Commentaire : Si la modélisation est valable, c'est une découverte étonnante, pour le moins. L'insignifiance apparente de planètes comme Vénus ou la Terre, en regard de la taille énorme de notre soleil, est alors trompeuse. Nous influençons donc les cycles de notre étoile d'une façon particulière, et celle-ci nous renvoie d'une façon aussi particulière, les influences transformées... de nos influences, faute de mieux pouvoir l'exprimer. Quand on sait que ces cycles d'activité solaire, ceux de 11 ans, impactent notre climat et nous promettent quelques... refroidissements, c'est encore plus extraordinaire : nous participerions nous-mêmes, certes indirectement et aidés par Vénus et Jupiter, à notre propre mise au frigo.
(4 liens vers des articles publiés sur fr.SOTT)
Qui sait si nous ne pourrions pas appliquer le même principe à une plus grande échelle : notre petit système solaire qui influence la Voie lactée, qui elle-même influence d'autres galaxies, et vice versa, et ainsi de suite ; effets concrets d' interactions réelles entre l'atome minuscule et les systèmes stellaires gigantesques ?
La Nature est une source d'émerveillement sans fin et rien, dans cet univers, ne semble pouvoir être soustrait, coupé ou isolé totalement de ce qui l'entoure. N'est-ce pas une excellente nouvelle ?