make my contribution to change.
Finally, I think that external support, therefore foreign, will be necessary, because our enemy is stateless and financially incredibly powerful. If we fail here, the backlash will be unprecedented, so let's act with courage.
May France remain eternal!
WO (st) François Dubois
Text Notes:
[1] For this I refer you to my book
Alice au pays de Lucifer published by KA'Éditions and to the articles I have published on profession gendarme.fr and Strategika.fr
[2] In a future text, I will explain by which mechanisms these people support in reality, and without the knowledge, "converted Nazis".
[3] To understand the complexity of the sociological explanation of the drift of cities, read
the denial of cultures by Hugues Lagrange (sociologist at the CNRS) published by Points. The
backlash is the sociological, ideological and moral backlash felt following the confrontation of traditions and the re-traditionalization between the hosts and the host country.
[4] An AFI is an intermediate force weapon, the use of which falls on the gradation scale between bare hands and a firearm, for example the LBD40 or the telescopic baton.
[5] In the
France Inter program “
Le Grand face-à-face ” which opposes Raphaël Glucksmann to Éric Zemmour, Raphaël Glucksmann recalls Zemmour's writings: “
You write something interesting in your book. You say clearly: I am for the Church and against Christ! “ To which Eric Zemmour responds with affirmation: “
Yes! Yes, I say it clearly! »
[6]
https://journals.openedition.org/rhr/8552
[7]
https://lemediaen442.fr/francois-dubois-macron-est-anime-par-un-ideal-messianique-en-lien-avec-la-gouvernance-mondiale/